Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]

V

20 Août 1670

Après quelques jours de repos je vais déjà mieux. Après notre nuit d'amour, je me suis endormie. Les nuits d'après je les ai passer dans ma chambre. Sous l'oeil du roi. Je me réveille dans ses bras, dans mon lit. Je peux m'étirer sans trop grimacer. Je me lève avant lui. Il reste dans le lit et observe mes moindres faits et gestes. Je me brosse les cheveux devant la coiffeuse. Je lui sourie en voyant son reflet dans le miroir. Je me retourne m'avance vers le lit. Je monte à califourchon sur lui. Je me penche et l'embrasse amoureusement.

- Bonjour Louis... chuchotait je

- Je vois que le repos vous fais le plus grand bien. Sourit-il

- Je pourrais combattre une armée entière. Dis je en me relevant, posant les mains sur mes hanches.

- Vraiment ? Rit-il légèrement

- Je vois peut-être un peu grand mais je préfère cela. Avouait je

Il s'assoit et m'embrasse. On descend du lit. Il se rhabille, je m'approche de lui et lui met un macaron dans la bouche. Que j'ai pris plutôt sur le plateau. Il le mange, je lui sourit. Je prend ma tasse de thé entre les mains. Je souffle sur l'eau chaude dans ma tasse. Je regarde le soleil se lever. Il se place derrière moi et pose ses mains sur mes hanches. Il observe avec moi le paysage magnifique sous nos yeux. Bontemps vient malheureusement arrêter ce moment. Il va être l'heure du lever officiel. Il me quitte après un dernier baiser. Je termine mon petit-déjeuner. Je demande à Louise qui est revenu depuis deux jours de me préparer un bain. Elle obtempère mais elle a l'air moins souriante que d'habitude.

Je plonge dans le bain chaud, après avoir défait mon bandage. On m'a retiré les fils hier. Malheureusement la cicatrice va rester à vie. Je me frotte doucement avec du savon. Les croûtes tombent au fur et à mesure avec le temps. Je sors du bain et me sèche rapidement. Louise m'aide à m'habiller et me coiffer mais sourit beaucoup moin qu'à l'habituelle. Ma robe bleu roi enfiler, Philippe entre dans ma chambre en compagnie de Elyzabeth.

- Ma chère êtes-vous prête pour de nouvelles recherches en notre compagnie ? Demande-t-il souriant

- Assurément ! Repond je en m'approchant d'eux.

Je suis Philippe aux côtés de Elyzabeth. Nous nous dirigeons dans les locaux des mousquetaire et de La Reynie. Celui-ci nous reçoit sans hésiter. L'ambiance est un peu glauque mais cela n'est pas très étonnant dans une pièce sombre avec des meubles en bois très sombre.

- Avez-vous trouvez quelque chose ? Demande Philippe

- Non Majesté. L'écriture m'ai inconnu. De plus personne n'a ses initiales à la cours. Repond le chef de police