Quelqu'un va me dire ce que j'ai faire pour mérité sa? 3 mois, sa fait 3 putain de mois qu'il est là, 3 mois qu'il essaie encore et encore de m'amadouer avec ces chocolats à la con sans oublier les fleurs et autres je vais devenir dingue avec tout sa. Comme là au moment que je vous parle, je pense que je vais le tuer merde.
Comme si je n'avais pas déjà assez à faire non mais..
— je te préviens pour la dernière fois Andréas si je retrouve encore une putain de rose dans mon bureau je ne répond plus de rien, je t'ai demandé de rester loin de moi alors évite moi espèce d'a....
— hmmm, fit quelqu'un que je n'avais pas vu en entrant comme une furie dans le bureau de cette idiot, et maintenant que je suis reconnecté à la réalité je peux voir que se crétin abord un sourire en coin et me lance un regard rieur alors que tout les hommes qui sont dans cette salle ont le regards tourné dans ma direction, je ne sais même plus où me mettre tellement j'ai honte.
— je...je suis désolé, je...
— mais non mon amour, ne t'excuse pas voyons on avait justement terminé, me coupe t'il avec un grand sourire cette fois avant de reprendre d'un ton professionnel. messieurs vous pouvez disposé.
Aussitôt dit aussitôt fais, la salle se vide en un clin d'œil et lui, viens se planté devant moi avec toujours ce foutu sourire, je serre les points pour éviter de lui sauté à la gorge et me retourne pour partie mais bien évidemment Mr ne l'entends pas de cette oreille, il me retiens par le coude et nous dirige vers le canapé en cuir blanc qui est dans son bureau et moi je me laisse faire comme poussé par cette attirance malsaine qui me demande de me blottir contre lui et de m'abandonner, d'être à lui. Mais je sais que c'est impossible, entre lui et moi il ne peut plus rien avoir.
<<t'en es sur?>>
— tu veux boire quelque chose ? Me demande t'il de sa belle voix qui me procure des frissons partout , sans parler de son regard intimidant qui ne me quitte pas depuis qu'il m'a installé, comme je ne réponds pas. Il se dirige vers le mini-bars et je ne peux empêché mes yeux de vagabonder sur ce corps magnifique à faire damné une sainte, je repense à se corps dur et solide sur moi, ces mains me caressant, ces baisés, ces....
— tiens. Un verre de jus de fruit me coupe dans mes pensées qui prenait une tournure un peu trop dérangé à mon goût, il prend place près de moi et je sens sa jambe me frôlé et bon sang je voudrais bien que sa soit autre chose qui me frôle.
<<stopppppp>> hurle ma conscience.
— tu es encore plus magnifique quand tu rougis ma belle. Dit il avec une voix sensuel.
Pourquoi il me sort sa lui, bon de toute les façons il faut qu'on parle pour que je puisse enfin retrouvé ma paix et ma sérénité intérieur alors autant en finir maintenant, je souffle imperceptiblement pour me donner du courage et reporte mon regard sur lui.
— je ne suis ni ton amour, ni ta belle alors garde des surnoms débiles pour tes maitresses, et je voudrais que tu arrêtes avec tes bêtises, mon bureau est devenu un jardin et une fabrique de chocolats j'en veux pas de tes cadeaux tu peux les donnés à n'importe qui mais pas à moi tout ce que je t'ai demandé c'est de me laisser tranquille, c'est trop te demander peut être? Dis je d'une voix tranchantes en me levant pour me diriger vers la sortie.
Il sourit et se redresse aussi en me suivant.
— alors accepte de dîner avec moi ce soir et je te jure d'arrêter, me dit il en souriant de plus belle, il y'a pas de doute roy est l'homme le plus magnifique qui m'est été donner de voir dans ma vie, malgré tout le mal qu'il est pu me faire.
<<c'est justement sa le problème>>
— tu pense vraiment que je vais négocier cela avec toi? La bonne blague. Je te le demande pour la dernière fois Andréas reste loin de moi et arrêt....
— et moi je t'ai dire que je ne pouvais pas être loin de toi mon coeur, me coupe t'il en se passant une main dans les cheveux en fessant les cent pas comme s'il était stressé, je ne peux pas être loin de toi, je ne supporte pas quand tu m'évite et même si c'est nul c'est le seul moyen que j'ai trouver pour que tu me regards, bébé ne comprends tu pas à quel point tu m'es vitale? Bon sang je ne voulais pas te parler comme sa cette nuit là, chaque mots qui sortaient me déchiraient un peu plus à chaque seconde, je ne voulais pas te faire souffrir MERDE.
Pourquoi il a l'air torturé hein? Mon souffle se fait court. Pourquoi il me dit tout sa maintenant hein, non, ce n'est pas juste, je n'en veux pas de ces excuses, non.
Je ne sais pas pourquoi mais je suis prise d'un fou rire incontrôlable, ça y est mes nerfs ont encore craqué, je me jettes sur lui en frappant son torse de toute mes forces pour qu'il sente un minimum ce que j'ai pu ressentir, même si je sais que c'est en vain j'en ai besoin, j'ai besoin d'évacuer toute cette douleur qui me comprime le coeur.
— VA TE FAIRE VOIR, espèce de malade, tu ne voulais pas me faire souffrir ? Mais bravo Mr Andréas grâce à vous je suis la femme la plus heureuse au monde félicitation. Je hurle en le frappant encore et encore. Je t'aurais tout donner tu étais tout pour moi, je ne vivais que pour toi et moi qu'est-ce que j'étais pour toi déjà ? Ah oui, une pute de plus doublé de 1000$ hein, un putain de pari et rien de plus pas vrai ?
Je me sépare de lui à bout de force le regard noir et remplir de larmes.
— comment tu..
— comment je l'ai su? Oh mais c'est tout simple tu vas remercier ta pétasse de Patricia qui c'était faire un plaisir de me le dire, crachait je avec encore plus de rancune, parce que malgré le fait que tu m'es mise à la porte et humilier j'étais prête à oubliée et a te pardonner parce que j'étais folle de toi je gardais cet espoir que tu me revienne mais comme tu le sais toi le grand roy Andréas tu ne regrette jamais rien pas vrai? Alors imagine ma tête quand cette salope de est venu spécialement dans mon quartier dégueulasse pour me montre ta petite vidéo hein, sa c'était le coup de trop roy, alors ne vient pas me raconter n'importe quoi, tu ne m'as jamais aimé et tu n'aimeras jamais personne parce que tu en es incapable hein, pas vrai ?!
— mon coeur... Souffle t'il douloureusement, le regard remplir de détresse.
— tu n'as plus intérêt à m'appeler comme sa Andréas c'est le dernier avertissement, maintenant que nous avons eu la discussion que tu réclamait tant fiche moi la paix. Dis je en claquant la porte de son bureau en le laissant planté au milieu comme un con.
Je nettoie mes joues en me dirigeant vers l'ascenseur sous les regards peu discret des quelques employés qui s'y trouve, j'ai à peine le temps de pénétré dans l'ascenseur qui arrive enfin que quelqu'un me saisit par le bras et je sens des lèvres douces et sensuel sur les miennes devant les yeux ébahis de tout ce bon monde....Ah bravo la discrétion Andréas quoi que....
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ne me Fuis Pas
RomanceQuand je l'ai rencontré je ne croyais pas au fait que quelqu'un comme lui puisse s'intéresser à moi. Et ça c'est confirmer 6 mois plus tard quand il m'a mis à la porte, mais j'ai appris de mon passé et plus jamais je ne laisserais quelqu'un me brisé...