ne me Fuis Pas

chapitre 45

— comment tu as faire pour arrivé la connard. Crache se petit con d'une voix haineuse alors que j'écrase encore plus fort sa main, un gémissement de douleur l'échappe alors que je tends l'oreille pour détecté un bruit de l'autre côté de la porte, ma gorge se noue d'appréhension, j'ai peur de ce que je vais trouvé de l'autre côté, mais une chose est sur peu importe ce que je vais trouvé je les détruirais tous autant qu'ils sont, ce batard le premier.
— tu pensais vraiment pourvoir kidnappée ma femme et t'en sortie comme sa avec cette salope. Dis je d'une voix plus froide, je sens son corps tressaillit suite à mes mots.
— ce n'est pas une salope sale bâtard, je t'interdis de l'appeler comme sa, hurle t'il en essayant de se redresser, et de toute façon tu arrives trop tard comme pour cette petite chienne inutile d'Elia pas vrai. Rajoute t'il en rigolant alors que je sens chaque fibre de mon corps se tendre, << comment il sait ça lui?>>.
— comment tu...
— comment je le sais? Me coupe t'il en riant de plus belle, je te croyais plus futé mon petit Andréas, tu me déçois beaucoup là. Tu as mené ta petite enquête pour savoir qui l'avait aider pas vrai, eh bien sur ces incapables n'avaient rien trouver, tu devrais vraiment songé à virer ces nuls.
— ferme là. Dis je d'une voix presque vide, mes pensées partent en vrille, je suis comme perdu dans le passé et le présent, je revois son visage ce soir là, son regard vide, son corps frêle remplir de bleu à peine couvert, oui ce jour là une partie de moi est morte avec Elia, mais aujourd'hui c'est différent, parce que alex n'est en rien Elia, non ma rouquine est bien plus combative encore, je le sais.
— si tu savais comme je me suis amusé avec son petit corps, et ces seins hum...un vrai plaisir de l'avoir en bouche, et quand je suis entré dans son cul pour la première fois, putain c'était...
— je t'ai dire de la fermé. Grognait je en lui donnant un violent coup dans les cotes ma respiration haletante ma vision s'obscurcit, il tousse, se tient les cotes avant de reprendre.
— tu veux savoir le plus excitant dans tout sa? C'était ces cris quand je la prenais puissamment, elle hurlait que tu devais venir et que tu me tuerais pour sa, mais manque de chance tu n'es jamais venu et j'ai pu la baisé autant de fois que je le voulais même quand raya ne me le demandait pas tu aurais dû voir sa, dit il en rigolant, et tu sais quoi? Je compte faire pareille à l'autre conne qui se trouve derrière cette porte, mais en bien pire, si tu savais comme cette pute m'excite depuis des années avec son cul bien rebondir que je vais...
S'en est trop pour moi, je ne me contrôle plus et je bondis sur lui dans un grognement de rage, je lui donne un coup qui aurait pu décroché la machoire de n'importe qui, je frappe de toute même force alors que cette merde essai pathétiquement de se défendre, il réussit à me donner quelques coups que je ressent à peine tellement ma haine m'aveugle, ces jours horribles que j'ai passé à la chercher jour et nuit sans aucune trace, cette douleur que j'ai ressentir durant toutes ces années quitte à faire souffrir ce qui comptais pour moi, cette peur de me relevé chaque jours avec ce sentiment de culpabilité qui me ronge. Oui je déverse tout se ressentir en oubliant tout ce qui m'en tour, j'en perds même la notion du temps, mais comme dans un brin de lucidité l'image souriante de ma rouquine m'apparaît devant les yeux alors que j'étais près à le frappé une nouvelle fois. Je reviens un tant soit peu à moi, la respiration saccadé, je regarde cette merde défiguré qui agonise au sol inconscient, je fouille ces poches à la recherche d'une quelconque clé qui me permettrais d'ouvrir cette porte qui me sépare de ma femme.
— Andréas tu vas répondre putain. Hurle la voix de Damon que je n'étend que maintenant, j'arrête tout mouvement et prend une grande inspiration pour me calmé.
— je peux savoir ce qui t'arrive ? Grognait je en trouvant enfin ces maudites clés.
— j'ai perdu le contact avec les autres depuis l'explosion, c'est con son plus nombreux que prévu, le vieux s'est échappé et je pense que Jason c'est lancé à sa poursuite, je ne trouve pas cette satané bonne femme à croire qu'elle sait ce planqué cette pute, tu as trouvé alex? Dit il alors que j'ouvre la porte, j'avance lentement mon arme toujours devant moi, on ne sait jamais.
— il ne faut pas qu'elle s'échappe, en évacuant les filles je voudrais que tu passe par l'aile est troisième porte à ta gauche au fond de la salle il y'a une fille inconsciente. Dis je en touchants le mure à la recherche de n'importe quoi successible de donné de la lumière dans cette salle lugubre qui empeste la mort, je n'entend aucun bruit ce qui m'inquiète encore plus, << bébé je t'en prie dis moi que tu vas bien>>, en cet instant je serais près à tout donner pour qu'elle n'ait rien, mais quand je parviens enfin à allumé la lumière je sens mon corps se figé d'effroi, je suis comme paralysé, mes pensées et mes émotions se mélangent, mon coeur et mon âme sont sur le point de flanché alors que j'avance presque à reculons vers ma femme qui est suspendu par des chaines, chaque pas que je fais est une torture et je dois serré des dents pour ne pas me mettre à pleuré comme un gosse.
— Preston, trouve moi cette garce, peut importe qui tu trouveras sur ton passage tu le bute, je veux cette salope vivante. Dis je d'une voix plus que sombre, il ne me répond pas pendant un long moment avant de lâché un simple.
— compte sur moi.
Je regarde ma femme qui inconsciente, sa lèvre fendu, des traces de coup sont visible sur son visage et pas seulement, c'est magnifique cheveux roux ont été coupé et des marques sont visible sur son épaule, ces vêtements déchiré la laisse à moitié nu à la vu de tous, je sens une haine sans pareil monté en moi alors que je la détache avec le plis grand soin pour ne pas lui faire plus mal et c'est seulement quand elle se retrouve dans mes bras que je constate avec horreur des marques fraiche sur son dos, ils l'ont battu, je prends son poule et je suis soulagé de voir qu'elle respire encore, mais la pointe de culpabilité dans mon coeur ne s'apaise pas pour autant. << je suis encore arrivé trop tard, tout ceci est de ma faute, pardonne moi mon ange, je m'en veux tellement si tu savais>>.
— ma princesse tu m'entends? Je suis là maintenant je vais te sortir de là tu entends? Je vais prendre soin de toi tout va bien se passé d'accord ? Je t'aime tellement mon ange, je suis désolé, si je n'avais pas été si con tu ne serais pas dans cette état. Dis je en la prenant dans mes bras pour me dirigé vers la sortie alors qu'une autre explosion se fait entendre.
— gabriel veut faire pété cette endroit on se barre, toute les filles ont été évacuer mais toujours aucune trace de raya, je te rejoint, ah et le vieux a envoyé des ambulances ils ne devraient plus tardé, comment va la gamine?
— elle a besoin de soin au plus vite, pas le temps d'attendre les ambulances je l'emmène à l'hôpital. Dis je en accélérant le pas dans ce couloir qui n'en finit pas avant de m'arrêter brusquement à cause de l'arme braqué sur nous.
— je ne crois pas non, tu n'iras nul pas chéri.