ne me Fuis Pas

chapitre 13

— alors c'est pour sa que tu étais tellement de mauvaise humeur hier? Me demande luna en mordant dans son sandwich.
— oui. Dis je les joues rougis par la honte
— tu veux que je te donnes mon avis? ?
— est ce que j'ai le choix? Dis je lassé en soufflant sur mon chocolat chaud.
— non, dit elle en rigolant puis reprend, je penses que même si tu as décidé d'accorder une seconde chance à votre relation, tu émets beaucoup trop de méfiance envers roy parce que tu as peur qu'il te brise une seconde fois le coeur alors tu te protège plus qu'il n'en faut, mais ma belle tu dois comprendre que dans une relation il faut se donnée à fond kit à souffrir au moins tu auras tout donner. Termine t'elle en prenant une gorgé de son jus de fruit, je suis un peu déboussolée par ce qu'elle vient de dire pas parce que c'est faux non mais justement parce c'est exactement ce que je ressentais, je sais que je l'aime encore et je n'en reviens pas que je lui ai dire après un foutu orgasme qui a ravager le peu de neurones qui me restais.
Fait chier moi qui ne voulais pas aller vite.
— et maintenant vous comptez faire quoi? Vous allez vivre ensembles ? Dit elle en reprenant une autre bouché
— quoi? Bien sur que non, écoute luna tout sa est encore trop confus pour moi, il dit, qu'il m'aime mais.. Je ne sais pas, je veux juste vivre tranquillement et voir où tout sa va nous mené tu vois?
Elle hoche la tête et on finir de déjeuner en parlant de tout et de rien. En revenant à l'entreprise j'ai la surprise de trouvé Ray dans la salle d'attente entrain de discuter ou plutôt entrain de draguer la réceptionniste , il veut vraiment que je lui coupe les burnes lui.
— je peux savoir ce que tu fou là Donovan? Dis je calmement
— oh Alex, je suis passer te voir et je suis tomber sur cette charmante demoiselle qui m'a aidé à patienter, dit il en fessant un clin d'œil à la fille qui rougis presque aussitôt, il faut qu'on parle. Reprend t'il
C'est décidé je vais les lui brisé.
— écoute Ray je..
— je sais que tu es occuper mais il s'agit de Brenda. Me dit il sérieusement et je comprends que quelque chose cloche, je lui fais donc signe de me suivre et on monte dans mon bureau, une fois arrivé je mets mon sac sur la table et prend place en indiquant à Ray le siège en face de moi, il prend place et me regarde avec un petit sourire en coin, je souffle agacé et lui lance un regard froid, je n'ai toujours pas oublier ce qu'il a faire à mon petit neveu et il le sait.
— bon tu attends le déluge ou quoi? Dis je en levant les yeux au ciel
— tu m'en veux toujours hein, dit il en rigolant, écoute j'ai discuter avec Marie et nous avons trouvé un terrain d'entente, on à décider de restée amis pour le bien d'Arthur, pour le moment il est retourné chez elle dans un appartement que j'ai louer pour eux, elle m'a engueuler sur le fait qu'elle n'avait pas besoin de moi mais bon tu me connais. Termine t'il avec un haussement d'épaule, je ne sais même pas si je dois être heureuse ou si je dois le frappé d'être aussi aveugles, bon il a au moins ramené Arthur c'est déjà sa, je continue juste à espéré qu'il se rend compte de ce qu'il est entrain de raté, et au plus vite.
— très bien, fait juste gaffe à ce que tu fou ray parce que je t'assure que tu vas le regretté quand elle va ce mettre avec quelqu'un d'autre. Dis je et je vois sa mâchoire se contracté une fraction de second avant qu'un sourire en coin réapparait sur son visage, il hausse une nouvelle fois des épaules puis change de sujet.
— j'ai parlé avec Brenda, j'ai réussir à la convaincre de témoigné mais elle a la trouille de sortie, les charges qui pèsent sur Gambel sont lourde mais on aurait besoin qu'elle se présente à la cour tu pense réussir à la convaincre ?
Je réfléchis un instant, elle a beaucoup trop peur de revoir ce Salaud mais il le faut, pour qu'elle puisse enfin tourné la page.
— je vais essayé, d'autant plus qu'il m'a rendu une charmante visite hier. Dis je avec un petit sourire narquois qui fait rigolé Ray.
— laisse moi deviné, il t'a menacé et cinglé comme tu es, tu n'as pas pu résisté et tu l'as provoquer encore plus.
C'est à mon tour de rigolé, il me connait trop bien ce con.
— t'es pas croyable ma belle, il faut que j'y aille j'ai un rendez-vous dans une demi heure, n'oublie pas d'allée voir Brenda ce soir. Dit il en se levant pour prendre la direction de la sortie je le raccompagne jusqu'à l'ascenseur, il me fait un bisou sur la joue et me dit de faire gaffe à mes fesses et s'en va enfin.
Je retourne dans mon bureau pour me concentré sur les dossiers qui me reste, je souffle déjà déprimé quand je vois la pille de dossier qui m'attend.
Bon quand il faut y aller.

J'ai travaillé tout le reste de la journée sans m'arrêter au final je suis crevé et en plus j'ai envie de voir roy, je n'ai pas eu de ces nouvelles depuis ce matin et bizarrement sa m'inquiète un peu, je lui ai envoyer des textos, appeler mais c'est le silence total le pire c'est qu'il n'est pas au bureau et comme la conne que je suis j'ai pas son adresse géniale.
Je sors de l'entreprise en fouillant mon téléphone dans mon sac quand je rentre dans quelqu'un ce qui me fait lâché ce dernier.
— oh merde, je...
— non mais vous ne pouvez pas regardé où vous allez petite idiote, vous savez combien coûte cette robe, crie une voix hystérique qui irrite mes oreilles, je ramasse mon sac et me redresse en lançant un regard noir à cette peste de merdeux, je regarde plus attentivement le bout de tissu qui lui sert de vêtement et sourire.
— non je ne sais pas combien elle coûte, mais vu que c'est la robe de votre petite soeur que vous avez sur le cul je doute que vous le sachiez également. Dis je avec un grand sourire, elle s'avance vers moi avec un regard noir.
Elle pense vraiment me faire peur elle?
— sais tu qui je suis petite idiote, je vais te faire renvoyé pour ton insolence espèce...
Je la coupe en partant dans un fou rire, non mais sérieux j'aurais tout vu.
— vous allez me faire viré, vous ,sans blague, et dites moi qui va me viré, vous peut être ? Laissez moi rire, écoutez je suis épuisée, j'ai un putain de mal de crâne donc c'est pas le moment pour venir me fait chier alors, dégage. Terminais je en la bousculant pour pouvoir enfin sortie et rentré chez moi.

Après une demi heure j'arrive enfin, j'ai essayé de joindre roy tout le chemin toujours pas de nouvelle, j'ai comme un mauvais pressentiment qui me pend les tripes. Mais bon sang t'es où roy.
Je suis entrain de tourné en rond dans mon salon le téléphone à l'oreille quand j'entends la porte sonné, je me précipité vers celle ci et me fige devant le bouquet de rose qui me fait face.
— mais qu'est ce que... Je n'ai même pas le temps de terminer ma phrase que cet abrutie fonce sur mes lèvres et m'embrasse, après quelque minutes on se sépare enfin.
— bon sang t'étais passé où, tu m'as faire peur abrutie.
— je suis désolé bébé, je ne voulais pas te faire peur, mais je sais comment me fait pardonner. Me dit roy avec un sourire coquin aux lèvres, je lèves les yeux au ciel en grognant dans ma barbe.

Ooh bon sang ce mec aura ma peau un jour....