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Je passe ma matinée à réfléchir à qui pourrait nous en vouloir

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Je passe ma matinée à réfléchir à qui pourrait nous en vouloir. Moi qui ai habituellement beaucoup d'idées. Là je suis à sec. Chose très rare chez moi je suis toujours en train de cogiter. Philippe et Elyzabeth débarque dans ma chambre. Celle-ci est en tenu d'équitation. Je fronce légèrement les sourcils.

- J'ai... commence Philippe alors que Elyzabeth lui met un coup de coude

- Pardon ! NOUS avons décidé que ce serait peut-être une bonne idée de vous apprendre à vous défendre. Explique Philippe

- Comment cela ? Demandai je

- À l'épée bien sur. Répond il

- Je suis partante. Lâchait je

Elyzabeth m'aide donc à changer de tenue et nous partons avec Philippe. En direction des locaux et de la cours des mousquetaires. Ils ont un terrain pour s'entraîner. En compagnie du duc lus entrons dans la cours. Tout les mousquetaires se retournent sur notre passage. Je fais une grimace à Elyzabeth. Nous ne sommes pas habitués à ce genre de choses mais après tout nous sommes en compagnie du deuxième homme le plus puissant de france. Que peuvent-ils bien dire ? Nos jupes traine au sol derrière nous.

Nous nous plaçons dans un carré d'herbe. Philippe nous tend une épée à chacune. La Reynie arrive vers nous. Ils nous saluent et observe le cours que l'on prend avec Philippe. Je retire mon chapeau et le lance a terre. Je reprend la position montrer part Philippe. Autrement dit le pied d'appuie en arrière, le deuxième devant. Le dos droit. Il commence à nous apprendre les bases. Comment attaquer simplement. Comment parrer chaque coup que l'on peut nous donner. Il essaie d'abord avec Elyzabeth.

La Reynie me propose alors aussi étonnamment que cela puisse paraître de m'aider à apprendre. Il se place face à moi. Il m'attaque et je pare les coups au fur et à mesure. Il me laisse ensuite attaquer. Je sens pourtant qu'il retient ses coups.

- Ne retenez pas vos coups monsieur. Je veux savoir me défendre vraiment. Lançai je

- Je préférerais les retenir madame. Avoue-t-il

- Je vous dis que vous n'êtes pas obliger. Lachai je

Il m'attaque alors plus brutalement. Il met de la force dans ses coups. J'apprends alors à parer les coups avec rapidité et la force qu'il faut. Je recule et trébuche sur un caillou. Je tombe à terre. Il va pour mettre un coup je roule sur le côté et me relève. Je récupère mon épée. J'essaie de placer une attaque mais il est trop rapide. Il n'est pas chef de la police pour rien. Je m'avance alors pour prendre l'avantage. J'enchaîne les coups sans m'arrêter, il se retrouve à terre désarmée et je pointe mon épée sous sa gorge. Le roi arrive à ce moment là.

Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant