— Je n'arrive pas à croire que tu n'es jamais venu içi. dis je en prenant une bouché de ma crêpe au chocolat alors qu'il me regarde avec une lueur amusé au fond des yeux ce qui me fait rougie aussitôt.
— pourtant c'est bien la triste vérité, je n'ai pas vraiment le temps de faire une pause, faut croire que mon travail me prend trop de temps.
— mais, tu ne sors pas avec tes amis dans des clubs ou autre par exemple ?
— hum.. C'est un peu compliqué à vrai dire, avec les gars ont ne se voir pas souvent ou très peu étant tous occupé c'est pas vraiment facile, c'est vrai il nous arrivé de nous trouvé dans certaine soirée caritative ou diner d'affaire. Dit il en prenant une gorgé de son café alors que je n'arrive pas à détourné mes yeux de lui, il est tout simplement magnifique dans ce t-shirt blanc qui dessine parfaitement sa musculature et ce jean noir qui le va à la perfection, à côté de lui je me sens comme une lycéenne avec ma natte sur le côté et ma robe fleurie, et dire que c'est moi qui a eu cette idée idiote de venir sur cette terrasse pour apprendre à mieux ce connaitre j'ai un peu honte maintenant, partout où nous allons tout les regards se tournent vers lui, il ne semble pas vraiment s'en soucier mais sa reste quand même très génant comme là maintenant toute les femmes presente ne cesse de le dévisagé sans caché leurs pensée, << j'aurais dû resté à la maison moi>>.
— n'y fait pas attention ma belle d'accord ? me dit il de sa belle voix grave en prenant ma main dans un geste possessif et rassurant alors que ces yeux ont clairement viré au noir, je fronce des sourcils ne comprenant pas pourquoi il semble si en colère.
— tu es fâché ? Dis je d'une petite voix alors qu'il sert un peu plus ma main dans la sienne.
— non ma rouquine, je ne suis pas fâché juste un peu frustré ne t'inquiète pas. Dit il en forçant un sourire qui me parait bien sinistre, et je voudrais savoir quel genre d'idée traverse son esprit en cet instant.
— frustré? Mais pourquoi ? J'ai dire quelque chose de mal? C'est l'endroit qui ne te plait pas? Oh je le savais, on aurais dû resté à la maison, tu n'avais sans doute pas envie de venir et...
— bébé, me coupe t'il alors que j'étais passée en mode panique, il me sourit avec tendresse avant de posé sa main sur ma joue qui devait être brûlante. Ma frustration n'a rien à voir avec toi, du moins pas totalement. Rajout il dans sa barbe les sourcils froncé alors que ces yeux perçant pulvérise quelque chose ou plutôt quelqu'un à ma gauche, en effet trois hommes d'environ 30 ans se trouvent à une table à notre gauche et ils ont les yeux rivé sur moi, quand je rencontre le regard du plus vieux au centre un frisson de dégout me traverse, son regard sur moi est complètement dégue on dirait qu'il me déshabille du regard, je baisse aussitôt les yeux puis je les reporte sur roy qui à la machoire tellement serré que je crains que cette dernière ne se brise.
— r-roy c'est r-rien tu sais, j-je vais bien, ne fait pas attention s'il te plait. Dis je d'une voix pas très convainquante mais assez suffisante pour qu'il reporte son regard sur moi, il me fixe quelque seconde avant de me sourire de nouveau.
— tout va bien ma belle ne t'inquiète pas, termine ta crêpe d'accord ? Dit il d'une voix de gorge, je regarde mon plat qui me paraissait pourtant si délicieux il y'a quelque minutes, je regarde roy et j'ai l'impression d'avoir l'homme froid et implacable en face de moi,<< moi qui voulai juste passé la journée avec lui>>.
Un silence pessant c'est installé à notre table, j'ai beau essayé de relancé la discussion mais rien à faire il reste très évassif dans ces réponses, je soupire pour la énième fois et porte une nouvelle fois ma cuillère dans ma bouche alors qu'il ne me regarde même plus depuis un bon bout de temps déja, je sens les larmes me monté aux yeux et je me dépêche des les ravalés avant qu'il ne le remarque, son téléphone brise le silence qui c'est installé et il se lève pour allé repondre.
— ne bouge pas d'ici d'accord ? Je reviens vite. Dit il avant de partie sans attendre de réponse, je le regarde partie avec un pincement au coeur, il semblait pourtant s'amusé au début et il a fallu que ces imbéciles viennent gâché cette journée que j'ai mis deux semaines à organisé avec les filles, je suis tellement dégouté.
Il en met du temps quand même pour un simple appel, je ne vais pas quand l'attendre pour allée faire pipi, si? Et puis merde je vais juste au toilette et je reviens, de toute façon il ne remarquera pas mon absence, sur ce je me dirige vers les toilettes en demandant mon chemin, une fois dans celui ci je m'enferme dans une cabine et faire ma petite commission, j'y sors quelque minutes plus tard et va me lavé les mains et me rafraichit un peu le visage, << cette journée ne pouvais pas être pire hein>> me dis je en regardant mon reflet quelque instant avant de me retourné pour sortie, roy doit être revenu maintenant, mais dans mon geste précipité je bouscule quelqu'un que je n'avais pas vu.
— oh... Je suis désolé je ne vous avais pas vu. Dis je rapidement.
— mais on dirait que le chevalier servant à abandonné la princesse à son triste sort. Dit une voix grâce et étouffé près de mon oreille alors que je suis paralysé par la peur.
— oh mais j'aurais plutôt dire un chaton moi. Dis un autre alors que je m'écarte brusquement d'eux, et c'est avec horreur que je vois les hommes que roy regardait, qu'est ce qu'ils font là, je pensais qu'ils étaient partie, ooh bon sang mais pourquoi j'ai laissé mon sac hein.
— qu'est ce que vous me voulez ? Dis je d'une voix calme en les fixant droit dans les yeux alors que tout mon être tremble de peur, j'aurais vraiment dû resté à ma place merde, maintenant je suis toute seul face à trois connard qui visiblement conte s'amusé avec moi, sans arme et par dessus tout roy ne sait même pas où je suis, << je retire ce que j'ai dire, sa pourrai être pire>>. Alors pourquoi cette assurance hein.
— oh mais ce qu'elle est encore plus sexy quand elle me lance se genre de regard, regarde comme tu me fais bandé ma belle, me dit ce malade qui me déshabillait du regard plus tôt alors qu'une grimace de dégout étire mes lèvres, il faut que je gagne en temps je suis sur que roy est déja à ma recherche et qu'il ne va plus tardé, oui je le sais.
— j'aimerais bien voir sa mais le problème est que votre jouet est tellement petit que je crains avoir besoin d'une loupe pour la voir désolé. Dis je d'un ton faussement innocent, j'aurais presque envie de rire si la situation n'etait pas si délicate, il fonce sur moi et je peux clairement lire dans ces yeux une haine pur et dur, plus il avance et plus je recule jusqu'à être coincé contre le mur, fait chié.
— tu vas voir petite salope allumeuse quand j'en aurais finir avec toi tu ne jura plus que par moi. Me dit il en prenant mes joues de sa main dégoutante.
— alors préviens moi quand les cochons auront des ailles, parce que jamais tu ne me toucheras de mon vivant vieux porc. Dis je avec hargne, ni une ni deux je lui mets un coup dans les partie et un autre sur la gorge alors qu'il s'effondre en éttoufant ces potes qui étaient resté jusque là en retrait fonce sur moi, je reçois un coup qui me sonne quelque seconde avant que je ne lui donne un coup de courde dans la machoire et frappe l'autre dans le ventre, je ne sais même pas comment j'arrive à faire sa on dirait que mon corps bouge tout seul, je me bats de toute mes forces en visant la porte, je gueute la première occassion et quand je l'ai enfin je ne refléchir pas plus et sort en courant mais je bouscule encore quelqu'un dans les couloirs et manque de tombé mais il me retiens fermement je me débats dans ces bras en criant comme une folle.
— LÂCHÉ MOI, LÂCHÉ MOI, NON...
— ELLE EST LÀ. dis une voix dans mon dos alors que les larmes dévallent mes joues, tout mon corps tremble et ce type qui ne me lâche toujours pas, << roy, au secours>>.
— tu vas bien? je suis là ne t'inquiète pas. Dit la voix de l'inconnu pas si inconnu que sa en fait, quand je lève les yeux et que je croise ces yeux vairons mon corps cède enfin et les larmes dévallent mes joues, je suis en sécurité maintenant.Il est là..
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ne me Fuis Pas
RomansaQuand je l'ai rencontré je ne croyais pas au fait que quelqu'un comme lui puisse s'intéresser à moi. Et ça c'est confirmer 6 mois plus tard quand il m'a mis à la porte, mais j'ai appris de mon passé et plus jamais je ne laisserais quelqu'un me brisé...