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3 Septembre 1670

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3 Septembre 1670

Je me dirige vers la chambre de Elyzabeth et Philippe en courant. Ils sont chacun dans un fauteuil. Ils relèvent la tête vers moi. Philippe fronce les sourcils. Nous sommes en Septembre et avec toutes ces histoires j'ai oublier une chose très importante ! Je cours vers Elyzabeth et lui saute dessus !

- JOYEUX ANNIVERSAIRE EN RETARD ELYZABETH ! Criai je joyeuse

- Ah quand même ! J'ai cru que tu me le souhaiterais jamais ! Lance-t-elle en riant

- Quand était-ce ? Demande Philippe étonné

- Le 29 août. Souriait je en me redressant.

- Pourquoi ne me l'avez-vous pas dit ? Questionne de nouveau Philippe

- Parce qu'en vérité j'ai pas fais plus attention que vous a la date. Nous étions trop occupé. Avoue-t-elle

Je remarque le roi dans l'encadrement de la porte. Il me sourit. Je crois qu'il me préfère comme cela. Me voir énervé ou vomir ne doit pas être très intéressant. Il n'aime pas quand je lui tiens tête. Il faisait un peu la tête depuis hier. Mais visiblement ça a l'air d'aller mieux. Il entre dans la pièce, Bontemps le suit et referme la porte. Il a passer la matinée à étudier les papiers envoyer part Versailles. Ses ministres ne peuvent se débrouiller seul. Un roi n'a jamais de repos. Les congés payés il ne connait pas. Mais ce n'est pas encore inventer. Alors personne n'en a vraiment conscience. Mais les nobles sont en vacances à longueur d'années. Ils sont seulement épuisés par le vin et les fêtes. Un valet arrive avec un plateau et le dépose sur la table entre Elyzabeth et Philippe. Il ne manquerait plus que de la couture à Elyzabeth et un journal dans les mains de Philippe. Il formerait un bon petit couple.

Le roi fait un signe à Bontemps, celui-ci sort. Je ne sais si il se retire simplement ou si il va chercher quelque chose. Je me sert une tasse de thé et en tend une à Elyzabeth. Elle me remercie. Quelques minutes plus tard Bontemps revient accompagné du chef de la police. Je fronce légèrement les sourcils. Je suis à côté du roi près de la fenêtre. Le chef nous salue. Nous faisons de même. Sauf le roi évidemment. Il entame une discussion

- J'ai pensé sire. Que ce serait peut-être une bonne idée de tendre un piège à La voisin. Lance le chef de la police

- Quel sorte de piège ? Demande Philippe

- Une sorte d'embuscade. Repond La Reynie

- Précisez votre penser. Lance le roi

- Il faudrait que notre détenue envoie une fausse lettre à cette femme. Pour lui donner un lieu de rendez-vous entre ce château et Paris. Commence le chef

Versailles, mon amour, mon soleil... [T.2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant