Lui et lui seul-Nabil (TOME II)

67.

En rentrant chez nous j'étais tellement heureuse encore une fois. Nabil porter notre bébé et moi j'aidais mon père à marcher comme tout gestes l'affaiblissait..

Quand j'ai ouvert la porte et allumer les lumières mon père avait le sourire aux lèvres.

Père de Jannah- C'est beau MashAllah.

- Merci papa.

Père de Jannah- On dirait je suis chez IKEA.

On a rigoler Nabil et moi.

Père de Jannah- Elle doit te rendre folle hein avec le ménage ? (en s'adressant à Nabil donc)

Nabil- Ah ça oui.. on respire ménage, on mange ménage, on fait tout en fonction de ça en plus là elle travaille pas donc encore pire.

Père de Jannah- Ah oui c'est vrai.

- En attendant c'est toujours propre hein.

Nabil- Ça c'est vrai mais parfois tu me laisse rien faire quand t'es à fond dans ton ménage.

J'ai sourit et c'est vrai que je rend fou Nabil avec mon ménage de maniaque mais que voulez vous quand t'es atteinte par cette maladie psychologique tu peut rien y faire. Tu vis juste avec c'es tout et en sah je préfère être maniaque que faire le ménage très rarement voir jamais.

Fin bref revenons à là réalité j'étais donc en train de faire visiter la maison à mon père. Il a encore dit que c'était très beau quand je lui ai fait visiter l'étage.

- T'as faim papa ?

Père de Jannah- Nan on a manger chez moi.

- T'es sûr ?

Père de Jannah- Mais oui.

- Si tu as faim tu me le dis même si c'est le soir d'accord ?

Père de Jannah- T'inquiète pas ma fille.

- Tu va dormir dans la chambre d'en bas de toute façon comme ça la cuisine sera proche de toi.

Père de Jannah- Oui c'est parfait ça.

Après ça on a regarder la télé et mon père n'a pas tarder à aller dormir comme il était vraiment fatiguer comme très souvent à cause de sa maladie.

[...]

Mon père a passer 4 merveilleux jour en ma compagnie, celle de Nabil et mon fils. Tout les jours j'essayais de lui changer les idées. Je lui faisais tout ce qu'il aime à manger. Je l'ai vraiment gâtée car je sais que quand il va rentrer à l'hôpital pour sa chimio plus rien ne sera pareil..

Même si j'avais toujours le sourire car je voulais bien profiter de ces 4 jours au fond de moi je redoutais énormément la chimio de mon père. J'en étais tétanisée pour vous dire..

Je souriais mais tout ça n'était que façade chaque nuits avant de dormir je verser des larmes. Pendant deux jours j'ai réussi à me cacher de Nabil on va dire mais pas pour le troisième soir.