chapitre 27

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Oh ma tête, putain qu'est-ce que j'ai foutue pour avoir autant mal, et ce putain du bruit qui ne s'arrête pas, que quelqu'un m'aide je vous en prie.
Je puisse dans mes dernières forces pour me redressé et arrête enfin ce bruit infernal. Je pousse un énorme soupir et passe une main dans mes cheveux en battail, j'ai comme des flash qui me reviennent en mémoire, ma discussion avec luna, les verres enfilé, les rires et la danse, Jason qui me raccompagne et...
— oh mon dieu Jason.. Criais je en me redressant subitement du lit comme si celui-ci m'avait brûle, ce n'est que maintenant que je remarque la présence près de moi, je regard plus attentivement en priant de toute mes forces qu'il ne se soit rien passé entre nous, <<non mais qu'est-ce qui m'a pris de me laissé autant aller avec un inconnu?>> j'ai vraiment la poisse moi.
La personne remue sur le lit et je me liquifie presque aussitôt, pitié tout mais pas sa.
— oh ma tête, geint une faible voix que j'identifie comme celle de luna, je relâche tout l'air que je retenais dans ma poitrine et me laisse tomber sur le lit soulager.
— bon sang plus jamais je te suis dans tes délires luna. Dis je d'une voix tout aussi douloureuse que la sienne alors qu'elle rigole.
— tu dis sa mais on sait toutes les deux que tu seras toujours partante, dit elle dans un rire moqueur alors que je la suis sachant pertinemment qu'elle a raison.
— connasse. Dis je tout de même pour la forme.
— je t'aime aussi. Réplique t'elle alors que je lui fais un doigts d'honneur ce qui nous fais rire de plus belle avant qu'un gémissement de douleur ne nous échappe.
— aller viens, je pense que j'ai de quoi nous soulagé en bas, dis je en me redressant une nouvelle fois, elle fait pareil et nous descendons les escaliers pour rejoindre la cuisine, on doit faire peur à voir avec nos énormes cernes sous les yeux, nos cheveux en pagaille et nos maquillages qui ont coulé, on dirait des zombies, << vraiment très class, ô grande vise présidente d'une multinationale>> me nargue ma conscience d'un air sournois.
Quand on arrive enfin à la cuisine, on se jettent littéralement sur la cafetière, on prend deux énormes bol de café qu'on finir presque aussitôt avant d'avaler des médoc pour notre mal de crâne, avant de prendre du café.
— tu sais comment nous sommes arrivé dans ton appart de secours ? Me demande luna en portant son bol à ces lèvres, je fais de même avant de repondre.
— si je ne me trompe pas c'est Jason qui nous à raccompagné, il a dû repartir après je ne m'en souviens pas trop. Dis je devant son regard remplir d'interrogation.
— Jason? C'est qui ce Jason ? Demande t'elle.
— ah oui c'est vrai, tu étais déja dans les vapes quand on l'a rencontré hier. Dis je en riant, jason bradley si je me souviens bien rappel moi de faire des recherche sur lui après la reunion avec les français s'il te plait. Repris je en prenant une gorgé de café que je renvois presque aussi vite.
— OH MON DIEU LA REUNION. criais je en même temps que luna en passant en mode panique, merde roy va me tuer, comment j'ai pu zappé sa bon sang. << sa t'apprendra à picolé un jeudi soir>> oh la ferme hein.
Je fonce dans la salle de bain alors que luna se dirige vers le dressing pour essayé de nous trouver des tenus correct, je mets moins de 10 minutes au bain et sort pour laisser la place à luna. Je me depêche d'enfilé la robe rouge qu'elle m'a préparé et comment dire, on ne peu pas faire plus provocant pour une simple journée de travail. Avec sa fente à la cuisse droite et son décolté assez visible je suis sur de ne pas passé inaperçu, bon de toute façon j'ai pas vraiment le temps d'en cherché une autre alors on va faire avec, je me fait un maquillage léger et rapide pour camouflé ma tête de zombie, je suis entrain d'enfilé mes chaussures quand luna sort de la salle de bain prête, elle a même meilleur mine que moi, bon c'est vrai je ne supporte pas vraiment l'acool mais quand même.
— olala alex sexy boss va nous écorché vif c'est moi qui te le dis. Dit elle paniqué en prenant son sac à main, je fais de même et on dévale les escaliers comme des folles pour sortie de l'appart, alan mon chauffeur nous attend déja devant la voiture.
— bonjour mesdemoi...
— bonjour alan, pitié mettez la gomme nous sommes à la bourre. Le coupais je en entrant en trombe dans la voiture suivie par luna, j'attache ma ceinture alors qu'il démarre déja.
Tout le temps que dure le trajet on passe des coup de fil à certain client et on fait le point sur certain évènement à venir, roy m'a appelé mais j'ai ignoré ces appele, je sais que c'est pour le travail mais je l'en veux toujours pour cette histoire avec cette fameuse raya, depuis la veille j'ai mis de côté mes problèmes personnel mais malheureusement ils sont bien là et il faut que je trouve une solution au plus vite. On arrive quelque minutes plutard et nous prenons la direction de la salle de reunion, une fois devant celle ci luna s'apprête à frappé mais je l'ouvre direct en mettant mon masque de femme d'affaire, les visages des gens présent convergent vers nous mais un regard en particulier retiens mon attention, bien que c'est pour me lancé des éclaires il affole tout de même mon pauvre coeur, je sens luna se caché derrière moi sous le regard noir que nous lance roy, je me dirige vers mon siège et prend place une fois toute les deux installé je prends la parole pour enfin brisé le silence de mort qui c'était installé.
— bonjour messieur, je m'excuse pour notre retard, j'ai eu un petit contre temps, maintenant nous pouvons reprendre où vous en étiez. Dis je dans un français impeccable en évitant le regard brulant de roy sur moi.
— très bien, maintenant que mademoiselle Morino est là nous pouvons entrée dans le vif du sujet. Déclare t'il d'une voix si froide que personne n'ose repliqué et on commence enfin la reunion, toute au long de celle ci je n'ai pu m'empêché de lui jeté quelque coup d'oeil, il a la machoire contracté, les poings serré, des cernes toute aussi presente que les miennes à croire qu'il n'a pas beaucoup dormir ces derniers jours.
Hier après notre entrevu dans son bureau j'étais tellement blessé qu'il refuse de ce confié à moi, qu'il refuse de partagé ces soucis avec moi, je savais pourtant qu'il ne me fessait pas assez confiance pour me parlé de lui, mais encore une fois j'ai voulu y croire et je me suis prise le plus gros rateau du siècle, un soupir m'échappe et encore une fois les regards se tournent vers moi, << non mais sérieux pourquoi j'ai autant de poisse dans ma vie hein>>.
— vous avez quelque chose à rajouté peut être? En même temps sa serait suprenant que vous y comprennez quelque chose, vous n'êtes qu'une femme après tout. Dit un de nos investiseurs d'une voix hautaine, avec un regard de mépris dans ma direction, << je vais me le faire cette ordure>> comment il s'appele déja lui? Et puis merde.
— non Mr, euh... Excusez moi, mais vous êtes qui déja ? Dis je avec un sourire en coin et un regard interrogateur à son encontre alors que je le vois rougis à vu d'oeil.
— vous voulez dire que vous ne vous rappelez même pas de moi ? Dit il d'un air outré, <<mais mon vieux c'est pas comme si tu étais le centre de mon monde hein>>. Pensais je alors que j'entends quelqu'un rigolé et d'autre me font les gros yeux. Bah quoi?
— alex, chuchote luna d'une petite voix, tu as encore pensé tout haut. Dit elle alors que je realise ma bêtise sous le rire grave de quelqu'un dans la salle, je jette un coup d'oeil à roy et je suis rassuré quand je vois que lui aussi se retiens de rire en camouflant celui ci derrière son poingt, je regarde alors cette personne qui lui manque cruellement de tact et je crois frôlé la crise cardiaque quand je rencontre ces yeux vert...
— oh merde. Dis je encore à voix haute.

C'est vraiment ma journée hein...



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