ne me Fuis Pas

chapitre 47

— Le bébé ? Mais de quel bébé parlez vous? Dit la voix de Jason alors que j'avais l'impression d'être déconnecté. Alex n'etait pas enceinte de quoi parlez vous?
— euh, oh je vois vous n'étiez donc pas au courant. Dit le docteur en se grattant le menton d'un air gêné, eh bien nous avons découvert au cours du scanner que nous lui avons fait passé que Mlle Morino est ou du moins était enceinte d'un mois environ, mais avec tout les coups et les substances que Mlle a reçu le bébé n'a pas survécu je suis navré nous avons fait tout notre possible.
— oh mon dieu. Dit la voix de luna dans mon dos avant de partir dans un sanglot, je suis vidé, je serre les poings tellement fort que j'ai l'impression que mes os vont cédé, <<tout ceci n'est qu'un putain de cauchemar hein?>> je suis perdu, je me sens dépasser par les évènements, je ne sais plus quoi faire, j'ai besoin de voir ma femme, j'ai besoin de la sentir près de moi, qu'elle me dise que nous allons surmonté cet épreuve ensemble, j'ai besoin de savoir qu'elle ne m'en veut pas pour toute mes putains d'erreurs, c'est de ma faute si on à perdu notre bébé, si elle a été drogué et frappé c'est de ma faute, toutes ces merdes qui lui sont tomber dessus c'est uniquement de ma faute, et si elle ne veux plus me voir après tout sa, ça serai normal après tout, je ne l'ai jamais mérité ni elle ni son amour, peut être le ciel me punie enfin pour tout le mal que je lui ai faire, je le mérite sans aucun doute, mais pourquoi la punir elle aussi hein? Il faut que je la vois.
— est ce je peux la voir? M'entendis je demandé d'une voix rauque qui transmet parfaitement la douleur qui me ronge le coeur si violemment pourtant j'essaie de toute mes forces de resté fort, pour elle, pour nous.
— oui mais seulement vous, elle n'est pas encore réveiller et elle aura besoin de beaucoup de calme et de repos, nous allons la conduire dans une salle de réveil, une infirmière vous y conduira quand sa serai faire. Excusez moi. Dit le docteur en se retirant, je prends une grande inspiration en passant une main tremblante dans mes cheveux réveillant au passage ma douleur à l'épaule, j'avais même oublier que cette garce m'avait tiré dessus. Une main vient se posé sur mon épaule valide me ramenant un tant soit peu à la réalité.
— tu devrais soigné cette merde. Dit ray en insistant bien sur mon épaule pour me fait comprendre de quoi il parle, je le regarde sans vraiment le voir, on dirait que mon cerveau a été mis sur pause et que seul ma femme pourrait le sortie de cette boucle sans fin, je m'en veux tellement, si je n'avais pas croisé son chemin jamais elle ne serait ici, jamais elle n'aurait perdu un enfant, notre enfant, jamais elle n'aurait été blesser, je n'ai pas réussir à les protégés.
— ce n'est pas ta faute roy. Dit la voix de liam, sa aurait pu arrivé à n'importe qui, et sa aurait pu être pire, oui votre enfant n'a pas survécu mais dit toi qu'Alex est là, vous allez surmonté sa et vous aurez le temps de construire une immense famille donc tu pourras être fière, et n'oublie pas qu'en cas de coup dur vous pourrez toujours compté sur nous, compris ? Rajoute t'il en me lançant un regard compatissant, il sait parfaitement ce que je peux ressentir, quand il a perdu le sien il était tellement abattu que l'on craignait le pire, et je crois que le pire ce fut quand il a tout rejeté la faute sur Sara et qu'il l'a mis à la porte, à croire que c'est une manie chez nous de blessé ceux qu'on aime.
Nous sommes resté là un bon moment, jusqu'à ce qu'une infirmière ne vienne vers nous, et nous conduise dans une salle pour nos blessures sous le regard moqueur de Damon qui lui malgré tout les risque qu'il a pris s'en sort juste avec une légère éraflures à la main, pour cause il aurait trop frappé, ce con était vraiment dans son élément, je sais que nous devons parlé quand les choses rentreront dans l'ordre, je sais qu'il a écouter ma conversation avec ce salopard d'Henry.
— j'ai une dette envers vous les mecs, sans vous je ne sais pas comment j'aurais pu géré.
— c'est claire que tu m'en dois une Andréas, mais je suis heureux d'avoir pu me défouler aujourd'hui, et faut dire que je deviens carrément un professionnel dans l'art de sauvé les demoiselle en détresse, je pense justement ouvrir une agence, d'abord andersson et maintenant toi, c'est claire que mon compte bancaire va pété le plafond. Dit il dans un rire cynique et ironique.
— andersson? Comme jace andersson ? Dis je un sourcil levé.
— oui, oui, cet andersson, son petit papa n'etait pas très heureux de son choix de femme et il a voulu zigouiller sa femme et ces gosses, encore heureux qu'ils sont aussi tenace que leur mère, faut dire aussi que vous n'êtes que des cons quand il s'agit de vos femmes, vous passez votre vie à merdé et comme par enchantement tout s'arrange pour vous, c'est pas du tout juste sa. Dit il sur un ton théâtral qui m'arrache un sourire.
— faut dire aussi que tu n'as jamais faire aucun effort pour aucune femme hein. Dit gabriel en levant les yeux au ciel.
— figure toi très cher que j'attends ma princesse charmante. Dit il en portant une main sur son coeur d'un air dramatique et on rigole tous.
— je plein vraiment la pauvre fille qui va réussir à faire battre ce coeur de pierre. Dit Jason en rigolant, je les regarde tous et je suis heureux de voir qu'ils vont tous bien et que cet histoire est enfin derrière nous, maintenant je veux juste un nouveau départ avec ma rouquine, je veux la rendre heureuse, je veux que l'on construise notre famille et qu'on tourne enfin la page de ce livre trop douloureux.
— Mr Andréas vous m'écoutez ? Dit une voix de femme en face de moi, je cligne rapidement des yeux pour revenir à moi et l'interroge du regard.
— non, qu'est-ce que vous disiez?
— vous pouvez aller voir votre femme, je suis là pour vous y conduis. Dit elle avec un sourire rassurant.
— très bien, dis je en me levant pour la suivre, nous traversons des couloirs dans un silence complet jusqu'à arrivé devant la chambre 205, l'infirmière me lance un dernier regard compatissant avant de me laissé seul devant cette porte qui renferme ma vie, je ne peux empêché cette douleur de m'étreindre le coeur. Je prends une grande inspiration et ouvre la porte, mon souffle se coupe quand je la vois si faible dans ce lit, un masque respiration sur le nez, une perfusion sur la main, un pied dans le plâtre, des bandages sur la tête et les bras, et on en distingue un autre sur ces cotes, sa lèvre est fendu et elle a un œil au beurre noir, ces magnifiques cheveux roux ont perdu leurs longueurs, et malgré tout sa elle reste la plus belle des femmes à mes yeux.
Je m'approche lentement du lit où elle repose comme si j'avais peur de troublé le calme de la pièce, je m'assois sur la chaise près du lit et prend sa main qui n'a pas de perfusion et la porte à mes lèvres.
— mon amour, tout est finir maintenant, tu ne cours plus aucun danger, maintenant nous pouvons aller de l'avant ensemble. Enfin, si tu veux encore de moi. Dis je en baissant les yeux sur nos mains liés, je n'ai jamais su être digne de cet amour que tu me porte mon ange, je penses que j'ai vraiment compris que je ne pourrais jamais vivre sans toi quand tu as disparu, j'ai tant besoin de toi ma rouquine, alors, alors s'il te plait reste avec moi, deviens officiellement ma femme et la mère de mes enfants, je ne pourrais pas avancé sans toi bébé. Dis je en ravalant un sanglot.
— je le veux bien....