chapitre 46

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L'arme braqué sur nous, plus précisément sur alex me fait bouillonner de rage, alors que cette garce se tient en face de moi avec un sourire victorieux j'essaie par tout les moyens de contenir ma rage pour me concentrer uniquement sur ma rouquine qui a besoin de moi.
— tu comptes déjà me quitté après tout le mal que je me suis donnée mon amour? Dit elle avec un mélange de haine et de folie dans les yeux, je reste silencieux espérant trouvé une solution rapide qui ne mettra pas plus ma rouquine en danger.
— oh roy roy roy, mon pauvre chéri, regarde toi si désespéré et à ma merci tout sa pour cette pute, alors qu'il est évident que je suis mieux qu'elle en tout point, putain regarde moi quand je te parles. Hurle t'elle dans un cri remplir de folie quand elle constate que mon regard est fixée sur ma femme. Bon sang qu'est-ce qu'elles ont que je ne peux te donner hein, pourquoi t'efforce tu à rejeter mon amour? Ne vois tu pas que tu serais mieux avec moi? Ne vois tu pas à quel point tu m'aimes moi et pas elle? Combien faut il que j'élimine pour que tu comprenne enfin hein. Continue t'elle alors que je serre les dents pour ne pas la sauter dessus.
Je lui lance un regard noir avant qu'un rire cynique ne m'échappe.
— que je t'aime moi? Putain je n'ai jamais entendu plus grande connerie de ma vie, je ne t'ai jamais aimé ma pauvre et je ne t'aimerai jamais, la seul femme que j'aime et que j'aimerais toute ma vie c'est celle-ci que je tiens dans mes bras, tu veux savoir ? C'est vrai que j'aimais beaucoup Elia mais ce que je ressent pour ma rouquine je le sais, je le sens depuis des années, c'est un amour pure et sincère qui me ferait faire n'importe quel folie pour elle, tu penses être mieux qu'elia ou encore qu'alex? Mais ma pauvre petite chose tu n'es en rien comparable à elle, tu n'es juste qu'une pauvre drogué de pacotille qui est déséquilibré dans sa tête, en gros tu n'es qu'une folle et rien de plus, pour moi tu n'as été qu'un bouche trou à une certaine période de ma vie, tu comprends sa ?. Dis je dans un demi sourire alors que je vois une lueur s'allumer dans son regard, cette lueur que je connais si bien.
— n-non, n-non, NON, TU M'AIMES JE LE SAIS, JE NE SUIS PAS FOLLE, TU M'AS TOUJOURS AIMER MOI ET PERSONNE D'AUTRE JE LE SAIS. hurle t'elle les mains dans les cheveux qu'elle tire activement.
— alors il est plus que temps que tu te réveille ma pauvre.
— non, tu m'aime, tu m'aime, tu m'aime. Répète t'elle, alors que le bruit des ambulances se font entendre au loin, il faut que je sortes d'ici, je regarde ma rouquine qui est toujours inconsciente la respiration affaiblis, << putain bébé qu'est-ce que je ne ferais pas pour toi hein?>> râle ma conscience alors que je ne réfléchis pas plus longtemps et je fonce en courant vers raya qui est toujours dans son délire kit à me prendre une balle. Je fonce avec ma femme dans mes bras alors que je pensais qu'elle allait faire quoique ce soit elle reste immobile dans un conflit interne << elle n'a qu'à crevé>>, je fonce vers les escaliers alors que quelques coup de feu se font encore entendre au loin et certains hommes blessé se dirigent vers la sortie en courant, je dévalle les escaliers en voyant liam au loin qui fait sortie des filles qui semblaient être enfermé, et Jason qui reviens vers la maison couvert de sang, ne regards se croisent une fraction de seconde avant qu'une douleur fulgurante me saisit l'épaule me fessant perdre l'équilibre, j'essaie de protégé au maximum alex pour qu'elle n'est pas plus mal.
— TU ES À MOI ROY ANDRÉAS, ET SI JE NE PEUX PAS T'AVOIR ALORS PERSONNE NE T'AURA TU ENTENDS? S'IL FAUT TE BUTÉ POUR SA EH BIEN TANT PIS, hurle la voix hystérique de raya en haut des marches qui est prête à nous tiré dessus une nouvelle fois, mais un coup de feu venant de je ne sais où la fais lâché son arme dans un cri de douleur, Damon sort d'un autre couloir son arme braqué sur se connard de Brad et une autre sur raya.
— tu te ramollis mon vieux, comment tu as faire pour le loupé à ce point? Chantonne t'il avec un sourire flippant aux lèvres.
— roy, tu m'entends ? Ça va ? Dit la voix inquiète de Jason qui vient de nous rejoindre, je lâche un grognement en me levant ma femme toujours dans mes bras, je ne veux plus la lâché d'une semelle.
— occupez vous d'eux s'ils vous plait, dis je d'une voix de gorge, c'est vrai que j'aurais voulu finir ce que j'ai commencé avec se connard mais ma priorité reste ma femme et je sais que Damon en a autant besoin que moi, c'était sa soeur après tout, j'avance vers la porte l'épaule en sang mais je fais abstraction de toute douleur et franchir la porte sans un regard derrière moi alors que les cries de raya n'arrête pas.
— ce n'est pas finir roy, tu entends ? Ce n'est pas finir. Crie t'elle, << c'est là que tu te trompe raya, c'est bien finir>>.
J'avance vers des ambulanciers qui venaient déjà vers moi avec un brancard, où j'y pose délicatement ma femme, on l'installe dans une ambulance et j'entre avec elle.
— qu'est-ce que...
— elle a été drogué, battu et peut être plus alors bouger vos culs de merde et occupez vous d'elle. Dis je d'une voix sombre en repoussant l'infirmière qui venait regardé mon épaule, mais je m'en foutais de ce qui pouvais m'arriver du moment qu'elle survive, je ne pourrais pas vivre sans cette femme dans ma vie, elle m'est plus que vitale, je l'aime tellement.
C'est finir maintenant mon amour tu ne crains plus rien.
Nous avons roulé plus d'une demi heure, ces demi heure ont été les pires de ma vie, elle a faire une crise cardiaque deux fois sur le chemin et j'ai bien cru que ma vie devait s'achever avec qu'elle a ces moments là, une fois que nous sommes arrivée elle a été transféré dans un bloc et depuis plus de deux heures je suis planté là comme un con à attendre qu'on me donne des nouvelles de ma femme. <<tu n'as pas interêt à me lâché ma rouquine tu entends ? Tu as interêt à sortie de là plus en forme que jamais d'accord ?>>.
— comment va t'elle ? Dit la voix de mon grand père en arrivant à ma hauteur avec les filles et ray, alors que j'ai encore beaucoup de mal à reconnecté mes pensées tellement je flippe, je prends une grande inspiration et regarde ray qui semble aussi blessé.
— je n'en sais rien, je n'ai aucune nouvelle, où sont les autres?
— ils ne devraient plus tardé.
— je te manque déjà mon petit Andréas ? Dit la voix railleuse de Damon alors que je lève les yeux au ciel exaspéré.
— j'aurais bien aimer que tu y sois rester. Dis je avec un demi sourire alors que le siens s'agrandit. Comment ça va ? Rajoutait je en les regardant à tour de rôle.
— oh ne t'inquiète pas pour nous, ont pète la forme, mais alex comment elle va? Dis Jason en prenant place au sol près de moi au sol avec une grimace au visage.
— eh bien...
— vous êtes bien de la famille d'Alexandra Morino? Me coupe une voix alors que je me redresse prestement.
— oui, je suis son mari, comment elle va ? Dis je avec empressement.
— ah oh, très bien, alors Mr ça n'a pas été facile de stabiliser l'État de votre femme, elle a faire une overdose et a faillir y passé, si vous n'étiez pas arriver à temps on l'aurais sans doute perdu mais maintenant tout va bien et on a pu éliminer toute les toxine de son organisme, et elle ne gardera pas de séquelle des blessures sur son corps, mais... Dit il avec une pose comme s'il cherchait ces mots ce qui accélère les battement de mon coeur
— mais quoi? Dis je dans un grognement.
— eh bien...je suis désolé Mr Andréas, nous n'avons rien pu faire pour le bébé. Termine t'il enfin alors que je sens mon coeur s'arrêter...

Le bébé ?

ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant