Je ne peux pas m'en empêcher, c'est trop bon nom de dieu, le goût de ces lèvres sur les miennes m'avaient manqué cette sensation d'être en sécurité dans ces bras, d'être désiré par lui me fait tellement de bien.
Je mets mes bras autour de son cou et prolonge encore plus notre baisé en y mettant tout les sentiments qui m'habitent, je voudrais que dans ce baisé il ressente ma douleur, mon désespoir, ma peur, et surtout ce sentiment qui électrise tout mon être quand il pose un simple regard sur ma personne, ce sentiment qui persiste malgré toutes ces années, malgré tout le mal qu'il a pu me faire, j'ai l'impression que c'est pareil chez lui sauf que je ne réussis pas à mettre de nom sur sa.
<<ou tu ne le veux simplement pas>> hasarda ma conscience qui me fait brutalement sortie de mon état de transe, ce qui me fait violemment ouvrir les yeux.
Je me sépare de lui, le souffle court et lui administre une gifle digne des plus grands films hollywoodiens, sa tête va sur le coté mais il ne bronche pas ce contentant de me lancer un regard noir.
Je soude mon regard au sien et articule lentement de ma voix la plus froide, comme si je parlais à un handicapé du cerveau.
— je t'interdis de m'approcher, de me toucher ou même simplement de me regarder. Tu me dégoûtes, tu pensais quoi? Qu'il aurait fallu que tu réapparaisse comme une fleure et que comme pas magie j'aurais oublié tout le mal que tu m'as faire ? Jamais tu entends, jamais je ne te pardonnerai alors fiche moi juste la paix bon sang, et ne t'avise plus jamais de poser tes mains sur moi c'est clair. Terminait je essoufflé, lui ne dit toujours rien et continu de me regarder, ce qui est vraiment inquiétant venant de lui, c'est ce calme avant la tempête qui m'a toujours faire peur chez lui et actuellement c'est toujours le cas, instinctivement je recule d'un pas mais ne baisse toujours pas les yeux.
J'ai un léger sursaut quand un rire grave et rauque s'échappe de sa gorge, ces yeux dans les miens sont encore plus noir que tout à l'heure, je recule encore de deux pas, il me fait peur quand il est dans cet état mais j'essaie de ne rien laissé paraître.
— pense tu vraiment que je vais te laisser à quelqu'un d'autre ma rouquine? Demande il en avançant encore plus dans ma direction, me fessant reculé encore à chaque pas, jusqu'à ce que je me retrouve coincé entre la porte et son torse massif sur le quel je refuse de louché.
Il rapproche encore plus nos corps, je sens son souffle chaud et doux sur mon visage, seigneur et son parfum que j'ai toujours trouver si enivrant embrasse tout mon être, sa bouche sur mon oreille qui m'arrache un faible soupire de plaisir et ces mains qui....— ar...arrêt, tu.. tu.<<pitoyable>>
— je quoi ma rouquine hum? Tu dis que je te dégoute alors que tu frissonne à chacune de mes caresses, chacun de mes baisers, et je suis sûr que là tu t'imagines comment sa serai si je te prenais là, maintenant pas vrai ? Souffle t'il au creux de mon oreille de sa belle voix grave qui me fait rougir instantanément, bon sang comment il réussit à avoir une tellement emprise sur moi, j'essaie platement de séparé nos corps sans succès.
<<faut dire que tu ne fait pas vraiment d'effort hein>>
— no...non arrête, je...je. Ne me touche pas, tu. J'arrive même plus à faire une phrase correct génial.
— non. Tu ne veux pas que j'arrête, tu me veux aussi fort que je te veux pas vrai bébé ? Dit il d'une voix déterminer
— n..non, j'ai déjà quelqu'un dans ma vie et..et toi tu fais partie de mon passé.
— alors comme sa tu embrasse ton passé, hum.. Je crois que j'ai vraiment beaucoup de chances , tu ne pense pas?
— quoi? Non je.. Et puis merde lâche moi je...
Mon souffle se bloque dans ma poitrine où mon coeur ce mit à battre encore plus vite quand il pose une nouvelle fois ces lèvres sur les miennes d'une douceur que je ne lui reconnais pas, il ne m'a jamais embrasser comme sa, avec tellement de tendresse, de passion, de désir et de...non. C'est impossible.
On se sépara à bout de souffle son front sur le mien, il a les yeux fermés et prendre une grande inspiration comme pour se marqué de mon parfum à moi puis lâche une grognement super sexy.
— je me moque de ton soit disant petit ami bébé, tu es à moi et à personne d'autre et ceux depuis le jour que tu m'as donner ta virginité, alors tu vas renvoyer cet abruti d'où il vient dans les plus brefs délais parce que je suis là bébé et que tu le veuille ou pas je compte bien te reconquérir parce que tu es mienne.
Il me déballe tout sa comme si la situation était parfaitement normal, comme s'il ne m'avait jamais chassé de chez lui, comme si rien ne c'était jamais passé, comme si pour lui tout sa n'était rien alors que mon univers c'est complètement effondré ce soir là, alors que depuis 4ans je n'arrive même pas à dormir sans penser à ça.
Je le regarde quelques minutes pour voir s'il est sérieux et effectivement il l'est, un plis amer prend place sur mes lèvres, puis subitement je suis prise d'un fou rire, j'arrive plus à m'arrêter c'est plus forte que moi, je ris encore et encore, je crois que mes nerfs ont lâché, et puis mon manque de sommeil n'arrange rien.
Quand je me reprends un tant soit peu je porte mon regard sur lui avec un léger sourire au coin.
— va en enfer Roy Andréas, tu es l'être le plus égoïste et méprisable qui m'est été donner de rencontré de ma vie, tu sais quoi? Je te remercie de m'avoir éloigné de ta vie parce que grâce à sa j'ai pu évité le pire.
J'ouvre la porte et m'apprête à sortie de façon théâtrale quand la phrase qui sort de sa bouche m'interrompt dans ma lancé.
— il est hors de question que je renonce à toi, à nous, alors prépare toi ma rouquine, je ne te lâche plus.
Puis je claque la porte.Pour qui se prend t'il cet abruti finir, jamais plus tu ne m'auras Andréas, non jamais...
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ne me Fuis Pas
RomanceQuand je l'ai rencontré je ne croyais pas au fait que quelqu'un comme lui puisse s'intéresser à moi. Et ça c'est confirmer 6 mois plus tard quand il m'a mis à la porte, mais j'ai appris de mon passé et plus jamais je ne laisserais quelqu'un me brisé...