ne me Fuis Pas

chapitre 34

Installé sur une chaise de se salon magnifique bien que sombre reste tout de même magnifique, une glace à la main je regarde du coin de l'oeil cette homme magnifique qui est en face de moi, les cheveux décoiffé, une main dans la poche et l'autre tien son téléphone, il repond à son intellocuteur d'une voix ferme et rauque qui me fait frémir de tout mon être. Je n'arrive toujours pas à réalisé ce qui c'est passé il y'a 1 heure déja, je pense que je suis encore un peu dans les vapes , ce baisé était juste wouah, je n'arrive toujours pas à croire que j'ai pu avoir une relation avec cet homme, je suis d'autant plus frusqué parce que je ne m'en souviens même pas, Mr stanley m'a parlé de ce que j'ai veçu avec roy mais il m'a aussi dire qu'il y'a certaine chose que roy devrait me dire lui même, et là je suis là toute seul avec lui dans cet appartement au centre ville, j'ai tellement de questions que j'aimerais lui posé mais pourtant aucun mot ne franchir mes lèvres, << je suis vraiment trop lâche>> c'est sur je suis très loin de l'image que luna et brenda ont de moi, peut être ont t'elles dire sa pour me reconforté, oui c'est sans doute sa, je pousse un soupir de désespoire et reporte mon attention sur roy et manque de m'étouffé avec ma salive quand je croise son regard rivé sur moi, à chaque fois qu'il me regarde comme il le fait à cet instant j'ai l'impression que mon monde prend tout son sens et je me mets à espéré qu'il me regarde ainsi jusqu'à la fin de mes jours, mais il faut que j'arrête de me bercé d'illusion.
— qu'est ce qui ne va pas ma rouquine ? Dit il de sa voix rauque en venant vers moi d'une demarche à la fois sexy et déterminé, je sens le rouge me monté aux joues, << bon sang est ce qu'il se rend seulement compte de ce qu'il dégage ?>> cet homme est à damné un saint et je suis sur que je ne suis pas la seul à le pensé, je suis sur que plusieur femmes voudraient partagé son lit, même une fois dans leur vie, à cet pensé j'ai comme un pincement au coeur pourquoi cet idée me dérange tant?
— ma belle, dis moi ce qui ce passe dans cette jolie petite tête. Dit il à nouveau en posant une mains sur ma joue me fessant perdre tout mes moyens.
— n-non je ne pensais à rien, rien du tout. Dis je comme une enfant qui a été prise la main dans le sac, il me sourit, et son sourire est juste à tomber comme tout chez lui d'ailleur.
— tu es sûr ? Parce qu'au vu de tes joues rouges j'aurais parié que tu pensais à des trucs très très....
— q-quoi? Non, je me disais juste que vous étiez magnifique et que... Je m'interomp en posant mes mains sur ma bouche quand je me rends compte que je me suis faire avoir, il rigole alors que moi je voudrais juste disparaitre, comment j'ai pu dire sa mon dieu.
— magnifique ? Tu le pense vraiment ? Dit il avec un petit sourire taquin aux lèvres, il est tellement beau quand il sourit, je me perds dans son regard vairon que j'ai tant rêvé de revoir cette semaine, son absence m'a vraiment affecté, j'ai ressentir comme un manque énorme dans mon coeur et maintenant que je suis là avec lui, je comprends que mon corps et mon coeur le reclamait lui.
— oui je le penses vraiment, vous êtes magnifique et encore plus quand vous souriez. Dis je avec un petit sourire alors que son visage se fait un peu plus sombre.
— tu as toujours été la seul à me faire sourire ainsi.
— a-alors pourquoi vous êtes partie ? Dis je en tortillant mes doigts, il me regarde quelque minutes avant de poussé un soupire.
— parce que je ne mérite pas d'être au près de toi, parce que tu es une femme extra et si tu reste avec moi je sais que je vais te faire souffrir. Dit il alors que toute lueur avait disparu de ces yeux comme s'il était vide de toute émotion ce qui fait monté un sentiment de rebellion dans mon coeur, non, je ne veux pas qu'il m'abandonne, je ne veux pas être loin de lui, j'ai besoin de lui.
— mais pourtant tu es bien resté près de moi tout ce temps, tu as veillé sur moi alors pourquoi laissé tomber maintenant? Jason m'a raconté ce qui s'est passé et je ne t'en veux pas tu sais, je veux être avec toi alors ne t'en va pas s'il te plait. Dis je alors que je sens ma gorge se noué, il ne peut pas faire sa hein, il se lève et met un peu plus de distance entre nous.
— tu ne peux pas vouloir que je reste près de toi, tu dis sa parce que tu ne te rappel de rien et je suis sur qu'ils t'ont raconté ce qui les arrangeaint, ils ne t'ont sans doute pas dire comment je t'ai traité il y'a 4 ans hein? Ils ne t'ont pas dire que j'ai jouer avec toi, que je t'ai parié comme un vulgaire jouet tout sa par ce que tu ressemble à cette trainé de raya et que j'avais envie de me vengé, ils n'ont pas dire non plus comment je t'ai humilier pour mieux te jété hein, je t'ai mis en danger tellement de fois si tu savais, et ce jour là aussi, ce jour que tu as dévalé ces escaliers c'était encore ma faute, et ils ne t'ont pas dire non plus que j'ai des accès de colère incontrôlable et je pourrais te tuer à tout moment hein, ils ne l'ont pas faire pas vrai ? alors dis moi comment veux tu être avec quelqu'un comme moi? comment peux tu désiré ma compagnie alors que je n'ai rien à t'apporté dis moi, je ne te mérite, pas après tout ce que je t'ai faire tu comprends ça ? Hurle t'il comme un crie de destresse alors que moi j'éclate en sanglot, depuis combien de temps il garde tout sa en lui ? Depuis combien de temps cette douleur le ronge sans qu'il ne puisse l'exprimé hein, qui est cette raya qui l'a tant faire souffrir hein, je voudrais qu'il soit heureux, il a le droit d'être heureux comme tout le monde, je refuse de resté là sans rien faire, je veux l'aider à allé bien.
— a-alors v-vous t-tu ne m'as jamais aimé ? Dis je d'une voix tremblante alors qu'il est dos à moi les mains sur le plan de travail qu'il sert fort, je me lève sur mes jambes tremblante et fais un pas vers lui, tu ne m'as jamais aimé roy? Insistais je alors qu'il ne me fait toujours pas face, je fais un autre pas vers lui en priant pour qu'il ne me chasse pas, je ne veux plus voir cette peine dans ces yeux, non plus jamais.
— je t'aime à en devenir dingue ma rouquine, je t'aime au point de te donné mon coeur sur un plateau si tu me le demandais. Dit il enfin dans un souffle alors que tout mon être s'en flamme.
— alors ne me laisse pas à quelqu'un d'autre si tu es vraiment le monstre que tu décris avec tant de haine, j-je ne me rappel peut être pas mais je sais que j'ai besoin de toi, cette semaine passé loin de toi a été un véritable enfer, à chaque fois que quelqu'un entrait dans ma chambre je priais pour que sa soit toi, chaque jour encore et encore, je m'en fiche de ce qui à pu se passé entre nous avant, je m'en fiche que tu m'es parié ou même que tu t'es juste servir de moi pour accomplir une vengeance quelconque, tu devais forcement avoir une raison, je n'ai pas peur de ta maladie parce que je sais que tu ne me feras jamais de mal volontairement, je peux faire face à tout sa roy, je veux juste...juste que tu nous laisse une chance de vraiment être heureux, que tu nous laisse une chance de nous prouvé qu'on est vraiment faire pour être ensemble, parce que moi je le sais, je ne pourrais pas être heureuse si tu n'es pas avec moi, alors je t'en prie ne me laisse pas partie, laisse moi apprendre à connaitre le vrai toi et à l'aimé comme toi tu m'aimes. Terminais je alors que mes larmes ne s'arrêtent plus, il me regarde et j'ai l'impression qu'il a enfin lâché prise, il me prend dans ces bras et m'embrasse comme si sa vie en dépendait et je m'accroche à lui avec la même force, tout en continuant à m'embrassé il se dirige vers l'escalier qui mène sur un couloir il avance vers le fond et ouvre la porte qui s'y trouve, il me pose sur un lit et se met au dessus de moi le regard brillant de larmes contenu, il rapproche ces lèvres des miennes et quand je pense qu'il va m'embrassé de nouveau il se stop.
— tu es sur de toi ma rouquine ? Il y'aura pas de retour en arrière cette fois. Chuchote t'il alors que j'hoche de la tête sans hésité il sourit puis me fait un petit baisé. Alors ainsi soit il.