chapitre 37

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— ma rouquine s'il te plait ouvre, il faut qu'on parle, tu ne peux pas passé toute ta journée cloîtré dans cette chambre quand même. Dis je en frappant une nouvelle fois alors que je ne reçois toujours aucune réponse de sa part ce qui commence à sérieusement m'inquiéter, depuis hier qu'elle nous à entendu parlé elle n'est plus sortie de sa chambre, je pourrais bien l'ouvrir avec le double des clés mais je voudrais qu'elle le fasse elle même pour être sûr qu'elle soit disposé à me parler, le moins qu'on puisse dire c'est que ce n'est pas gagné. Je ne reçois aucun bruit et ne perçois aucun bruit, bon sa suffit, je me dirige à grand pas vers mon bureau ouvre le premier tiroir et prend le trousseau de clé et reviens sur mes pas déterminer à clarifier cette situation, elle doit m'en vouloir et c'est comprehensible, << tu as merdé Andréas>> me nargue ma conscience alors que je prends le couloir qui mène à sa chambre, la sonnerie de mon téléphone me stop dans ma lancé, je le retire de ma poche d'un geste brusque et décroche sans même regardé le numéro de l'appelant.
— Quoi. dis je plus agressivement que je l'aurais voulu, je passe ma main dans mes cheveux et souffle un bon coup avant de reprendre plus posément. Roy Andréas j'écoute.
Mais la personne ne dit toujours rien pourtant j'entends bien une respiration lourde à l'autre bout du fil.
— qui est à l'appareil ? Dis je d'une voix froide en sentant l'agacement monté en moi, putain c'est quoi ces conneries. Si vous n'êtes pas disposé à parler alors ne me rappelé plus c'est clair. Repris je plus sèchement avant de raccrocher et de continué mon avancé vers la chambre de ma rouquine, mais mon téléphone sonne de nouveau, cet fois je regarde avant de décroché et fronce les sourcils quand je me rends compte que c'est un numéro masqué, je décroche et le porte une nouvelle fois à mon oreille.
— qui êtes vous? Dis je d'une voix plus neutre en attendant la respiration à l'autre bout s'accélérer, j'attends quelques secondes mais la personne ne dit toujours rien, je serre les poings, j'ai comme une énorme boule dans le ventre quand un souvenir que je voudrais oublié à tout prix remonte à la surface, c'est comme se jour là, oui ce jour où cette salope l'a tuer, ce jour où elle a pris la vie de cet être qui comptait plus que tout pour moi, oui ce jour là que j'ai été obligé de faire ce choix horrible qui m'a coûté une part de moi, je serre les dents de rage et reprend cette fois ci avec la certitude que c'est bien elle.
— comment ça va depuis le temps ma très chère... Raya. dis je de ma voix la plus impassible, j'attends quelques secondes de plus puis un éclat de rire hystérique me provient, je serre les dents tellement fort que je les sens grincer.
— oh mon amour, j'étais sur que tu ne m'avais pas oublier, comment tu aurais pu de toute façon, tu as toujours été fou de moi, du genre vraiment fou. Dit elle en riant de plus belle, << oui roy comment pourrais tu l'oublier hein>> la ferme, cette fille, elle a toujours su réveiller le pire en moi, et rien que de l'entendre après tout ce temps me donne des envies de meurtre, sa voix me replonge dans des ténèbres qui chaque jours me hantent jours et nuits, j'en viens même à me demandé pourquoi je ne l'ai pas tuer ce jour là.
— comment tu vas mon amour, sa doit faire quoi? 6ans qu'on ne sait pas vu? Je veux dire depuis ta dernière visite, tu m'as tellement manqué tu sais, je t'ai manqué aussi pas vrai? Bien sur que je t'ai manqué. Dit elle en partant dans son délire, je ne dis rien je sens mon corps tremblé de rage, mes yeux s'injecter de sang alors qu'elle déballe toute sa merde, une voix en moi ne cesse de hurlé que je dois la retrouver et fait ce que je n'ai pas eu le temps de faire dans le passé.
— où es tu? Dis je les dents serré alors qu'elle pousse un rire insupportable pour mes oreilles.
— oh mais tu le sais très bien mon amour, je ne suis jamais très loin de toi, mais par contre je suis très en colère contre toi mon chéri, mais encore plus contre cet contrefaçon toute raté de moi qui te suis partout comme un petit chien, c'est un obstacle à notre amour, mais ne t'inquiète pas je vais vite m'en débarrasser. Dit elle alors que je sens des sueurs froides dans mon dos, mes muscles se figent et je serres plus fort le téléphone dans ma mains, <<comment elle est au courant pour alex?>>.
— si tu l'approche, je jure de te décapité à main nu alors fait gaffe à ce que tu dis ou à ce que tu vas faire. Dis je d'une voix que j'ai du mal à reconnaitre, elle reste silencieuse pendant un long moment avant de rire plus fort encore.
— oh tu veux dire l'approcher comme sa? Dit elle puis la seconde suivante mon téléphone vibre je le retire de mon oreille et c'est avec horreur que je découvre la photo qu'elle vient de m'envoyer, alex assise sur un banc dans un parc une arme pointé dans sa direction, elle semble ailleurs et ne se rend même pas compte du danger qui plane sur elle, le coeur battant je fonce dans sa chambre et me rend compte que cette dernière est bel et bien vide, << mais quand est elle sortie putain>>, je regarde partout comme un fou mais aucune trace de ma rouquine, putain. C'est la voix dans combiné qui me sort de mes pensées.
— oh ne me dit pas que tu viens de remarqué l'absence de ta belle? Oh c'est moche sa, mais bon venant de toi ce n'est pas si surprenant tu n'as jamais été douer pour protégé les gens que tu aimes pas vrai? Dit elle en riant de plus belle avant de coupé la communication, je regarde le téléphone dans ma mains quelques secondes avant de poussé un crie de rage et de balancé ce dernier contre le mur.
— FAIT CHIER MERDE, JE VAIS LA BUTÉE CETTE SALOPE. hurlait je en descendant les escaliers en courant.
— roy? Qu'est-ce qu'il y'a? Dis Jason en venant vers moi presque en courant, la respiration saccadé j'essaie de ma concentré un minimum pour ne pas tout pété autour de moi, je sais par expérience que sa ne sert à rien mais j'ai besoin d'évacuer cette rage qui gronde en moi.
— rappel les autres, il faut retrouvé alex au plus vite. Dis je cherchant mes clés de voiture alors qu'il ne bouge pas les sourcils froncés d'incompréhension.
— mais qu'est-ce que tu raconte? Alex est dans sa chambre elle n'est pas...
— BORDEL BRADLEY TU VAS LA FERMÉ ET FAIRE CE QUE JE TE DIS MERDE, FOUILLER TOUT LES PARCS DES ENVIRONS ELLE NE DOIT PAS ÊTRE BIEN LOIN, ELLE A DU S'ÉCHAPPER QUAND ON ÉTAIT DISCRET MAIS ELLE NE SE RETROUVE PLUS DANS SA CHAMBRE, et à cause de moi cette cinglé de raya va s'en prendre à elle, elle est en danger alors bouge ton cul. Terminais je en entrant dans l'ascensseur, j'appuie rageusement sur le bouton qui mène au garage et entre dans la première voiture qui se trouve à ma gauche, la peur au ventre je démarre et fonce vers une destination inconnu en priant pour que ma rouquine soit saine et sauve.





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