chapitre 11

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— n..non arrêt bon sang nous sommes arrivée roy, quelqu'un pourrait nous voir. Dis je paniquer
— et je m'en fou royalement bébé, je veux que le monde entier le sache, que tu es à moi. Dit il d'un air détachée.
— no...no.. Non, arrête de me coupée, tentait je pour la je ne sais quantième fois de l'arrêter mais c'est beaucoup plus compliquer que vous ne pouvez l'imaginer, pourquoi ? Eh bien parce que quand Roy Andréas ce met une idée en tête même la fin du monde ne pourrait l'arrêter.
— non, pas quand tu veux dire des bêtises.
— mais écoute moi s'il te plait. Dis je de nouveau avec une moue boudeuse aux lèvres, il souffle et s'écarte de moi en reprenant sa place sur le siège conducteur.
— qu'est ce qui ne va pas? Demande il enfin en soudant nos regards, le sien est tellement intense, tellement insoutenable que je ne peux m'empêcher de rougit en mordillant ma lèvre inférieur inconsciemment, j'arrête tout de suite quand j'entends un grognement presque animal sortie de sa gorge.
— bébé, souffle t'il comme s'il ce retenait de me sauter dessus, et à en voir ces poings serré je pense que c'est effectivement le cas.
— roy je sais que j'ai accepter de nous accordé une seconde chance mais...mais j...je ne pense pas que ce soit une bonne idée qu'on nous vois ensemble pour le moment, je...
— tu veux que je te cache comme si j'avais honte d'être avec toi? Me coupe t'il brutalement en me pulvérisant de ces  magnifiques yeux vairons.
— non, ce que je veux dire c'est que...
— c'est hors de question, tu entends je n'ai pas faire tout sa pour avoir une relation en secret avec toi c'est clair? Je t'aime et je refuse de faire comme si tu n'étais rien pour moi. Me coupe t'il encore une fois
— non roy ce que je veux dire c'est que...
— ou quoi? Tu as honte de moi? Ou tu as un amant que tu essaie de me caché  hum? Me coupe t'il encore, et ces mots me font tellement mal comment il peut penser sa de moi alors qu'il est le seul homme que je n'ai jamais aimer.
— ce que voulais dire c'est qu'on devrait prendre notre temps pour essayer de nous adapté à tout sa et avec toute ces vipères qui nous tournent autour au quotidien j...je ne voulais pas qu'il gâche tout mais j'ai bien compris l'image que tu as de moi ne t'inquiète pas. Dis je en prenant mon sac, je sors de la voiture en claquant la portière.
— eh merde... L'entendis je dire derrière moi mais je ne prête pas plus attention à lui et me dirige vers l'ascenseur qui par chance se referme rapidement, je souffle en me collant à la paroi en fixant mon reflex, des souvenirs, des putains de souvenirs qui malgré moi reviennent me percuté en pleine face.
— non mais comment j'ai pu être aussi stupide, me dis je à moi même alors que les portes s'ouvraient déjà sur mon étage, je traverse le bureau de luna dans un bref "bonjour", elle me fait signe de l'attendre mais je ne suis pas vraiment d'humeur et fonce droit vers mon bureau en fessant claqué la porte.
Je m'installe à peine que quelqu'un entre en trombe sans frappé sous les plaintes de luna qui le suis.
— Mr je vous ai dire que vous ne pouvez pas entré, vous n'avez pas de rendez vous.
— espèce de salope, tout sa c'est de ta faute sale garce. Me crie il dessus, je souffle en me calant confortablement sur mon fauteuil en croisant les jambes et les bras pour lancer un regard noir à cet ordure qui est devant moi.
— c'est bon luna, je vais recevoir Mr.
— tu es sûr ? Me demande t'elle pas très rassurer, je lui fais un bref signe de tête et elle s'en va en lançant un regard noir à cet homme détestable.
— c'est à cause de toi que Brenda a demander le divorcé sale pute. Lance t'il encore les yeux plus sombres qu'à son arrivée.
Eh ben c'est vraiment ma journée hein.
— d'abord vous allez baissé d'un ton avec moi, et en suite je vous interdit de m'insulter, si Brenda a enfin eu le courage de quitter un déchet comme vous je ne peux que soutenir sa démarche et croyez moi avec tout ce que vous lui avez faire subir elle va le remporter et vous ruinés si possible, un salopard tel que vous qui battez votre femme n'est pas digne d'être appeler homme, surtout quand on sait comment vous l'avez eu, alors Mr Gambel vous feriez mieux de signé ces papiers à l'amiable et ne plus jamais essayer de l'approcher sinon croyez moi je détruirai votre minable petite société à deux ball et vous avec, maintenant dehors. Terminait je en ouvrant en grand la porte qu'il venait à peine de franchir, il me fixe avec un regard qui pourrai me faire peur si je n'étais pas déjà assez remonter comme sa, en passant prêt de moi il me saisit violemment le poignet et je me retiens grimacer tellement sa fait mal.
— tu vas me le payer sale catin et crois moi tu vas me supplier de d'épargner ta petite vie, et quand je vais retrouvé cette petite ingrate elle le regrettera amèrement. Chuchote t'il prêt de mon oreille, J'affiche un sourire sadique avant de répondre sur le même ton tout prêt de son visage.
— et ce jour là je te mettrai une jolie petite balle en plein milieu du front gambel, maintenant barre toi et fait moi le plaisir de ne plus jamais remettre les pieds ici gambel sinon je ne réponds plus de rien. Vu? Terminait je plus froidement que tout à l'heure.
Il s'en va enfin et je souffle en refermant la porte.
— oh mon dieu Alex ça va? Il t'a faire mal cette ordure? S'écrit luna en entrant pour me prendre dans ces bras. Tu as mal quelque part? Reprend t'elle en inspectant mon corps, oh le salopard, crie elle encore plus fort en regardant mon bras qui commence à rougir.
— c'est rien ne t'inquiète pas, dis je en récupérant ma main, c'est quoi le programme de la journée ? Brad a terminer avec l'organisation de mr Marcello?
— Alex ça va?
Oh luna si seulement tu savais.
— pas vraiment,  on en parle plus tard d'accord ?
— Ok, big boss super sexy a appeler, il a dire qu'il vient te chercher pour le déjeuner et que c'est non négociable. Dit elle avec un petit sourire en coin.
— qu'il aille ce fait voir. Dis je irrité qu'il prenne les décisions pour moi.
— oh oh il c'est passé quoi?
— rien. Dis je un peu sèchement
— aleeeex?
Je souffle et répond plus froidement que je ne l'aurais voulu mais je veux juste un peu de calme c'est trop demander?
— je ne veux pas en parler et j'ai du travail alors lâche moi avec sa.
— Ok, je comprends, Dit elle d'une voix déçu en s'en allant et je m'en veux vraiment, elle voulait juste m'aider.

Je me plonge directement dans les dossiers qui m'attendais pour éviter de trop pensé mais c'est un échec total , ces mots tournent en boucles dans ma tête et je m'en veux aussi d'avoir mal parlé à luna mais je suis comme vidé, pourquoi faut il toujours qu'il me fasse mal d'une façon ou d'une autre hein.

Pourquoi ?....

ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant