22.L'entrepôt

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Irina :

Je m'élançais sur le toit suivant me dirigeant vers l'ouest du bâtiment ou se trouvais notre objectif . Karasuma courrais parallèlement à moi direction l'Est. J'arrivais à ma position en quelques minutes. Je devais entré par la fenêtre ou plutôt une vitre qu'il y avait de ce côté du bâtiment. Cette dernière avait la particularité d'avoir des caisse en dessous qui m'évitait ainsi une chute de 7 mètres.

Mais le premier imprévu intervint. Contrairement au autre jour. Toute les fenêtre était fermé ! Bordel ! Que devais je faire ?! Si je brisais la vitre on allais me repéré ! Et j'avais rien pour ouvrir cette foutue fenêtre. Toujours prévoir l'imprévisible. Comment avais je fait pour oublier la règle  n°3. Moi qui n'arrêtais pas de me foutre de la gueule d'Hayashi qui ne prévoyais jamais rien. Me voilà dans de beaux drap. Tout ce que j'avais sur moi c'est une arme des chargeurs et mon fidèle couteaux. Allez Irina réfléchit. C'étaient de veilles fenêtres. Peut être qu'avec le couteau je pourrais enlever le carreaux. Non impossible c'est trop solide. Pas le choix je dois brisé la vitre. Essayons de faire cela avec le couteaux en tapant un grand coup sa devrait se fissuré. Mon plan fonctionnes mais manque de bol le bruit que cela produit m'enlèves toute chance de discrétion. Tant pis. Je rentrais par la fenêtre me coupant un peu avec le verre. Mais pas vraiment le temps de tout faire bien. J'entends les chinois qui s'inquiétaient du bruit. 

Je descendis de mes caisses et commença à chercher ses foutus diamants. Je ne tardais pas à les trouvé. Ils étaient dans une mallette assez passe partout mais très sécurisé. Heureusement que nous nous étions préparé et que nous avions eu les bonnes informations. Grâce à cela le forçage de cette mallette ne serais qu'une simple formalité. Bref une fois la marchandise vérifié je devais me confronter à un autre problème. Les chinois. Ils allaient arrivez d'un instant à l'autre et impossible pour moi de sortir par la fenêtre puisqu'il on sûrement posté quelqu'un en dessous. Les pas se rapprochais et les hautes caisse ne pourrait pas me caché indéfiniment. Mallette sous le bras je me plaquais contre des caisse et dégainais mon arme. Je ne savais pas ou était ce crétin de Karasuma, il aurait du me rejoindre il y a un petit moment maintenant. Tant pis changement de plan.

Je m'élançais dans l'allée pour me diriger vers la sortie. Au croisement je me plaquais contre un centenaire pour vérifié si que la voie était libre. Manque de bol je tombais nez à nez avec un chinois. Premiers coups de feu. Premier Cadavre. Bon la c'est sûr je suis repéré ! Heureusement la balle que se dernier avait tiré était passé à côté de moi sans m'effleuré. 

J'entendais plusieurs assaillant se dirigé dans ma direction. Trois apparurent en face de moi et ils ne mirent pas longtemps à me repéré et a me canardé ! Merde !Les échanges de tir commence, il sont violent et je n'ais que peu d'occasion pour me défendre. Au bout d'un certain temps j'arrive à en toucher un dans le ventre. Mais d'autre semble arrivé en renfort. Bon sang il était ou se crétin d'agent qui me suivait comme mon ombre y a à peine trois semaine ! Jamais là quand on avait  besoin de lui !

Soudain j'entendis un coup de feu derrière moi je me retournais pour voir Karasuma abattre un chinois.

- Et c'est moi qui doit faire attention ?, demanda t'il narquois.

- Je vous remercie Karasuma et je vous emmerde aussi, répondis je vexé de ne pas avoir entendu l'enemies arrivé.

- A votre guise Mlle Jelavic.

Il me fit une sourire en monde je vous l'avait bien dit qui m'avait donné envie de la baffé. Mais je le ferais plus tard car nous étions toujours en danger, il devais rester une vingtaine d'homme qui n'avait qu'une chose en tête nous abattre et récupéré leurs pactole. Nous étions toujours sous leurs feu et la distance qui nous séparais de la porte était encore loin. 30 mètre c'est certes peu mais 30 mètre sous une pluie de balle devenais tout de suite beaucoup plus dangereux.

- Pour la discrétion c'est raté, remarqua cyniquement l'agent.

- Je sais, bon ils sont au moins deux à nous tiré dessus et les autres arrive mais si on reste embusqué ici on va se faire descendre, réfléchissais je à voix haute.

- Vous avez les diamants ? m'interrompis le brun.

- Évidemment !

Je levais les yeux au ciel. Non mais je tenais cette valise encombrante par plaisir en plus ! Une idée germa dans mon esprits. C'était stupide mais avec un peu de chance... Cela pourrais fonctionnée. Et puis qui ne tente rien n'as rien après tout. Je me tournais donc vers le Japonais pour lui demander :

- Dites vous avez une poche dans votre éternelle costume ?

- Oui, mais qu'elle idée avez vous derrière la tête Irina ? questionna t'il méfiant.

- C'est bien votre truc ça répondre à une question par une question. On va mettre les diamant dans votre poche !

J'ouvris une nouvelle fois la mallette tandis qu'il ripostait de nouveaux contre nos assaillant. Je sortit les diamant et les lui confiait. Je ne devrais peut être pas avoir une confiance aussi grande en cet homme mais si on ne faisait rien on allais y rester tout les deux. Et mourir n'était pas vraiment dans mes projets immédiat. N'était même pas dans mes projet tout cours a vrai dire !

Je lançais la valise vers nos agresseurs qui tire dedans ne faisant pas attention à ce que c'était. Nous profitons de leur émargent pour leur tiré dessus. Trois de moins ! Nous avancions vers la sortis sud du bâtiment continuant à respecter le plan.

- Il sont 26 en tout vous en avez tuer combien ? demanda mon coéquipier.

- On en a tué 6 en tout suivez un peu Karasuma ! le grondais je tendis que chacun de nous en neutralisa un de plus. Enfin 8 maintenant.

Karasuma abattu deux homme de plus couvrant ainsi mes arrière tandis que j'en tuais un. 11 sur 26. La sortie de l'entrepôt était encore loin et d'après les plan étudier et les rondes qu'ils avaient déterminé cette soirée n'était pas fini...

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant