chapitre 40

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                           PDV D'ALEX

J'ouvre difficilement les yeux et tout ce que je vois c'est le noir total, j'ai la tête qui tourne et une envie de vomir que je ne retiens pas plus longtemps, j'incline ma tête sur le côté et renvoie tout le contenu de mon estomac, << putain qu'est ce que j'ai foutue pour avoir aussi mal, et où est-ce que je suis bon sang>>. J'essaie de me redressé mais ce n'est pas un franc succès puisque je n'arrive même pas à bougé mes bras chose qui n'est absolument pas normal, j'essaie de me remémorer les évènements de la veille qui aurait pu me mettre dans cet état mais je ne trouve absolument rien et tout ce que j'ai en retour c'est un mal de crâne horrible qui me fait poussé un gémissement de douleur, c'est clair c'est pas normal sa, << non sans blague>> raille ma conscience alors que je souffle tout en essayant de trouvé un quelconque indice sur le lieu où je me trouve mais rien, c'est le noir complet ce qui ne veut dire qu'une chose, << je me suis encore fourré dans une merde>> mais la quel?
Je respire un bon coup et essaie encore de bougé mes membres engourdis, après je ne sais combien de temps je réussi enfin avec beaucoup de difficultés à me redressé sur ce qui me semble être un lit ou un truc comme sa, et vu l'odeur qui émane de celui-ci il ne doit pas être très propre mais là n'est pas ma priorité, il faut que je sorte d'ici avant que je ne fasse une crise d'angoisse parce que comment dire? Je suis comme allergique à l'obscurité.
Je pose un pied sur le sol et un frisson parcours mon être tant c'est froid, ce qui veut dire qu'on m'a retiré mes chaussures, << putain je suis où là ?>>, j'avance les bras tendu devant moi pour ne pas me prendre un mur en pleine face, mais plus j'avance plus j'ai l'impression de tournée en rond au bout d'une éternité mon corps me lâche sur le coup de la fatigue je me laisse tomber et pose ma tête sur mes genoux pour calmé ma respiration qui devient de plus en plus saccadé, il faut que je sorte d'ici. Je reste sur cette position jusqu'à ce qu'un bruit à peine perceptible se fait entendre et qu'une lumière s'allume enfin au dessus de ma tête, je nettoie rapidement mes larmes qui avaient finir par coulé et fixe la personne qui vient d'entrée et ce n'est qu'à moitié surprise que je regarde cet homme que je pensais être mon ami, cet homme en qui j'ai toujours eu confiance, cet homme que je pensais connaitre, c'est ce même homme qui se tient maintenant en face de moi avec un sourire qui fait froid dans le dos, cet homme que j'ai laissé s'approcher de ma meilleure amie sans savoir qui il était vraiment et avec du recule je me demande comment j'ai faire pour ne pas voir son vrai visage plus tôt.
— alors, bien dormir princesse ? Dit il sur un ton sarcastique avec un sourire narquois aux lèvres alors que je me contente de le regardé sans cilé. Bah quoi? Elle a perdu sa langue ? Dit en se rapprochant de moi, je prends une grande inspiration alors que les évènements me reviennent enfin en mémoire, le fait que Jason soit mon frère me secours encore assez et il faudrait que j'ai une discussion avec lui plutard mais pour l'heure il faut que je sache pourquoi je suis là.
— pourquoi je suis là ? Dis je d'une voix neutre pour ne pas trahir les sentiments qui me traverse en cet instant, il sourit d'avantage puis s'abaisse à mon niveau alors que je ne flanche toujours pas, << je vais lui botté le cul à ce con>> sa ne fait aucun doute.
— toujours fidèle à te réputation hein. Dit il en se marrant, la grande Alexandra Morino qui n'a peur de rien ni de personne.
— sa ne répond pas à ma question Henri, pourquoi je suis là, je sais qu'il y'a forcement une raison et sa m'étonnerait beaucoup que cet idée vienne de toi, tu es trop stupide pour sa, alors autant nous fait gagné en temps tout les deux et me dire qui tire les ficelles et ce que cette personne veut. Dis je avec un sourire innocent alors que je vois cette lueur que j'aime tant s'allumer dans son regard, cette lueur de haine et de rage mêlé.
— je vois que ce fils de pute d'andréas n'a pas eu assez de couilles pour dressé la chienne que tu es. Dit il rageusement alors que je sens une sourde colère monté en moi.
— oh ne t'inquiète pas mon cher Brad, il a toujours assez de couilles pour dégommé des bâtards dans ton genre, alors maintenant qu'on c'est bien amusé toi et moi bouge ton sale cul de clébard pour me ramené ton << boss>> au moins tu auras été utile dans ta misérable vie. Crachait je avec haine en mettant de côté que cet homme était mon ami parce que actuellement il n'est pour moi qu'un ennemi qui en veut à ma vie, et en plus je me retrouve dans l'incapacité de me défendre fait chier << oh bon sang pourquoi je suis toujours aussi faible>>, et roy dans tout sa? Pitié faites qu'il soit à ma recherche, qu'il ne pense pas que je me suis barré, il faut que je trouve un moyen de le contacter, je suis sur qu'il est à ma recherche, il n'a pas pu m'abandonné non. Alors que je suis perdu dans mes pensées un coup énorme vient subitement me frappé au visage me mettant presque KO un moment, ce batard venait de me frappé et il n'y est pas aller de main morte. Je me redresse et crache le sang dans ma bouche avant de lui lancé un regard noir, alors qu'il part dans un rire hystérique comme s'il était soudainement pris de folie avant de s'acharner sur moi.
— ESPÈCE DE SALOPE. hurle t'il en me frappant de plus belle tout y passe, je mets mes mains sur mon visage pour me protégé mais il ne s'arrête pas pour autant, tout mon corps hurle de douleur alors que je reçois un énième coup de pied qui me coupe presque le souffle, les larmes dévalent mes joues alors que je prie tout les dieux pour que quelqu'un me sorte de là, et quand je perdais tout espoir qu'il s'arrête un jour il fini par le faire, j'entends sa respiration saccadé s'éloigner puis il saisit brutalement mes cheveux c'est limite s'il ne me les arrache pas.
— tu vas voir sale petite pute, quand j'en aurais finir avec toi tu ne seras bonne qu'a me sucé la bite. Dit il avec hargne alors que je me demande encore s'il s'agit du même Brad qui fut mon ami, je ne me démonte pas pour autant et concentre le peu d'énergie qu'il me reste et lui crache au visage, il lève une nouvelle fois la main pour me frappé mais une voix le retiens.
— sa suffit comme sa. Dit une voix de femme depuis la porte puis des pas se font entendre pour arrêté en face de moi alors que Brad me lâche brutalement au sol, je crache du sang et porte un regard à la nouvelle arrivante et si je n'ai pas été choqué de voir Brad là je viens de loupé une crise cardiaque face à cette femme qui est face à moi, même si roy avait dire que je lui ressemblais je n'aurais jamais pensée voir sa, et c'est sans grande peine que ce prénom franchir mes lèvres.
— raya. Dis je faiblement alors que mes yeux se ferment d'eux même.

Roy, aide moi...


ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant