Je lui lance mon regard le plus noir et m'éloigne le plus possible de lui, je prends place sur mon fauteuil mes yeux toujours dans les siens qui ne me lâchent pas non plus, j'adopte une posture professionnel et lui répond d'une voix très calme qui me surprend toujours autant surtout face à lui.
— c'est bien vrai que vous êtes là et que malheureusement stan doit s'en aller Mr, mais sa ne vous donne aucun droit de vous montrez si familier vis à vis de moi. Je ne vous connais pas et je ne tiens pas à vous connaître plus que sa, alors pour le bien de notre collaboration à venir Mr restez loin de moi s'il vous plait. Maintenant si on à terminer vous connaissez la sortie. Terminait je en lançant un coup d'œil appuyé sur la porte pour qu'il saisisse bien le message pourtant il ne bouge pas d'un pousse le regard toujours plonger dans le mien, je le sens bien qu'il est frustré mais comment vous expliquez que je m'en fou royalement, mais bon dieu faites qu'il parte au plus vite j'ai beau jouer la carte de l'indifférence je ne peux empêcher mon coeur de ressentit cette même douleur que je porte en moi depuis 4 ans aujourd'hui, j'ai l'impression de revive cette nuit qui m'avait détruite encore et encore comme une boucle sans fin, et plus je le regarde plus ce mal devient difficile à contrôler, j'aimerais tellement oublier merde. Soit le destin a décidé que l'on devaient se revoir mais pitié qu'il ne m'approche pas c'est tout ce que je demande.
— tu pleures, me souffle roy de sa voix rauque en se rapprochant un peu plus de moi, je passe une main rapide sur mon visage pour constater avec effroi que ces traitresses de larmes sont vraiment là. Je me relève directement pour mettre de la distance entre roy qui est maintenant tout prêt et moi.
— sa ne vous regarde pas si je pleure ou non, maintenant excusez moi mais j'ai du travail. Lançais je sèchement en ultime recours pour le fait sortie et comme par magie mon téléphone sonne à ce moment je décroche sans un mot ni regard de plus, je le vois hésité quelques secondes avant de prendre la direction de la porte mais je l'arrêt avant qu'il ne la franchise.
— une dernière chose Mr, mon bureau n'est ni un moulin ni un poulailler alors à l'avenir évitez d'y entré sans mon consentement.
Il ne répond rien et sort en claquant ma porte, je me rassois fébrilement sur ma chaise en passant une main sur mon visage pour essuyer mes larmes qui ne veulent vraiment plus tari, la voix au combiné me fait un tant soit peu revenir à la réalité.
— oui madame Salvador je vous écoute...Pdv roy
— eh merde, criais je en frappant le mur en face de moi la douleur que je ressens en cet instant n'est absolument rien à ce que je ressens à l'intérieur de mon être, comment j'ai pu être aussi stupide merde. qu'est-ce que j'ai faire mon dieu, cette douleur et cette haine que j'ai pu lire dans ces yeux ne trompent pas, j'ai brisé la femme que j'aime, elle ne me pardonnera jamais. Elle est devenu si froide, si impénétrable, si MOI, mais je l'ai bien vu dans son regard, j'ai vu à travers toute cette haine une douleur encore plus vive que la mienne encore plus intense, tout est de ma faute.
<<tu devrais laisser cette pauvre fille tranquille>>Non, jamais.
Merde je l'aime à en crevé, je sais que c'est égoïste mais c'est comme sa. Je refuse qu'elle soit loin de moi, elle est à moi.
— mais qu'est-ce que tu fou à terre toi, et puis tu n'étais pas sensé visité les locaux ? Me demande mon grand père en face de moi d'une voix moqueuse je ne l'ai même pas vu entré, je me relève doucement et me dirige vers lui qui a pris place sur une chaise en face du bureau. Qu'est-ce qui ne va pas mon petit? Reprend il plus sérieusement.
— rien ne t'inquiète pas, je dois réglé les derniers détails avec Jackson et j'ai une réunion dans une demi heure mais rien de grave. Dis je en passant une main lasse dans mes cheveux.
Il me fixe longuement, je sais qu'il ne me croit pas mais comme toujours il me laisse le temps et le choix de lui parlé.
— tu n'as pas pu t'en empêché hein, élude t'il
— non
— et elle t'a rembarré je suppose
— tu suppose bien
— et là tu viens de te rendre compte à qu'elle point elle en souffre encore n'est ce pas?
Je soupirs fortement agacé qu'il puisse autant lire en moi.
— sa suffit le vieux on doit y aller, dis je en me levant et en prenant la direction de la sortie pour aller dans l'ascenseur.
— c'est sa fuir le sujet Andréas. Dit il en entrant à son tour dans l'ascenseur
— écoute papi on en reparlera un autre jour si tu le veux bien et en plus....
— ne fermez pas....cria une voix que je ne connais que trop bien en entrant comme une furie dans l'appareil toute essoufflé, je..je... Merci. Dit elle sans nous regarder en essayant de reprendre son souffle.
— Alex je t'ai déjà dire de ne pas courir dans les couloirs, et puis où son passé tes chaussures jeune fille. Gronde mon grand père les mains sur les hanches comme un papa poule ce qui nous faire rigolé Alex et moi avant qu'elle ne se reprenne et reporte son attention sur lui.
— je suis désolé, je voulais pas courir mais je suis attendu en bas pour une petite urgence et c'est pas possible d'aller plus vite avec ces machins sur les pieds, dit elle en remettant ces talons sur ces pieds fin puis elle remet un peu d'ordre dans sa coiffure, et fait de nouveau face au vieux avec un magnifique sourire aux lèvres, tout chez cette femme est magnifique bon sang. Voilà c'est mieux comme sa? Dit elle à l'attention de mon grand père et je dois vraiment serré les dents pour ne pas répondre à sa place.
— oui, mais je peux savoir où tu vas comme sa? Tu n'as pas de rendez-vous à cette heure je me trompe ?
— oh, rire t'elle, eh bien c'est un rendez-vous très capital, en fait je dois retrouver ray pour... Ah mince, je te raconte tout à mon retour à plus. Dit elle en sortant au pas de course, moi je reste fixé sur se nom de merde.
— c'est qui ce Ray? Demandais je au vieux d'une voix sèche, celui ci se contente d'un haussement d'épaule mais je peux voir dans ces yeux qu'il sait parfaitement de qui il s'agit et qu'il ne veut rien me dire alors je presse le pas vers la sortie et je trouve Alex. Mon Alex dans les bras de ce...J'ai à peine le temps d'avancer qu'ils sont déjà monté dans le véhicule de ce dernier qui s'éloigne déjà, je vois rouge et cris hors de moi
— c'est qui cet enfoiré ?..
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ne me Fuis Pas
RomanceQuand je l'ai rencontré je ne croyais pas au fait que quelqu'un comme lui puisse s'intéresser à moi. Et ça c'est confirmer 6 mois plus tard quand il m'a mis à la porte, mais j'ai appris de mon passé et plus jamais je ne laisserais quelqu'un me brisé...