La Rose Assassine

21. 20 h 30

Irina :

La semaine passa vite, les journées s'enchaînais et se ressemblais. Nous avions compté une vingtaine d'hommes chinois tous armés jusqu'au dent. Peu importe se que les Chinois trafiquaient c'était pour ce soir. Nous étions à l'hôtel pour les derniers préparatifs. Le but de notre opération était de rentré discrètement prendre les diamants et nous tiré d'ici en vitesse. Pas de strass de paillettes ou d'artifices. Cheveux attaché, lentille de contact, armes, plusieurs chargeurs et mon couteaux. J'avais mis une tenu noir composé d'un débardeur noir, d'un gilet par balle, et d'un pantalon moulant qui s'adaptait au moindre de mes mouvements.

Karasuma lui avait revêtue par dessus un gilet par balle une élégante chemise grise ainsi qu'un simple pantalon et bien sur sa veste de costume quoi que sans cravate pour une fois. Il fronça les sourcil me voyant mettre de dernier à ma ceinture.

- Pourquoi gaspillé vous une place pour un couteaux alors qu'un chargeurs est plus utile, surtout que je doute que les chinois nous attaque avec des balle en mousse. 

- Règles n°9 : Ne jamais sortir sans son couteaux. Ce couteaux ma sauver la vie un bon nombre de fois alors il ne sera jamais inutile. Bon on n'y va ?

Il acquiesça et nous étions sortit de l'hôtel par la fenêtre de sa chambre montant ainsi sur le toit de se bâtiment de quatre étage. En ce début de soirée alors que le crépuscule se faisaient proche mais que la lumière du soleil baignai les quelques habitants encore dehors d'une lueur rosée, on pouvait apercevoir deux silhouette traversé le ciel. Mais chaque personnes témoin de ce phénomène penseraient sûrement avoir rêver. Car après tous ce n'était pas possible de passé de toit en toit pour la plupart des gens. Mais Karasuma et moi n'étions pas, la plupart des gens.

Nous n'étions qu'as quelques rues de la zone ou les chinois avaient établis leur camps. Mais dans notre plan tout était question de timing. Nous devions passé à l'action à 20 h 30 précisément. C'était l'heure idéale parce que c'était la fin du service de garde de l'après midi, or ces dernier qui passaient tout leurs services sous un soleil de plomb prenaient tous les soirs un apéro en attendant la relèves de 21 h.

J'avais détaché mes cheveux pour refaire ma tresse qui s'était coincé dans une parabole satellite que je n'avais pas vu au détour d'un toit. Résultat, je m'étais retrouvé par terre j'avais privé une habitation de télé et d'internet. Cela m'apprendra à vouloir prendre un raccourci. Le brun c'était bien évidement moqué de moi et par ailleurs il le faisait encore. La photo serait pourtant belle à prendre. Karasuma dans son éternelle costume sans cravate pour une fois debout sur le rebord de l'immeuble à côté de moi un sourire en coin sur le visage. Et moi les cheveux volant au vent assise sur le rebord les jambes se balançant dans le vide. Nous regardions tout deux le soleil se coucher derrière les grandes battisses de brique. Je ramenais mes cheveux pour commencé une nouvelle tresse.

- Celle ci aussi va finir coincer dans une antenne satellite ? se moquât t'il. 

- Ça vous fait rire hein ? C'est comme le costume hawaïen je vais en entendre parlez pendant un bout de temps... soupirais je.

- Pendant autant de temps que vous me ressortirez la banane de Rio, contre attaqua t'il.

- Vous savez que nous allons partir en mission suicide vous devriez vous concentrez non ? A la place de vous foutre de ma gueule !, m'exclamais je énervé du sourire moqueur qui ne quittait pas les lèvres de l'agent.

- Ne vous en faites pas pour moi Irina, se contenta t'il de répondre.

- Je m'inquiète parce que j'ai l'habitude de ce genre de mission. Vous ce sont de mission avec des appuis tactique des renforts, des plans de la lettre A jusqu'à Z. Et ne dites pas que nos course poursuite sont des missions suicide parce que vous savez autant que moi que c'est faux, argumentais je.

- Vous remettez en doutes mes capacité Irina ?

- En aucun cas ! m'exclamais je étonné qu'il puisse pensé cela. Vous êtes un très bonne agent mais je me demande si vous avez bien saisi la notions de risque dans cette mission. Vous devez avoir des proches... Pensez à eux. Je peux me débrouillez seule.

Mais qu'est ce qui me prenais ! Je devenais sentimental moi maintenant ! J'étais Irina Jelavic, la Rose et une des plus grande assassin de tout les temps et je me faisais du mourrons pour l'agent du gouvernement qui voulais ma capture. Le fait d'être en contact avec des personnes plus d'une journée me retournais vraiment le cerveaux vivement que tout cela soit fini. 

- J'ai compris les risques, affirma t'il ce qui me fit sortir de mes pensées. On peut mourir et ce ne serais pas la première fois que je risque ma vie sur une opération. 

- C'est bientôt l'heure allons nous mettre en place, coupais je mettant ainsi fin à la conversation.

Il semblerais que j'avais vexé le brun. Je manquais cruellement de tacts et cela ne datais pas d'hier. Je savais que Karasuma avait d'énorme capacité et même s'il était habitué au mission dangereuse il était clair qu'il n'était pas dans sa zone de confort. Le côté obscure de ce monde était bien plus corrompu qu'il ne pouvait le pensé. Lui qui a grandis dans la lumière entouré et aimé ne pourrais sans doute jamais comprendre ce qui anime les gens qui vivent dans se côté là du monde. Enfin bon je règlerais sa plus tard, il fallait se concentré sur la mission avant tout.

Je me mis en place. 20 H 15. Le soleil continuais sa course vers l'horizon et les minutes qui défilaient faisait monté l'adrénaline en moi. J'adorais ça. Cette sensations qui me faisais me sentir plus vivante que jamais. Karasuma sur un toit en face fixait la bâtiments l'air pensif. Je regardais ma montre. 20 H 20. Oh il pouvais pas passé plus vite le temps. Je commençais à sautillé sur place et à m'échauffer. Je n'avais pas envie d'avoir une crampe se serais vraiment pas le moment. Je sentais le regard de mon « coéquipier » sur moi. Il secouais la tête de gauche à droite se pinçant l'arrête du nez. Je lui tirait la langue. Oui en se moment je ressemblais à une gamine hyperactive et alors ?

20 H 29. On y était presque dans quelques seconde la mission commencerais et ma soif d'adrénaline enfin assouvie. 20 H 30. Je m'élançais du toit une immense bouffé d'adrénaline circulant dans mes veines, que la mission commence.