Rêve/Souvenirs 5(Partie 1):

1.5K 77 26
                                    

(NDA: Salutations très chère Yaoïste, je veut juste vous dire que se Rêve/Souvenir est la suite du 4 et qu'il sera beaucoup plus long que les autre R/S! Sur-ce  bonne lecture 😘😘)

Après avoir été maîtrisé par la force par l'homme qu'il aimait, le caporal Eren Jäger fut enchaîné et chargé dans une cariole avec d'autres prisonniers, malheureusement il n'était pas conscient de se qui lui arrivait. On l'avais fortement alcoolisé jusqu'à qu'il s'évanouisse, comme les prisonniers  les plus costaud en apparences, les plus faibles et salle eux étais recrocvillet dans un coins et tremblait. Il fut tous enmener dans un immense manoir au allures de château et traîner dans une pièce sale au rez-de-chaussée  qui étais bien caché des yeux du public.

C'est la que Eren se réveilla avec la plus horrible et pénible des migraines, l'odeur ici étais insoutenable se qui, en plus de sa gueule de bois, lui donnait envie de vomir la moindre des choses de son estomac. Déjà qu'en 5 jours d'érrance il n'avait trouver que de l'eau, des fruit et du pain, qu'une famille démuni par la guerre lui avais donner malgré tout, il n'avait absolument rien manger.

Alors il s'éfforça de se retenir, les gens autour de lui semblait encore plus affamé. Mais étrangement, les plus costauds lui étais familier, surtout un qui avait un regard vide et qui avait son front contre un mur, sa carrure lui étais si familière, et sa coupe de cheveux, bien que crasseuse aussi. Mais il ne voyait  pas son visage, impossible de l'identifier pour le moment.

Soudainement on entendit la porte se déverrouiller et tout les plus sale et maigre s'en approchaient. Un homme avec un tablier sale en cuire et un sceau en métal se mis à jeter des bout de pain dans toute la pièce, sans se soucier de qui les attrapais.

(NDA: Je n'ai remarqué que trop tard qu'a partir d'ici j'écrivais à la première personne du singulier, c'est donc à partir d'ici c'est le P.D.V. de Eren)

Je ne sais par qu'elle miracle l'un d'entre eux tomba près de moi. Je le pris en mains et appuya dessus par réflex. Mais il étais totalement rassis!

Je regarda autour de moi et vit l'homme non-identifier mais familier se mettre à se cratter les oreilles comme si toute cette agitation lui pétait les tympan.

Je resta la je ne sais combien de jour, mais je su enfin qui étais cette homme, il s'agissait de Jean Kirstein, l'un de mes frère d'armes. Après m'être  installer près de lui j'ai remarqué qu'il murmurait, entre quelques sanglot nocturne -je suppose vue que tout le monde dormait-, "Narco" ou bien "Marco" en tout cas il devait y tenir qui ou quoique se soit.

???: " tu bouge ton cul et tu me suis"

Je regarda l'homme armé qui venait d'ouvrir la porte, il s'était visiblement adressé à moi. Jean se tourna vers moi, les yeux exorbiter et je remarqua une marque sagnante sur son front, sûrement parce qu'il ne bougeait pas de son mur.

Jean: "toi...tu sais où est Marco? Il est pas là-bas c'est pas vrais...hein? Il est pas...non..."

Il se tourna à nouveau contre le mur et se mis à marmonner d'autre chose. J'ai cru entendre "moitié" et "couper" mais l'homme venu me chercher s'impatientait. Je le suivit et on me mis un sac sur la tête.

Le Serveur Et Le ChanteurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant