5. Conversation Nocturne

154 10 23
                                    

 Karasuma :

J'étais dans la chambre d'amis coller au mur je n'avais pas compris pourquoi elle était partie dans une fureur noir. Je n'avais pas compris non plus sont attitudes de se soir. Ni quand avais je bien pu l'offusquer. Mais elle pleurais depuis plusieurs heures déjà répétant sans cesse les mêmes mots. Pathétique, Faible, Bonne à rien. Cette femme était un vrai mystères. Ces dernière heure ce n'était pas la Irina Jelavic que je connaissais. Elle proposais de m'héberger et même de me payez si je l'aidais. Elle proposait aussi m'aider. Moi l'homme qu'elle doit fuir à tout prix. Elle préférais m'aider que se faire une prime sur mon dos. Avec moi elle aurait pu se faire beaucoup d'argent. Je devais être l'ennemi numéro un du Japon. Mon nom à déjà dû être distribuée à tout les plus grands assassins du mondes. Elle m'avait dit que je pouvais partir quand je voulais mais j'étais conscient qu'une fois le nez dehors, je serais une cible vivante. Je n'entendais plus rien dans la chambre d'Irina. 

Je me mis donc sur le lit, cherchant toute les autres options. Je ne pouvais décemment pas rester ici indéfiniment. Pourtant cette endroit me faisais me sentir ... Bien, calme et reposé. Ici j'étais détendus. Et je n'aimais pas ça. Cette endroit était étrange on s'y sentait bien dès les premiers instants. Mais pourtant se calme et cette sérénité me fit plongé dans un profond sommeil. 

Je fut réveillé par des bruit dans la cuisine. Je pris mon arme et sortis de la chambre sans faire de bruit.

- On ne bouge pas ! Crias je pointant l'intrus.

J'allumais la lumière et vis Irina les mains en sang. Elle ne bougeais pas comme effrayé par la situations. Je vis des ombres dansées dans ses yeux. Elle secoua plusieurs fois la tête puis se repris et me dit :

- Karasuma détendez vous un peu ! Je vous ai dit que vous étiez en sécurité ici, j'ai jute cassé un verre. Je sais que vous ne me faites pas confiance mais ... Non laissez tombez. Retournez vous couchez il est encore tôt et le soleil n'est pas encore levez, la journée d'hier à dû être riche en émotion pour vous et vous devez être fatigué. Je vais ramassé les morceaux de verre.

Je rangeais mon arme. Elle me mentais. Le sangs sur les morceaux de verre au sol prouvais le contraire puisque si elle s'état vraiment couper le réflexe aurait été de reculer directement et donc il n'y aurait pas eu de sang par terre ou très peu. Et si elle s'était couper elle ne serais pas restez la planter au milieux de la pièces.

- Vous n'avez pas cassez un verre, la corrigeais je reconnaissant parfaitement ce types de blessure pour les avoir eu moi même, vous l'avez serrez tellement fort qu'il vous as explosez dans la mains. Si vous ne traité pas ses coupures vous pourrez vous mettre des morceaux de verre dedans. Venez là je vais vous aidez.

Je partis dans la salle de bain chercher du désinfectant et des bandages. Puis reviens vers elle, j'appliquais le désinfectant. La coupure était profonde, très profonde. A vrai dire le plus impressionnant était la taille du morceaux de verre incruster dans sa main. Je ne savais pas exactement pourquoi elle avait explosé se verre, mais elle ne s'était pas loupé.

- Et vous comptiez laissez ça dans votre main ? Demandais je incrédule.

- Ce n'ai rien Karasuma juste un morceaux de verre. J'en ai vu d'autre. Je suis une assassin ce n'est pas un morceaux de verre qui va m'arrêter, argumentas elle levant les yeux au ciel

Je retirais délicatement le morceaux de sa main, elle ne cilla même pas. Elle se contentas de grimacer quand j'appliquais le désinfectant sur sa plaie maintenant à vif. Je bandais sa main et elle me remercia. J'allais rentré dans ma chambre mais elle m'interpella :

- Karasuma ?!

- Qui y a t'il ?

- Puisque nous devrons collaborez je préfère être honnête avec vous. J'ai reçu un message du gouvernement Japonais. Il offre une prime d'un million de Yens à toute personnes qui pourrais vous attraper mort ou vifs, m'appris elle baissant les yeux au sol comme une enfant pris en train de faire une bêtise.

- Vous allez me rendre au autorité ? demandais je reculant de quelques pas.

Même si cela sonnait plus comme une question, elle était pour moi une affirmation. Un millions de Yen et notre petite poupée russe perdais tout ces principes. C'était ce qui allait arrivé connaissant Irina.

- J'ai dit que je ne vous vendrez pas ! S'exclama elle les sourcils froncé une mine offusqué sur le visage. Vous êtes la clé du mystère. Celle ou celui qui a commandé l'assassina de votre patron, voulait vous piéger. C'est peut être la personnes qui m'as engagé ou quelqu'un d'autre mais tant que nous ne seront pas pourquoi il ou elle à voulu vous piéger, je ne saurais pas qui m'as piquez mon contrat. Je déteste qu'on touche à ce qui m'appartiens. Y compris mes cibles. Et je préfèrent tuez mes cibles plutôt que de les capturés. Vices de la profession je suppose. Mais je n'ai pas envie de vous tuez, avoua t'elle d'une petite voix.

- Et pourquoi ça ? Cela vous faciliterai la vie pourtant.

- Karasuma... Je ne veux pas vous tuez pour deux raison. La première est que vous êtes un adversaire de taille. Et que vous échapper m'amuse au plus au point c'est presque la partie que je préfère. Tuez est bien sûr mon principalement objectif mais vous échapper rajoute du piment. Les autres, les précédents agents étaient lent je devais toujours prendre mon temps et cela m'enlevais l'urgence et l'adrénaline qui allait avec. Mais avec vous je dois faire vite. Vous avez bien faillit m'avoir plusieurs fois. Et j'ai un malin plaisir à vous signer mes crimes. La seule chose que je vous laisse c'est ...

- ... Une rose. Même si parfois j'ai le droit à autre chose. Le plus personnelle avait été lors de l'assassina du ministre chinois. Un petite mots avec votre trace de rouge à lèvres.

- Oui c'est vrai ce soir là j'ai été joueuse. La seconde raison, c'est que ... La facilité c'est pas pour moi. Je n'aime pas ça ; je m'ennuie. Ma vie n'as jamais été facile alors me reposez sur autre chose que les chemin tortueux, je n'y arrive pas. Et j'avoue que je suis beaucoup trop curieuse, et puis avoir de l'aide n'est pas de refus. Aie-je répondus à votre question agent Karasuma ?

- Hn. Qui était votre employeurs ?

- Justement là est aussi mon mystère. Je fais mon enquête mais il est clair que ce n'ai pas un Japonais.

- Nous avons donc deux hommes mystère à attrapé. Cette histoire commence bien.

- Même si mon employeurs n'était pas Japonais je sais vers qui on va se tourner.

- Et vers qui Mademoiselle Jelavic veut elle se tourner.

Elle me fit une clin d'œil me tirant la langue. Qui veux t'elle donc allez voir ? Je crois que cette question resteras sans réponse puisque elle me dit :

- Bien il est encore tôt. Allons nous couchez, parler de boulot à trois heure du matin n'est pas l'idéal. On reparleras de tout sa quand le soleil sera lever.

Elle jeta les derniers bout de verre, puis partis dans le couloir. Mais avant d'aller dans sa chambre elle se tourna vers moi et lanças avec un sourire.

- Merci de m'avoir soignez. Bonne Nuit Karasuma.

- Bonne nuit Irina.

Je la suivit dans le couloir rentras dans ma chambre, me jeta sur le lit. Je regardais le plafond me demandant bien ce qu'Irina me préparais. Un chose était certaine, je n'étais pas au bout de mes surprise.  

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant