Première livraison

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Point de vue de Charlie

C'est toujours un plaisir. Le sexe, quelle invention quand même. Je m'étais un peu assoupi, je retrouvai mes esprits peu à peu quand je sentis sa main se posait sur mon torse.

- T'es enfin d'retour ? Dis-je.

- J'suis parti longtemps ? Me demanda-t-elle avec un sourire léger.

- M'ouais, une dizaine de minutes... J'ai flippé wesh, dis je, échangeant un sourire complice avec elle.

- C'était incroyable.

Elle s'approcha pour m'embrasser, mais je me suis éloigné. Je fis un saut brusque pour me lever puis je pris mes affaires pour me rhabiller. Elle ne comprenait pas trop pourquoi j'étais si pressé de partir dès qu'on finissait nos ébats, mais elle ne posait pas beaucoup de questions, une qualité que j'appréciais chez elle. On se rhabilla et rentra chacun chez soi.

2 semaines plus tard

14 septembre 2019, mon ami Johnis fête son anniversaire et il était 20 h quand cet enfoiré décida de m'appeler.

Moi :
Ouais allô !

Johnis :
T'es où ? Arrive sur le boulevard, on est chez le Millionnaire, dit il.

Moi :
Je suis là dans 15 min mec.

Ça tombe bien parce que GR voulait justement que je livre un paquet dans cette boîte. Je me préparais donc, comme je vais en ville, j'ai opté pour un beau smoking tout en noir, des gants noir et une écharpe lambda.

- Mon fils, tu vas ou à une heure aussi tardive ? Demanda ma mère, incompréhensive.

- C'est l'anniversaire de Johnis maman, on va fêter ça en ville, dis-je enfilant mon manteau.

- Ce n'est pas comme ça que je t'ai élevé mon fils, tu sors énormément ces temps-ci et très tard, quand vas-tu comprendre que le chemin que tu veux emprunter n'est pas bon ?

- Maman, je serais de retour avant minuit, ne t'en fais pas, dis je avant de sortir.

Je l'ai trouvé bizarre, pourquoi parlait elle d'une voie que je cherche à emprunter ? Était-elle au courant que je voulais entrer dans le jeu ? Elle me le répétait très souvent. Arrivant devant la grande boîte, j'ai appelé Jo qui sortit a ma rencontre. On se salua chaleureusement puis il me conduisit à leurs tables. D'un hochement de tête, j'ai salué tout le monde. Il avait invité certains amis à lui, d'autres, je les connaissais, d'autres, non.

Il y avait aussi quelques-unes de ses ex, trop bizarre ce mec. La bière et l'alcool étaient en grande quantité, sans parler de la musique, toujours aussi bruyante, jouant les meilleurs hits du moment. Chacun se laissait aller à ses folies, l'alcool commençant notamment à faire ses effets. GR m'avait donné un code, ou plutôt un chiffre, c'était le chiffre d'une cabine. Il y avait énormément de cabine dans cette boîte, c'était comme des bars VIP. Et à l'intérieur, je trouverais la personne à qui je devais remettre ce colis. 67. Je la vis de loin. J'alla vers la cabine.

En ouvrant les rideaux, je ne vis personne. Intrigué, je voulais appeler GR quand une autre personne entra dans la cabine avec moi.

- On dirait que vous vous ennuyez ? Dit une voix derrière moi.

Je me suis retourné et j'avais en face de moi une magnifique serveuse, elles avaient toutes le même uniforme, à savoir, une minie robe salopette à carreaux, qui leur arrivait mi-cuisse, une chemisette et des collants blancs. Mais celle-ci n'avait plus sa chemise, elle était seins nus sous sa salopette, plateau vide à la main, elle avait des seins énormes, je me demandais comment le tissu de son habit pouvait encore tenir. Elle était plutôt âgée, dans la trentaine, je pense, des fesses bombées, cheveux longs.

- Désolé je... Je cherchais quelqu'un, dis je timidement.

- Cabine 67, tu as le colis ? Me demanda-t-elle levant un sourcil.

- Ah, c'est... Vous ? Oui, oui, dis-je avant de lui donner le colis.

Elle l'ouvrit devant moi, et c'était des paquets de farine blanche. C'était ça la marchandise ? J'arrivais pas à y croire. Je venais de faire ma première livraison. Elle vit à mon regard que j'étais étonné de la scène.

- C'est ta première fois, je suppose ?

- Euh... Ouais, dis-je provoquant un léger sourire chez elle.

- Tu sais qui j'suis ? Me demanda-t-elle.

- Non, j'en sais rien.

Elle me poussa pour que je m'asseille sur le sofa, elle se mit à califourchon sur moi.

- Eh, bah, tu vas bientôt le découvrir mon beau, dit elle avant de m'embrasser fougueusement.

Je ne voulais pas me laisser être malmené, donc je pris rapidement les choses en main. Je pris ses cheveux en main, j'embrassai son cou, puis lui donner des petites gifles sur la joue, elle semblait aimer ça. Plus je la giflais, plus elle souriait, plus elle mouillait. Elle me demandait d'y aller plus fort.

- T'es une grosse cochonne en fait, dis je plus méchamment en lui giflant toujours aussi fort.

Elle se mit à genoux pour me sucer, j'y allais fort dans les gorges profondes. Elle se retenait de ne pas gémir fort, ni de versé une larme, les gifles devenait incessante, je crachais sur son visage aussi, elle était recouverte de sueur et de salive. Elle mouillait toujours autant.

Je lui mis deux doigts dans la chatte, elle bougeait ses hanches, signalant qu'elle en voulait plus. Je lui pris par les hanches et les installai sur la table, je lui ai déshabillé entièrement puis j'ai enlevé mon pantalon. La pénétration était douce puis mouvementée après. Elle prit ma main pour que je l'étrangle.

- Sois un putain de gangster et baise moi fort ! Vas y étrangle moi, j'veux que tu me tues !!! Aahahhnnn ! Dit elle, en train de gémir.

Elle était totalement chtarbée. Elle était essoufflée, je lui giflais, lui cracher dessus, l'étrangler encore plus fort, elle était aux anges. Il faut croire que j'ai toujours été habitué à ce rythme pendant un rapport sexuel, je n'ai jamais connu la douceur, c'était toujours aussi brutal.

J'ai fini par y prendre goût. Je l'ai retourné pour l'enculer, ce genre de femme devait avoir l'anus déjà bien ouvert. Elle comprit ça et se pencha en avant, tout en écartant ses énormes fesses. Et en un coup, j'étais en elle, je sentis sa respiration coupée pendant un instant, j'y allais de plus en plus fort.

- Mais où est c'que tu t'es fait des fesses pareil putain ! Ah !

- Il est à toi mon cul... Aarrrh... Défonce-moi bien l'anus.

Je sentais que j'allais venir, après plusieurs claques sur ses fesses, elle s'est effondrée sur la table et prêt de sa bouche, j'ai approché ma queue pour cracher mon sperme sur son visage. Et comme ça ne suffisait pas, j'ai pissé sur son corps. Je me suis effondré à mon tour.

- Mais t'es malade de pisser sur moi comme ça, sourit elle, t'as une queue monstrueuse pour ton âge, dit elle reprenant son souffle.

J'ai jeté un œil sur l'heure. «23 h 10 !! Déjà ?». Trois appels manqués de Johnis et un de ma mère (Pas bon signe ça). J'ai appelé Johnis pour lui dire que j'étais encore là. L'appel de ma mère entra sous mes yeux, j'appréhendais son message. Je répondis à son appel.

Moi :
Je suis déjà en chem...

Ma mère :
Ne rentre pas, reste où tu es, dit elle froidement avant de raccrocher.

C'était la merde, je devais rentrer. Pendant que je me rhabillais, je vu que cette serveuse me mater. Ça devait être ça la surprise de GR, en tout cas, elle était super. J'étais fier d'avoir fait ma première livraison. C'était cool.

Différemment : TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant