Je suis dans ma chambre. Bontemps m'a raccompagner avant le lever du roi. Nous avons eu une courte nuit. Je suis un peu fatiguée mais on a bien profiter. En espérant qu'il soit quand même de bonne humeur aujourd'hui. Enfin je l'espère surtout pour ses ministres. Il va être en réunion quasiment toute la journée. Le métier de roi n'est pas toujours très rose. Louise m'aide pour ma toilette, elle m'habille puis le coiffe. Je crois bien que c'est la première fois qu'elle me fait mal. Elle s'excuse mais elle sourie de moins en moins. Je ne sais pas trop ce qu'il lui arrive mais je sens qu'il faudrait qu'un jour je lui pose la question. Elle quitte ma chambre. Je me dirige dans celle de Elyzabeth.
J'entre dans la pièce. Elle se trouve sur son divan en train de lire un livre. Je m'approche d'elle. Je m'assois en face et elle me sert une tasse de thé. Je la remercie et porte la tasse à mes lèvres. Je souffle sur le nectar et en boit quelques gorgées. Elle pose son livre et me questionne du regard.
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Demande-t-elle
- J'ai l'impression que Louise va de moins en moins bien. Pas toi ? M'exclamai je
- Si, j'ai essayer de discuter mais elle ne veut rien dire. De peur de nous embêter. Lache Elyzabeth
- Il faudrait que j'essaie. Tu as passer une bonne nuit ? Demandai je
- J'étais avec Philippe, on a bien dormi. Répond-t-elle
- Vous avez dormi hein... dis je d'un regard soupçonneux
- Ne vient pas me dire que tu ne fais pas ce genre de choses avec le roi car je ne te croirai pas. Lance-t-elle en souriant.
- Je ne dirais rien. Souriai je
Elle rit alors et je l'accompagne. Je crois qu'il faut que l'on passe une journée rien que toute les deux. Philippe étant avec le roi, nous avons de quoi faire. Nous mangeons notre repas du midi toutes les deux. Le repas est délicieux mais bien lourd. Je n'en mange que la moitier et ne prend pas de dessert. Je propose à Elyzabeth d'aller rendre visite à Adélaïde. Elle adhère complètement et nous partons. Nous nous dirigeons vers les salles de commérages. Connaissant sa mère elles ne peuvent être que ici. Nous entrons certains nous lance de grand sourire. D'autres ne nous regardent même pas. D'autres encore nous lance des regards de mort. J'aperçois Adélaïde et sa belle chevelure blonde. Nous nous dirigeons vers elle. Elle est en compagnie de sa mère. Nous les saluons et elles font de même.
- Mesdames comment vous portez vous ? Demande madame Deslauriers
- Très bien et vous mesdames ? Retorquai je
- Très bien. Le temps est magnifique aujourd'hui ne trouvez vous pas ? Lance madame Deslauriers
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Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]
RomanceÉléonore et Elyzabeth se retrouvent coincé en 1670. Après avoir passer deux mois à chercher en vain la solution de leurs énigmes, elles ont trouver. Au moment de partir elles se sont faites voler. Mais part qui ? Et pourquoi ? Les voilà repartie po...