Sent down to die // The 100 t.1

Chapitre 34

Je rentre dans la navette et vois Raven allongée par terre. Je cours vers elle et m'agenouille à ses côtés. Clarke et Finn sont déjà toute autour d'elle.

« Est-ce qu'elle est ... » demandais-je en priant pour que mon frère n'ai pas tué une de mes meilleures amies.

Même si je suis en colère qu'elle est couchée avec Bellamy, elle ne mérite pas de mourir.

« Non.. non, pas encore. » murmure Finn.

Avant que je puisse lui répondre, Miller arrive rapidement dans la navette.

« Clarke ! Ils sont entrain de démolir la porte ! » dit-il.

«Génial. Je crois que j'ai réussis. » dit Jasper en revenant du sol.

« Je ferme cette porte ! » hurle Miller.

« Attend ! Il y a encore des gens dehors ! Bellamy est pas encore là ! » crie Clarke alors que Finn et moi sortons de la navette.

« Okay tout le monde, Jasper a terminé ! Rentrez tous dans la navette ! » hurle-t-elle, avant que Finn nous abaisser derrière des sacs de sable.

Les tireurs jettent nos grenades sur les natifs, ce qui en tue quelques un. Et le restent des 100 rentrent dans la navette.

« Où est-ce qu'est Bellamy ? » demandais-je.

« Il est là ! » hurle Finn en pointant les tunnels.

« Il va pas y arriver... » murmurai-je.

« Bellamy ! Cours ! » hurle Clarke.

Bellamy court et prend une arme sur le sol pour se défendre. Juste après, un natif s'approche de lui. Il essaye de lui tirer dessus mais aucunes balles ne sort. Il esquive l'épée du natif, mais il se prend un coup de point en plein visage. Le natif l'attrape par le col de sa veste et lui donne un coup de genou dans le ventre. Du sang coule de plus en plus, alors que le natif continue de le frapper.

« Il est entrain de le tuer... » dis-je faiblement en pleurant.

Finn se retourne et arrache une arme des mains d'un tireur. Il se dirige ensuite à toute vitesse vers le natifs qui se bat avec Bellamy.

Le natifs sort un couteau, prêt à tuer Bellamy qui est désormais au sol. Mais il se fait arrêter par Finn qui lui tire une balle dans le bras.

« Finn, non ! » hurle Clarke en pleurant alors qu'il court sur le natif.

Bellamy et Finn continuent de se battre avec l'homme alors que Miller attrape mon bras, me sortant de mon état de choc.

« Clarke ! Tu peux pas sauver tout le monde ! Allez,viens ! » hurle-t-il avant de m'entraîner dans la navette.

Je regarde Bellamy une dernière fois et nos regard se croisent. Les larmes dans mes yeux brouillent l'image de son visage. Je suis ensuite  pousser dans la navette par Clarke, qui lève le levier pour fermer la porte, laissant Bellamy et Finn dehors condamnés à mourir.

Alors que la porte se ferme, une expression de choc s'installe sur le visage de tout le monde. Et avant que qui que ce soit désapprouve le choix de Clarke, la chef des natifs parvient à rentrer dans la navette.

Elle lève son épée et notre peuple arme leurs fusils. Soudainement, la navette est légèrement secouée et le bruit des hurlements des natifs refroidis tout le monde.

« Jasper, maintenant ! » ordonne Clarke.

Il appuie sur deux boutons sur la boîte de commande, mais rien ne ce passe.

« On n'ai foutu. » murmure Fox.

« Non, non, non.. » geint Jasper en appuyant rapidement sur les boutons.

« Anya, vous ne pouvez pas gagner. » s'exclame Clarke, me faisant à nouveau porter mon attention vers la natif.

Elle nous regarde un moment avant d'hurler et d'essayer de nous attaquer avec son épée. Miller intervient rapidement et la frappe sur le côté de sa tête avec son fusil.

Il continue à la frapper avec les encouragements de quelques personnes.

« Non! Stop ! Arrêtez ! Reculez ! » hurle Clarke, arrêtant tout le monde.

« Elle mérite de mourir ! » dit Miller en essayant de poignarder Anya.

« Non ! » dit Clarke en attrapant son poignet.

« Nous on n'est pas des natifs ! » s'exclame-t-elle.

Je me retourne vers Jasper et le regarde les larmes pleins les yeux. Il a deux câbles dans les mains et les dirige vers la boîte de commande. Rapidement, il connecte les deux câbles et enclenche la navette. Nous tombons tous au sol à cause des secousses.

Des cris d'agonie se font entendre dehors.

« Ça a marché... » murmurai-je.

Je me relève et marche vers le levier afin d'ouvrir la porte. Nous sortons tous de la navette et voyons le sol qui est désormais noir. Il est remplit de cendres et de squelettes, deux d'entre eux sont au même endroit où ce trouvaient Bellamy et Finn la dernière fois que je les ai vu.

Claire arrive à côté de moi.

« Qu'est-ce qu'on a fait ? » dit-elle.

« J'ai pas refermé cette porte, c'était ta décision. » répliquai-je.

« J'avais pas le choix. » se défend t'elle.

Elle n'a pas tord, si elle aurait laissé du temps à Bellamy et Finn de rentrer dans la navette, nous serions tous mort à l'heure qu'il est.

« On n'en sacrifie quelques un , pour en sauver plein d'autre... » murmurai-je.

Elle ne répond pas et garde son attention sur la fumée rouge qui commence à nous entourer. Je respire difficilement et commence à tousser incontrôlablement, avant de tomber au sol. Avant de m'évanouir, je vois des hommes vêtu d'une combinaison et armé.

.................

Je me réveille dans une chambre lumineuse. Avant de me lever, je jette un coup d'œil autour de moi et remarque qu'un baxter est planté dans ma veine. Je le retire et m'assoir sur lit dans lequel j'étais allongée.

La pièce entière est blanche. Le lit, les murs, le plafond et même les vêtements que je porte. Absolument tout, à part la peinture accrochée au dessus du canapé.

Je pourrais le reconnaître entre mille. Cette œuvre d'art s'appelle Cafe Terrace at Night par Vincent Van Gogh. J'ai lu un livre sur son travaille sur l'arche.

Je me lève et marche jusqu'à la porte blanche qui a une petite fenêtre en forme de cercle. Je regarde à travers la vitre et aperçois quelqu'un dans la chambre en face de moi.

C'est Jasper

« Jasper ! Jasper ! » criai-je en essayant d'ouvrir la porte, mais elle est fermée.

Jasper regarde par sa fenêtre et m'aperçoit. Il essaye de crier mon prénom, mais je n'arrive pas à l'entendre. Mon regard se porte ensuite sur le côté de sa porte.

« Mount Weather Quarantaine. » murmurai-je en lisant la pancarte.

« Où est-ce qu'on n'est bordel ? » dis-je à moi-même.