14. La règles 19

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Irina :

Il restas devant moi l'air interdit. J'avais évidement fait des recherches sur lui. C'était il y a 3 ans. Mais la vie était cruelle et c'était souvent les bons souvenir qui disparaissaient et les événements traumatisant qui restaient. J'en savais quelque chose. J'avais un peu mentis à Karasuma on m'avais déjà adresser ce regard il y a deux ans. J'y avais eu droit à Amritsar avant que tout ne dérape. J'y avais eu droit à ce bonheur éphémère. Le temps de quelque heure j'y avais eu droit puis comme tout dans ma vie cela c'était effondré.

Amritsar avait été la cause de mon cauchemar comme souvent d'ailleurs. Ma vie n'avais été que meurtre et sang mais malgré toute les atrocité que j'avais du commettre rien ne me faisais plus cauchemarder qu'Amritsar. J'avais pourtant tuez des centaines de personnes depuis mes dix ans. Des types dangereux et cruel, fou. J'avais affronté la mort des milliards de fois si bien que c'était devenu mon quotidien mais... Je faisais encore des cauchemars d'Amritsar.  L'ancien agent allait parlé mais la voix de notre hôte derrière la porte nous interrompis :

- Hiro-sama ! Izumi-sama nous allons bientôt atterrir à Buenos Aires.

Je fit un sourire à Karasuma en me levant de la couchette puis fis en sorte d'être présentable. J'avais craqué encore. Il fallait que j'arrête de montré mes faiblesses à cet homme. Mon ennemis naturelle. La lumière et l'ombre. Le Ying et le Yang. Le bien et le mal. Si différent mais pourtant si semblable. C'était peut être pour cela que je me sentais vulnérable face à lui.

- Hiro tu devrais changé de chemise, dis je en reprenant mon rôle.

Je sortis de la cabine pour rejoindre le Lord qui bavait déjà sur mon corps. J'attendais mon « fiancé » en discutant de banalité avec ce dernier agacée par le regard instant et peu discret qu'il portait sur ma poitrine. Si ce Lord savait que je pourrais le tuez sans effort, je pense qu'il arrêterais nette de me reluquer comme son prochain repas.

Karasuma interrompis mes fantasmes meurtrier en s'asseyant près de moi. Il passa un bras autour de ma taille et m'attiras contre son torse un peu comme toute à l'heure. Contre toute attente il posa un baisé protecteurs sur mon front .

- On voit bien que vous êtes fais l'un pour l'autre vous deux ! S'exclama gaiement le Lord.

Je n'avait pas eu besoins de me forcer pour devenir pivoine. Tout ceci était une pièces et nous en étions les acteurs. Notre duo avait toujours très bien fonctionner, je ne comptais plus le nombre de fois ou nous avions dû joué la comédie dans le seul but de ne pas blesser des civils. Karasuma me fit une nouvelle salves de compliments et ce petit jeu durait vantant chacun notre tours les qualité imaginé à l'un et à l'autre.

J'étais encore blesser même si je ne le montrais pas. J'étais blesser que ce regard si doux si remplis d'amour ne me sois pas adresser. Pas que j'attendais le contraire mais je voulais encore ressentir cette sensations qui m'avais prise ce jours là. Mais une fois encore je devais me rendre à l'évidence ; j'étais incapable d'être aimée pour ce que j'étais réellement. Pourquoi ? Pourquoi je n'y avais pas droit à ce regard. A cause du Destin ? Du hasard ? De Dieu ? Ce foutu Dieu auquel je croyais mais qui n'avait pas l'air de répondre à mes prières ! Peut importe à qui la faute à vrai dire je cherchais seulement depuis des années une explication pour ces malheurs perpétuelle dans ma vie. Mais à défaut d'explication logique ou spirituelle je devrais peut être me dire que c'était ainsi. Que dans ce monde ils y avaient des personnes qui ne serraient jamais heureuse et que j'en faisais partie.

- Mon cœur ? Ça va ? Étais tu encore dans la lune ?

- Je suis désolé mon cœur mais j'étais partis dans les méandres de mon esprit et je n'ai pas du tout écouté la conversations.

- Mon cœur nous avons atterri.

- Ah oui pardon . Je n'ai même pas sentis l'avion atterrir.

- Ce n'est rien Izumi-sama. Une voiture vous attend pour vous menez à l'hôtel.

- Très bien tu viens Princesse on va chercher les valises.

J'acquiesçais et le suivit dans la cabine. Je pris le téléphone et envoyais un message à mon frère. Cette histoire de voiture ne me disais rien qui vaille. Hayashi aurait t'il oublié de m'en parlé.  Non Hayashi n'oublie jamais rien. Sauf peut être de se bouger le cul quand ses amis étaient en danger de mort. Ah il avait peut être oublier enfin de compte...

« Le sang est rouge, mon âme est noir »

J'eus sa réponse quelque seconde plus tard.

« Maintenant il est si tard, ne garde surtout pas espoir »

J'envoyais le dernier message.

« Car il est déjà trop tard »

Des que ce message fut envoyé des dizaines de dossier se téléchargèrent quelque application s'installèrent. Puis une s'ouvrit. Je ne connaissais cette application que trop bien. Je fit signe à Karasuma de s'approcher pour qu'il puisse lire sur le smartphone.

- Hayashi ?

La réponse se tapas directement sur l'écran.

Oui

- Encore se vieux moyen de communication on se croirait de retour à ...

Amritsar ,compléta le traitement de texte.

- Oui ... Amritsar. Je crois qu'on en parle beaucoup trop ces dernier temps ...

Moi aussi, répond mon frère toujours en utilisant le traitement de texte.

- Dis moi Hayashi à tu prévu une voiture pour nous quand on descendrais de l'avion ?

Non, je sais que tu préfère de débrouillé par toi même et puis il faut que vous soyez discret.

- Donc la voiture qui nous attends dehors est un piège...

Sûrement faites attention à vous.

- Ne t'en fait pas onii-san, je gère.

La dernière fois que tu m'as dit cela c'était à ...

- Amritsar.

Je suis sérieux Irina. Je ne veux pas te perdre toi aussi !

- Tu ne me perdras pas grand frère. Je t'en fait le serment. Et tu sais très bien que ...

A vow cannot be stolen.

- Exactement et tu sais très bien que je n'ai jamais dérobé au miens. On dois te laisser. On te recontacte quand on aura trouvé un endroit sur.

J'éteignis l'application. C'était vrai que la dernière fois que je lui avais fait cette promesse, c'était en Inde.  Bon en même temps cela faisait deux ans que je ne lui avais pas adresser la parole. Et puis lui ne l'avait pas tenus son serment. Cela lui va bien de me faire récité la règle 19 quand sois même on ne l'as respecte pas ! Je fermais les yeux puis je me tournais vers l'ex agents. Je crois que je lui devais une petite mise en contexte. Même si je ne lui expliquerais pas je lui devais au moins cela. Enfin je crois... 

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant