chapitre 15

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— très bien messieurs, je pense que nous avons faire le tour mon assistante vous enverras le dossiers pour conclu à moins que monsieur Andréas veut rajouter quelques choses? Dis je en rangeant mes dossiers d'un geste calme qui contraste à merveille avec la tempête qui faire rage en moi, ce déjeuné était long, un peu trop à mon goût j'ai du me maîtrisé par je ne sais quel force pour ne pas arraché les faux cils de cette pétasse en face de moi qui n'a cessé de faire du charme à un roy totalement stoïque, en parlant de lui j'ai bien sentir son regard lourd posé sur moi mais tout ce que je veux c'est sortie d'ici avant de commettre un meurtre.
— non je n'ai plus rien à rajouté tout est en ordre pour moi. Dit l'abruti d'une voix qui malgré tout est super sexy
— très bien, alors je vais me retiré merci pour ce déjeuner. Au revoir. Dis je en serrant la main de tout le monde à table mais je ne me donne même pas la peine de me retourné vers la pétasse elle ne mérite pas que je lui porte un quelconque intérêt ,puérile? Un peu, quand je me retourne je croise le regard noir de roy, <<ouh on dirait que j'ai énervé le pauvre petit chou, tant mieux>>.
Sans plus tardé je me dirige vers la sortie en prenant bien le soin de roulé mon cul, pourquoi? Pour qu'il voit bien ce qu'il va perdre parce que je compte bien mettre les choses au clair avec lui.
Je monte dans la voiture et on se dirige vers le bureau, j'arrive à l'entreprise les nerfs à vifs, et fonce droit dans mon bureau en ignorant luna qui m'attendait devant et claque la porte, et seulement là je me permets de poussé un crie de rage.
— quel connard, je vais le tuer lui et sa pouffe à deux ball espèce de...
— Alex, qu'est ce qui ne va pas ma belle? Demande une voix derrière moi que je n'avais même pas vu en entrant, génial, je prends une grande inspiration pour me calmé et me retourne en souriant vers stan qui est confortablement installé dans le canapé alors que moi je suis planté là comme une conne avec un sourire crispé au visage qui craque au fur et à mesure que j'avance vers lui et je finis par éclaté en sanglot, je suis vraiment une idiote.
Il me prend dans ces bras et me berce comme on le ferais à une petite fille pendant je ne sais combien de temps, il me caresse les cheveux attendant patiemment que je me calme, quand ces faits il me demande.
— maintenant que tu es calmé tu vas aller dans la salle de bain et me nettoyer tout sa, d'accord ? Dit il en montrant mon visage d'un geste de la main, je me contente de hocher la tête et me dirige vers les toilettes, quand je croise mon reflet je ne peux m'empêcher de rire tellement je me trouve pitoyable, non mais sérieux pourquoi je me mets dans un état pareille pour cet imbécile, <<parce que tu l'aime et le voir avec cette nana t'a faire mal>>me nargue ma conscience avec un sourire narquois, je soupire et me nettoie enfin, je remets juste un peu de rouge à lèvres et sort retrouver le vieux avec un petit sourire en coin.
— ah quand même ,c'est déjà mieux dit il d'un ton théâtrale qui m'arrache un petit rire, maintenant je veux savoir ce qui ne va pas. Reprend t'il en tapotant la place près de lui, je prends place en soupirant.
— ce n'est rien de grave le vieux, disons que c'est juste un excès de stress. Dis je vaguement
— pas de ça avec moi jeune fille, allons qu'est ce qui ne va pas Alex? dit il avec un regard maintenant sérieux qui veux dire clairement que je n'ai pas le choix, mais avant que je n'ai eu le temps d'ouvrir la bouche quelqu'un entre sans frappé en claquant violemment la porte, un roy plus que énervé fonce vers moi qui suis toujours assise avec stan
— tiens roy, ça va mon grand tu fais une drôle de tête? Demande stan alors que roy à entamé les cents pas dans mon bureau comme un fauve en cage.
— ça va, dit il d'une voix sifflante le regard braqué sur moi.
— oui le vieux, roy vas très bien, surtout que Patricia est là, pas vrai monsieur Andréas ? Et si je me souviens bien je vous avais demandé de ne plus entrer dans mon bureau comme si c'était une ferme. Dis je d'un ton froid en me levant pour lui faire face, bon c'est vrai que avec son mètre 95 il me surpasse largement mais mon envie de l'en collé une est plus forte.
— et tu veux peut être que l'on parle de ce gugus qui était dans ton bureau hier? Dit il plus énerver que jamais, et là je suis sur le cul, j'y crois pas.
— au moins moi je ne couche pas avec espèce d'abruti. Dis je froidement.
— oh oui clairement je l'ai bien vu hier quand tu étais dans ces bras , dis moi un peu combien tu te tape par jour hein. Hurle t'il en avançant vers moi qui suis figé.
Il pense vraiment sa de moi? Je ne sais même pas quoi répondre.
— ferme la tout de suite roy, crie stan en avançant vers nous le regard noir, ce qui semble le calmé de suite, il souffle et passe une main dans ces cheveux.
— je dois allée voir Henry stan, j'ai été ravi de te voir, on se prend un café bientôt. Dis je d'une voix faible en me dirigeant vers la porte les jambes tremblante.
— Alex je suis désolé, souffle roy en essayant de me prendre le bras mais je me dégage vivement en lui jetant un regard noir.
— tu sais roy, c'est justement sa ton problème, tu es toujours désolé tu passe ta vie à merdé et à chaque fois il faut que moi je trouve la force de te pardonner, moi je dois fermé les yeux sur chaque blessure que tu m'impose juste parce que quand le grand Andréas veut il a. Mais devine quoi je suis arrivée au bout de mes limites, tu étais avec cette fille hier en te foutant de ce que je pouvais ressentir, je me suis inquiéter pour toi en imaginant les pires scénarios alors que tu étais encore une fois avec elle comme avant, (je souffle pour maîtrisé les tremblements de ma voix et reprend) à chaque fois que j'essaie de construire quelque chose avec toi roy tu trouve le moyen de me décevoir un peu plus chaque fois, mais tu sais quoi roy c'est terminé tu n'auras pas à me chassé de ta vie cette fois je me retire simplement, je ne veux plus que tu m'approche, plus jamais. Je termine en essuyant une larme qui m'avait échapper devant les yeux exorbités de stan et celui figé de roy qui je pense à du mal à tout assimilé.
— qu..quoi? Mais Alex tu ne...dit stan avant que je ne le coupe.
— si papi, au moins maintenant il est libre et je pense que c'est mieux comme sa, excusez moi.
Et je sors enfin et me jette dans les bras de luna qui on dirait, m'attendait à la porte, je ravale mes larmes en essayant de me convaincre que j'ai prise la bonne décision.

En fin je crois....

ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant