chapitre 12

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                      PDV DE ROY

— non mais quel con, fait chier. Hurlait je en me laissant tomber sur le canapé de mon bureau un verre de whisky à la main que je porte à ma bouche en passant une main lasse dans mes cheveux.
Non mais c'est quoi mon foutue problème, quand je réussis enfin à convaincre la nana que j'aime de ma sincérité et je trouve quand même le moyen de tout foutre en l'air, qu'est ce qui m'a pris de lui dire sa bon sang.
Je l'ai invité à déjeuner cette après midi histoire de me faire pardonner quand je suis arrivée dans son bureau eh ben deviner quoi? Il était vide, j'ai dû fait un effort surhumain pour contenir ma colère au maximum, et ce fut comme sa toute la journée, je sais que je l'ai blessé et qu'elle a encore du mal à me faire confiance c'est normal, mais comment changer tout cela si elle ne me donne même pas l'occasion de me faire pardonner, je lui ai envoyé des fleurs qui je suis sur ont finir à la poubelle et les chocolats aussi. Merde.
Je dois lui parler, il faut que je la vois, j'en ai besoin. Je sais qu'elle est encore là sa voiture est encore au parking, alors d'un pas décidé je me dirige vers son bureau en espérant qu'elle soit vraiment là.
Une fois devant sa porte je tends l'oreille, tout est calme, silencieux, alors j'ouvre délicatement la porte et je crois que je viens d'avoir un arrêt cardiaque devant la vu qui s'offre à moi.
Mon Alex devant la baie vitré éclairé par les lumières qui passe au travers baissé le cul pointant dans ma direction.  "La meilleure vu de toute ma vie" je ne retiens même pas le grognement rauque qui est sur le point de m'étrangler tellement elle est sublime cette nana, je la veux putain.
Je fais un pas vers elle, puis un autre, et j'avance jusqu'à me retrouver collé à son derrière qui me tente tant, je passe une main léger sur ces fesses elle sursaute en se retournant violemment prête à me mettre une claque que je retiens à temps.
— lâchez moi espèce de pervers décérébrés sinon je....
— bébé, la coupait je d'une voix rauque que je ne contrôle plus et comme par magie elle arrête de gesticuler comme un verre de terre, je vois du soulagement passé dans ces beaux yeux qui est vite remplacé pas une colère noir.
— qu'est ce que tu veux Andréas ? Lance t'elle d'une voix où perse toute la colère qu'elle essaie de réprimée.
— mon amour il faut qu'on parle. Tu étais où ce midi je suis venu te chercher et j'ai trouver ton bureau vide. Dis je d'un ton calme pour ne pas envenimer encore plus les choses.
— je peux savoir en quoi sa te concerne hein? Écoute moi bien roy Andréas, ce que je fais avec qui je le fais ne te regarde en rien alors lâche moi tout de suite.
Quand elle dit sa, tout la colère que j'essaie de retenir depuis ce matin explose et je l'attire fermement sur mon torse et la maintient prisonnière de mes bras, je rapproche mes lèvres des siennes alors que je sens son souffle chaud sur mon visage, elle ne détourne pas pour autant le regard, ce qui me fait bandé comme un dingue, elle me rend dingue ma rouquine.
— tout ce que tu fais me concerne ma rouquine, tu es à moi, chaque fibre de ton corps, chaque respiration, chaque battement de coeur, chaque gémissement que tu émets m'appartient. Tu es à moi et jamais plus tu ne partiras, jamais. Dis je avec force en me jetant littéralement sur ces lèvres, je l'embrasse comme si ma vie en dépendait comme si plus jamais je n'aurais l'occasion de le faire, je quitte ces lèvres pour embrassé son cou, je le mordille sous les petits gémissements de ma belle rouquine, je prends la direction de cette poitrine tentatrice que j'embrasse en passant ma main sous sa robe pour me saisir de ces fesses bien ferme que je presse en mordillant le bout rose de son seins qui est à découvert, elle gémit encore plus fort en se cambrant les mains dans mes cheveux qu'elle tire avidement.
— r...roy..je.. Essaie t'elle de dire le souffle cour
— oui bébé, dis le. Dis que je suis le seul à te faire ressenti sa. Dis je d'une voix que je ne reconnaît même plus.
— je..tu. Oh mon dieu. Crie elle quand je décale son sting pour enfoncé deux doigts en elle.
— dis le que tu me veux moi et personne d'autre bébé, dis le s'il te plait. Je supplie presque en arrêtant tout mouvement, je sens bien qu'elle est frustré mais j'en ai besoin, j'ai besoin de l'entendre de sa bouche, j'ai besoin de savoir qu'elle ne me déteste pas. bébé, dis le.
— je te veux roy, s'il te plait ne t'arrête pas, dit elle les joues rouge, les lèvres gonfler de nos baisers la respiration saccadé les cheveux en pagaille.
Je ne l'ai jamais trouvé plus belles qu'à cet instant .
— je t'aime mon ange, dis je en libérant mon membre douloureux je déchire son string et la met sur la table de son bureau. Je refuse de te perdre une second fois. Dis je en entrant brutalement en elle j'adopte un rythme assez rapide sous ces cris et gémissements qu'elle essaie de maîtrisé, je la maintient dans mes bras alors qu'elle s'accroche à mes épaules.
La pièce est remplir de nos gémissements et nos respirations saccadée, je sens que la fin est proche elle se resserre autour de mon membre et d'une dernière poussé elle éclate en me mordant l'épaule ce qui me fait venir d'un coup, et putain qu'est-ce que c'est bon.
Le corps tremblant nous restons dans cette position en essayant de reprendre notre souffle, mon front sur le siens.
— ne m'abandonne pas bébé, je suis désolée pour ce matin mais ne me quitte pas, chuchotait je les yeux fermés près à ramper devant elle s'il le faut. << Vraiment très virile mr Andréas, où est passé ta fierté mec>> me nargue ma conscience," au diable ma fierté si je peux l'avoir elle".
— espèce d'idiot, chuchote ma rouquine en passant une main dans mes cheveux pour revenir ensuite sur ma joue qu'elle caresse délicatement, j'ouvre les yeux pour voir un magnifique sourire sur ces belles lèvres rose.
— mon amour...
— je..je t'aime roy. Dit elle si bas que si je n'étais pas coller à elle je n'aurais rien entendu.
Mon coeur bat à un rythme que je n'aurais jamais cru capable, je manque d'air, est il possible de mourir de joie?
Non d'un chien
— roy ça va ? Demande elle en voyant mon manque de réaction, je vois de l'inquiétude dans son regard, mais pourquoi ?
<< peut être parce que tu ne dis toujours rien Einstein>> me rappelle ma conscience d'un air consterné.
      Merde
— tu..tu n'es...
Je la coupe en posant mes lèvres sur les siennes pendant je ne sais combien de temps mais quand on se sépare enfin je sens une larme solitaire glisser sur ma joue.

je t'aime plus que tout ma rouquine.....

ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant