ne me Fuis Pas

chapitre 9

                  PDV DE ROY

Sa doit faire plus de trois heures que je suis debout à l'admirer, elle est tellement belle avec ces cheveux en batailles, ces lèvres entrouvertes encore gonfler par mes assauts répété, son visage angélique qui m'a tant manquer ces dernières années.
C'est vrai que j'ai faire pas mal de connerie avec elle et la pire de toute avait été d'accepter ce pari débile, je m'en veux un peu plus chaque jour pour tout le mal que je lui ai faire, elle ne le méritait pas, mais je voudrais aussi qu'elle m'accorde cette chance de lui prouver que je ne suis plus le connard qu'elle a connu, je sais qu'elle a peur de souffrir encore une fois et c'est plus que compréhensible mais je m'accroche encore à cet espoir qui ne cesse de crier dans mon coeur que c'est l'amour de ma vie, que c'est elle et personne d'autre.
Quand je venais hier j'avais juste envie de la voir, je savais qu'elle m'évitait vu ce qui c'est passé trois jour plutôt, mais j'avais besoin de voir ces beaux bleu qui m'en voûtent un peu plus chaque jour à m'en rendre plus fou que je ne le suis déjà, même si c'était juste pour recevoir sa haine en plein visage j'avais besoin d'elle, alors quand elle m'a avouer avoir autant envie de moi que moi d'elle j'ai craquer, et j'ai passer l'une des plus belles nuits de ma vie  et maintenant je suis là à appréhender son réveil, je ne supporterai pas de lire du regret dans ces yeux, non, je voudrais égoïstement y lire cet amour sincère qu'elle avait dans le passé.
Je vois enfin ces yeux qui papillonne et s'ouvrir lentement comme si elle craignait de rencontré les miens, un petit sourire étire mes lèvres quand elle vient se blottir contre moi je suis surpris mais je savoure le moment parce que je sais qu'elle est encore à moitié dans les vapes, je lui caresse délicatement sa tignasse rousse en chuchotant un faible.
— bonjour bébé, je sens son corps frémir contre le miens mais elle ne répond pas, je sais qu'elle se demande comment se comporter avec moi maintenant et moi je voudrais juste qu'elle baisse sa garde et qu'elle me laisse cette ouverture.
— je...je.. tu veux bien me lâché s'il te plait, je voudrais me préparé j'ai une réunion importante dans peu de temps. Chuchote elle en me privant toujours de son regard, ce qui me frustre encore plus et je resserre encore ma prise sur elle.
— il faut qu'on parle bébé, tu veux bien me regarder? Dis je d'une voix rassurante.
Elle secours la tête de gauche à droit en gardant la tête enfoui dans mon cou.
— non, je ne peux pas, je.. tout ceci c'est...
— si tu dis que c'est une erreur je ne réponds plus de rien bébé, ce qui c'est passé hier est l'un des moment les plus extraordinaires de toute ma vie alors je t'interdis de dire que c'était une erreur compris ? Dis je fermement, je suis déterminer à lui faire comprendre que entre nous sa ne peux qu'être explosif.
Elle hoche une nouvelle fois la tête pour me dire oui mais s'obstine toujours à ne pas me regardé, je sens ces larmes coulés sur mon cou et c'est trop pour moi, je la fais basculer et me retrouve au dessus d'elle pour voir des larmes dévaler ces joues rougis.
— mon amour...
— qu'est-ce que tu me fais roy? Pourquoi je n'arrive pas à te détesté hein? Pourquoi je ressent toutes ces émotions contradictoires quand tu es près de moi? Je voudrais te détesté, je voudrais t'oublier mais j'y arrive pas merde. Qu'est ce que tu me fais hein? Pourquoi tu es revenu, qu'est ce que tu attends de moi? J'en peux plus, j'en peux plus. Souffle t'elle d'une petite voix pas plus haut qu'un murmure.
Ce que je veux d'elle? Bon sang je veux tout d'elle, je veux qu'elle soit ma femme, la mère de mes enfants, mon tout, elle est mon monde merde, je voudrais qu'elle voit ce qu'elle a faire de moi, je voudrais qu'elle sache que je dépends uniquement d'elle, qu'elle m'aime encore une fois.
— je t'aime mon amour, dis je d'une voix rauque noué par les émotions que j'essaie de retenir puis reprend sinon je risque de chialé comme un môme, je t'aime à en mourir bébé, chaque putain de jours passé loin de toi me tue à petit feu, te voir sans pouvoir t'approcher est un véritable supplice, regarder tout ces hommes t'approcher d'un peu trop prêt me donner des envies de meurtres, mon amour j'ai été assez con pour te faire souffrir et te laissé partie mais je te jure que si tu me laisse l'opportunité de te montrer ce qu'il y'a là ( en prenant sa main pour la mettre où mon coeur bat à la chamade pour elle, le regard droit dans le sien pour qu'elle puisse lire en moi comme avant) je te jure que tu ne le regretteras plus jamais, non, plus jamais bébé. Dis je avec toute la sincérité que j'ai en moi, je veux qu'elle revienne, j'ai besoin d'elle.
— r..roy, m'appelle t'elle entre deux sanglots, j...j'ai peur, je n'ai plus la force de me battre roy, j'ai peur de te faire confiance, je ne veux plus souffrir.
       Oh mon amour..
— alors laisse moi prendre les armes pour nous bébé, laisse moi te montrer que tout n'est pas perdu entre nous et si je ne réussis pas à te rendre heureuse je te jure de disparaître définitivement de ta vie. (C'est totalement faux, jamais je ne partirai, je l'aime beaucoup trop pour sa, mais bon..) Laisse moi être ton bouclier bébé, je t'en prie, une chance, une seul mon ange.
Elle me regarde de ces yeux remplir de larmes et je vois parfaitement le combat qui se joue en elle et je me surprend à retenir mon souffle quand je vois ces lèvres remué comme pour dire quelque chose mais qu'elle a peur, et quand les mots franchisent enfin ces lèvres je ne peux empêcher une larme de joie de roulé sur ma joue.
— une dernière chance roy, tu n'en auras pas d'autre. Dit elle alors que je fond sur ces lèvres rose.

Je n'en demande pas plus bébé......