La Rose Assassine

40. Coupons lui le bras !

Karasuma :

Je laissais Irina dans sa planque. Elle devait avoir besoin d'être un peu seule. Et après notre rendez-vous avec Nagisa je ne voulais pas risquer de me mettre la blonde à dos. Je devais donc faire son sale boulot et allez intercepter la personne qui irait dans la chambre de sa cible. Me faisait elle payer pour aujourd'hui ou juste pour se venger du fait que je la traque.

Je me fiais aux informations d'Irina et de Nagisa pour pouvoir trouver un endroit tranquille ou observé la chambre de la dénommé Angelina. C'est ainsi que je vis un pauvre homme se faire violer par cette femme qui se croyais au-dessus des autres. Elle le fit durer longtemps le poussant toujours plus à bout et le forçant à éjaculer...

Elle avait un sourire satisfait. Cela me fit frissonner, les clichés des hommes qui violais les femmes existais aussi dans le sens inverse. Les mœurs avaient tendance à flouer un peu ce genre de crime. Elle me dégoutait. Cette femme était d'un autre niveau de cruauté, même Irina assassin d'envergure ne s'abaisserais pas à ça.

Quand elle le jeta dehors comme une vulgaire pille de linge sale. j'avais su qu'elle avait fini de jouer. Beaucoup aurait détourné le regard au même vomi devant se spectacle troublant et assez dérangeant. Assistez à un viol c'est quelque chose, même si le vivre devait en être une bien pire.

Il était tant pour moi de passer à l'action. Je sortais donc de ma cachette de voyeurs pour aller vers la camionnette noire des serviteurs de cette charmante dame.
Il y avait deux hommes de main qui attendaient surement qu'un troisième leurs amène le pauvre homme. J'arrivais vite à leurs niveaux, je devais me débarrasser des deux pour pouvoir libérer l'esclave. Mais je ne devais pas les tuer. Les assommer simplement avant que l'un des deux ne donne l'alertes.

- Tu penses il va durer combien de temps celui-là ? demanda le plus balaise des deux.

- J'en sais rien ! T'en pose des questions idiotes ! On est pas payez pour savoir combien de temps ils survivent. On les amène et on les ramène. Cela s'arrête là.

- Tu n'es pas un peu curieux ?

- Non. La patronne se lasse vite c'est tout ce que tu as besoin de savoir. Tu ne devrais pas être si curieux si tu veux garder ce job, et la vie par la même occasion.

Donc le plus balaise des deux était un novice. Il aurait donc des doutes quant à la chose à faire en cas d'urgence. Je devais donc me débarrasser de l'autre en priorité. Et je devais me dépêcher avant que la victime et son garde n'arrive.
Heureusement grâce aux infos glaner par la russe et à mon expérience du terrain ainsi qu'à une petite bombe de fumée mettre hors d'état de nuire ces types ne sera qu'une formalité.

Après avoir lancée la bonbonne entre eux je me glissais derrière cet écran de fumer pour attaquer le plus expérimenter que j'étouffais jusqu'à ce qu'il tombe dans l'inconscient . Malheureusement pour moi il était plus costaud et je n'arrivais pas à le maitrisée avant que la fumer ne se dissipe. Je jurais alors que le second homme s'élançais vers moi voyant son collègue inconscient à mes pieds.
J'étais dans de beau draps. Le dernier debout était certes un novice mais c'était aussi une montagne de muscle et je ne doutais pas qu'il avait les connaissances de combats pour me coller une raclée. Est-ce que c'est ainsi qu'Irina se sentais quand elle était face à moi ? Après tout si on parlait de physique pur et dur j'étais plus fort qu'elle.

Le poing dans ma mâchoire me ramena à l'instant présent. Le goliath devant moi avait l'avantage et continuais de me frapper profitant que mes pensées soient tournées vers la russe pour m'attaquer. J'encaissais donc sans broncher attendant une ouverture.
Chose qui arriva quand il crut m'avoir assez frappé. Je lui rendis alors coup sur coup puis me glissait derrière lui. Je l'assommais ensuite comme pour son collègue.