𝑵𝒂𝒎𝒊𝒅𝒂 | ℍ𝕚𝕥𝕠𝕤𝕙𝕚 𝕏 𝕆𝕔

chapitre 36 : enfermée.

Il faisait sombre.

Mon esprit était embrumé.

La seule sensation qui me paraissait clair était cet atroce mal de tête

Avec beaucoup de mal, je fini par ouvrir les yeux

J'étais attacher à une sorte de chaise de fer

Devant moi ce trouvait une table, une chaise et à l'autre bout de la pièce, je cru apercevoir une porte verrouiller d'un cadenas

Le sommeil me rattrapa et je sombrais de nouveaux.

Mais...Ce n'étais pas un rêve...plutôt une sorte de vision

J'étais comme un fantôme qui se balade hors de son corps

Je voyais l'infirmerie

Mes amies étaient présent

En larmes

Suis-je morte?

Je ne pense pas...enfin j'espère que non..

Mais pourquoi restent-ils planté la à pleuré ?

: BOUGEZ VOUS...VENEZ !

Je venais de prendre conscience que ..ma conscience à encore étais téléporter hors de mon corps.

J'essayais de leurs montrer que j'étais la

Un signe

Mais seules les larmes me répondirent

Elles coulèrent une a une

Je me mis a les supplier presque à genoux d'au moins me répondre

Mais rien n'y fis

En l'appercevant,

J'étreins Hitoshi de toutes mes forces

Il eu comme un mouvement de recule

Toutes les personnes présentes dans la pièce cessèrent de bouger

Ils lui lancèrent un regard intrigué avant de se mettre à parler.

Je n'entendais pas leurs parole mais l'expression misérable sur le visage de mon bien aimé me tordit le coeur

Je trébuchais sans le vouloir et me mis à fixer le sol

Durant une demie seconde mon esprit me souffla "la mort aurait était plus douce que l'avenir qui t'attend mon enfant"

Légèrement paniquer je me redressais et me mis à chercher l'origine de cette voix

À peine relever, ma conscience fut ramener dans mon corps et je me réveillais de nouveau dans cette sorte de cave

Devant moi se tenait Dabi

Il fixait un point de la salle semblant ailleurs

Je saisie cette opportunité pour essayer d'activité mon alter et de m'enfuir

Mais rien.

Je n'y parvenais tous simplement pas.

Je tirais de toutes mes forces sur les cordes qui m'emprisonnais mais rien n'y fis

Au bords des larmes je redressais la tête et vis un crématorium ravis

Dabi : enfin réveiller.