XIX

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J'ouvre les yeux, le cœurs palpitant à milles à l'heure

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J'ouvre les yeux, le cœurs palpitant à milles à l'heure. Je regarde la pièce mais il fait encore nuit. Je suis en sueur. Je me rallonge dans le lit. J'ai fais un cauchemar horrible. Non pas sur cet horrible homme puant l'alcool mais sur Louise. Je l'entendais hurler de douleurs et me lancer des propos injurieux. Je reprend ma respiration, le roi me regarde. J'ai du le reveiller. Peut-être pas. S'est-il vraiment endormie ? Je ne le sais pas. Les nuits du roi sont courtes et plutôt songeuse. Je viens me coller contre lui. Il me caresse la joue. Plonge son regard dans le mien.

- Qu'est-ce qui troublent vos rêves ainsi ? Demande-t-il

- La trahison de Louise et ses cries restent graver dans ma mémoire. Soufflait je

- Vous ne devriez pas vous concentrez sur elle. Lâche-t-il

- C'est encore récent pour moi. Cela va passer. Vous ne dormiez pas ? Demandai je

- Effectivement, je pense. Je veux trouver la tête de cette trahison. Je ne trouverai pas le sommeil sinon. Répond-t-il

- Nous allons trouver. Je vous le promet. Dis je doucement.

- Je vous crois, Éléonore... chuchote-t-il

Je pose ma tête sur son torse. Je caresse légèrement celui-ci avant d'être de nouveau prise par le sommeil. Dans ses bras. Au chaud. En sécurité

Dans l'après-midi La Reynie vient nous trouver. Nous sommes dans le salon, en compagnie de Philippe et Elyzabeth. Le roi se dirige vers le chef de la police. Louise à été torturer toute l'après-midi d'hier et elle n'a rien sortie. Peut-être que si nous lui posons les questions nous même elle y répondra. Le roi n'est en premier lieux pas du tout pour. Je crois que de voir quelqu'un se faire torturer n'est pas quelque chose de facile à voir. Cela doit hanter nos nuits à vies. Nous sommes marquer après tout cela. Mais je suis prête à beaucoup de choses pour retrouver la personne qui détient nos colliers. Elyzabeth est prête à venir avec moi mais Philippe refuse. Nous nous retrouvons un peu bloquée mais j'insiste.

- Je crois vraiment que je peux en savoir plus avec elle. Lâchait je

- J'ai dis non madame ! Lance le roi

- Pourtant nous pouvons le faire sire. Ajoute La Reynie

- Je ne vous ai pas demander votre avis. Répond le roi

- Je suis sur qu'en l'espace de cinq minutes je peux savoir ce que j'ai envie. Insistait je

- Vous êtes trop fragile. Elle va s'en servir contre vous. Et vous allez revenir marquée. Il en est hors de questions. Lache le roi en haussant le ton

Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant