𝑵𝒂𝒎𝒊𝒅𝒂 | ℍ𝕚𝕥𝕠𝕤𝕙𝕚 𝕏 𝕆𝕔

chapitre 51 : Moïsa

Bonne lecture :) !

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Un miaulement résonna. Un miaulement trop familier pour n'être qu'une coïncidence.... »

Les oken se lancèrent un regard assurés.

Hitoshi : désolé, depuis que je l'ai recueillie, elle est agitée.

Yūjine : Je peux la voir s'il te plaît ?

Hitoshi déglutit.

Il ne comprenait pas bien la réaction de Yūjine mais obéit.

Il ouvrit la porte de sa chambre.

Yūjine entra presque en courant.

Yūjine : C'est elle.

Hitoshi : Tu parle de Moïsa ?

Lyira et yūjine lancèrent un regard abasourdi à Hitoshi.

Yūjine : Tu connais son prénom ?

Hitoshi : c'était écrit sur son collier quand je l'ai recueillit cette après-midi ! Pourquoi vous semblez si surpris ?

Yūjine était sans voix

Et en à peine une minutes les larmes lui montèrent aux yeux.

La chatte s'étira et miaula en se frottant à la jambe de Yūjine.

Lyira s'agenouilla

Elle tendit les bras.

Moïsa s'y attacha fermement en miaulent.

Elle ne voulait plus la lâcher.

La brune sentait qu'une part d'elle venait d'être comblée.

Comment ce chat à-t-il pus lui faire un tel effet ?

Les larmes coulèrent d'elles même et bientôt les deux Oken sanglotaient près de Moïsa.

Hitoshi ne comprenait rien.

Pourquoi le chat qu'il avait recueillit un peu plus tôt et qui semblait si distant était-il si proche des Oken ?

Enfin le plus important était de savoir pourquoi Lyira et son frere étaient en larmes.

Hitoshi : Vous pouvez m'expliquer ?

Sortant du salon, les deux amis étaient légèrement inquiètes.

Raven : Vous allez bien ?

Yūjine se rappela de la situation et se redressa en cachant son visage.

Yūjine : Je vais prendre l'air deux minutes Lyira. Ne la quitte pas des yeux. S'il te plait.

Sa dernière phrase était similaire à une supplication.

Il caressa le chat une dernière fois et sorti un sourire heureux collé aux lèvres.

Elle n'était pas morte.

Et c'est tous ce qui importait pour lui.

Hitoshi : Tu peux m'expliquer Lyly ?

Il s'abaissa à sa hauteur et lui tendit une main hésitante.

La brune la saisie.

Elle se redressa, le beau chat noir toujours dans les bras.

"j'ai beau n'avoir aucun souvenir d'elle, j'ai l'impression qu'elle n'a pas changer".