XXXIII

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16 Septembre 1670

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16 Septembre 1670

Nous nous réveillon à quelques minutes d'intervalle avec le roi. Dos à lui, il garde ses bras autour de ma taille et me colle a lui. Il me caresse les cheveux avec sa seconde main. J'aimerais avoir de tel reveil tout les jours. Mais rien n'est éternel. Bontemps n'est toujours pas avec nous. Je trouve cela étrange mais j'en profite. Je me tourne, toujours dans les bras du roi. Je suis à présent face à lui. Il plonge son regard bleu océan dans le mien. Il vient ensuite déposer un léger baiser sur mes lèvres. Un baiser doux et chaleureux. Les rayons du soleil viennent nous caresser la peau. Le bal s'est terminé assez tard. Il doit être aux alentours de dix heure. Le roi pose sa main sur ma joue, il l'a caresse avec son pouce.

- Mes réveils royaux sont tellement maussade comparé à celui-ci. Lâche-t-il doucement

- Je voudrais en avoir tout les jours. Avouait je en souriant

- Si seulement... chuchote-t-il

Nous finissons par nous lever. Je passe la robe la plus légère de ma malle. Une femme de chambre, serre mon corset. Je la remercie puis la congédie. Avant de me diriger vers ma coiffeuse. Je brosse tranquillement mes cheveux pendant que Bontemps habille le roi. Celui-ci garde un œil sur ce que je fais. Je remonte mes cheveux en un chignon. Je place le bijoux du roi autour de mon cou. Accordez avec ma robe bleu ciel. Le roi lui porte des vêtements bleu Marine. Nous avons décidé de prendre du temps pour nous aujourd'hui.  De ne pas se presser. Ou plutôt je l'ai supplier. Puisqu'il voulait absolument travailler. Bontemps se retire. Je prend le roi part la main et nous sortons. Je nous dirige vers la chambre de Elyzabeth et Philippe.  Nous entrons. Je pousse un cri de surprise et je me retourne. Nous arrivons au mauvais moment. Le roi reste regarder son frère, nu dans son lit sans-gêne. Elyzabeth se couvre avec les draps. Le roi me jette un coup d'oeil. Je sourie et réprime un rire. J'entends Philippe se lever. Elyzabeth fait de même. Puis on me dit que je peux me retourner.

- Éléonore j'espère que tu as une bonne raison pour venir dès le matin. Souffle Elyzabeth

- Non je voulais simplement vous voir. Mais visiblement je dois me poser la question avant. Riait je

- Quel question ? Demande Philippe curieux

- Savoir si vous n'êtes pas en train de coucher avec mon amie. Souriait je

- Je vois mon frère, que tu fais le l'exercice tôt le matin. Taquine Louis

- Vous devriez aussi tout les deux . C'est vivifiant ! Sourit Philippe

- Elo, vient m'aider. Dit Elyzabeth en passant derrière le paravent.

Je passe avec elle. Je l'aide à enfiler sa robe rouge. Je serre le corset sans trop en faire. Afin qu'elle ne s'étouffe pas. Elle passe devant sa coiffeuse. Elle se coiffe tranquillement. Philippe est déjà habillé. Incroyable ces hommes. Très rapide quand ils veulent. Mais nous les femmes nous avons des vêtements que nous ne pouvons enfiler ou retirer seules. Nous sortons tout les quatre afin de prendre le soleil. Je reste près de mon amie. Philippe et le roi devant nous discutent politique et guerre. Barbant. Il ne peut s'en empêcher. Je ralenti le pas afin que nos deux hommes entendent pas notre conversation.

Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant