7. Façon Irina

142 11 3
                                    

Karasuma : 

 Je bouillonnais intérieurement. J'avais une incroyable envie de descendre se fumier. De sentir son sang coulé sur mes main et enfin la venger. Irina qui me regardais du coin de l'œil vis mes poings se serrez. Elle affichas alors un sourire narquois. Mais que diable prépare t'elle encore ? Elle me fit un clin d'œil et ce fut à cet instant que je compris qu'elle allais réglé cette affaire façon Irina. Conclusion, on avait environ 2 % de chance de survie.   

- Sache que mon toutou comme tu l'appelle est beaucoup plus loyal et compétent que tu ne le sera jamais. Ce n'est pas qu'un homme de main, c'est aussi un homme avec ce que tu n'auras jamais, dit elle fermement le fixant avec une détermination que je ne lui connaissait pas 

- Ah oui et c'est quoi ?

- Des valeurs.

Tout les hommes rièrent, mais elle ne se démonta pas. Elle fit même un sourire. Le sourire que je lui connaissais. Celui qu'elle faisait quand elle passait à l'action. Son sourire d'assassin. Celui qui disais que peu importe ce qu'elle faisait elle allait gagné et qu'elle le savait. Elle s'approcha de lui, doucement et sensuellement. Les hommes de main d'Iwakura sortirent leurs armes et la braquèrent sur elle. Totalement calme elle continuas à s'approcher de lui. Une fois tout près elle murmuras mais assez fort :

- Si tes hommes tire sur moi ou sur l'homme qui m'accompagne... Je te la coupe, dit elle en sortant un couteaux de sa poche pour la lui mettre sur ses parties. Comme sa il y aura une autre différence avec mon ami là bas et tout les hommes de la planètes.

Iwakura avaient été tellement sur de lui et confiant grâce à sa précédente victoire et il avait sous-estimé la russe. C'étais un bon tueur à gage mais dès qu'il s'agissait de réfléchir Iwakura n'était pas plus performant qu'une moule et elle le savait. Iwakura était fait comme un rat et je n'avais même pas eu le temps de lever le petit doigt.

- Baissez vos armes ! Hurla le garagiste.

- C'est bizarre tout de suite tu es plus coopérant. J'ai besoin de deux motos. Deux Hayabusa, avec des casques, déclara t'elle simplement appuyant le couteau contre les partie de notre ennemis commun, le faisant gémir de douleur. Si vous ne coopérez pas rappelez vous que je sais ou sont vos famille. N'oubliez pas que j'ai fait partie de votre vie pendant six mois et que j'en connais plus sur vous que vous sûr moi. Et vous savez quoi se seraient dommage que vous vous retrouviez en prison tous autant que vous êtes parce qu'une source "anonyme" aura envoyé toute ces information aux autorité. Mais vois le bon côté des choses Iwakura ta mère sera sûrement ravie de me voir. C'est bête mais je l'aime bien se serais dommage de devoir la tuez.

Elle ne bluffait pas et je savais très bien que tous le savais autant que moi. Dangereuse la belle blonde. Mesquine et vicieuse également. S'attaquez à la famille était un coup bas. Mais elle ne voulait pas perdre de temps et s'éternisé d'ici. Je la comprenais. On revint avec deux moto et des casques quelques minute plus tard.   

- Maintenant vous allez nous laissez partir. Ah et au faites, dit elle en reculant et tirant dans son épaule avec un flingue sortis de je ne sais où. Je t'avais prévenue, je me vengerais. Ceci fait je vous souhaite une bonne journée Vous pourrez peut être le sauvez si vous l'emmener à l'hôpital. Mais parlez de moi et vous ne pourrez plus parlez du tout .

Elle enfournât sa moto et me dit :

- Allez bougez vous ! Ah et prenez sa !

Elle me lanças une oreillette et m'expliquas que c'était aussi un micros comme ça on pourras communiquez malgré le casque. Elle mit ensuite se dernier et me fit signe de la suivre. Je ne sais pas trop ou on vas et cela me pose problème. Était ce vraiment une bonne idée de suivre ma cible ? Sûrement pas. Mais avais je vraiment le choix ?

Suivre Irina à moto était libérateurs La vitesse apportais une dose d'adrénaline divine. Je comprenais pourquoi Irina aimais cette adrénaline. Le vrombissement des moteurs était une musique douce à mes oreilles. La voix d'Irina résonnas alors dans mon oreille.

- Alors Karasuma cela vous rappelle t'il des souvenirs, on s'était amusé ce soir là.

- Oui cela à été une de nos meilleure traques et on as bien faillit vous avoir.

- Vous allez comprendre comment je vous ai échappé ce soir là.

- Ou allons nous ?

- Dans un restaurant au centre de Tokyo. On va voir un veille ami, ils m'ont autant formé que mon maître et je sais que vous n'êtes pas au courant que j'ai quitté la compagnie de Lovro pendant quasiment deux ans. Avec lui vous pourrez m'appelez Irina mais surtout faites attention à ne pas trahir votre identité. Ils n'aime pas vraiment les agents.

- Mais qui allons nous voir bon sang ?

- On va voir Hayashi, nous nous sommes rencontré il y a bien longtemps. J'ai été sous la protection de son père pendant tout mon séjours. Lovro et son père était amis. Bref maintenant son père est mort et il as pris sa place.

- Arrêtez de tournez autours du pot Irina, dis je agacée.

- Oui pardon. Nous allons voir l'Oyabun.

- L'Oyabun !! On va déjeunez avec le chef des Yakuza !

- Le gouvernement ne nous aideras puisqu'il vous a piéger alors on va frapper en face et puis Hayashi est un ami.

- Vous me dites que vous êtes bonne amis avec le chef des Yakuzas, que vous avez été formé par son père : l'ancien Oyabun !

- Et voilà pourquoi je ne voulais pas vous le dire. Tout va bien ce passer Karasuma, c'est un peu comme mon frère. Arrêter de vous inquiétez je vous présenterais comme mon équipier. 

Je l'insultais, pendant qu'elle riais. Le reste du trajet se passa plutôt bien, et je comprenais maintenant pourquoi elle m'avait demandé de changé de tenue. Ou plutôt arranger la mienne. On s'arrêta quelque minute plus tard devant un des plus chic restaurant de Tokyo.

Irina descendit de sa moto et enlevas son casque laissant ses long cheveux en cascade, subjuguant tout les regards. J'enlevais mon casque et la suivit à l'intérieure du restaurant. J'étais ébahis par le nombre de criminel et d'assassin qui mangeais ici sous le nez de tous. Je reconnus plusieurs personnes cherchez par des collègue de différente nation. Irina se rapprocha de moi et me souffla :

- Restez près de moi Karasuma. On ne sais pas vraiment à qui votre demande de tête à été envoyé. Et comme je l'ai dit cette nuit j'ai pas vraiment envie de vous voir mourir.

Nous avancions donc au milieux de tous ces criminels vers le maître d'accueil. Je n'étais du tous serein. La façons Irina était déconseillé pour toute personnes qui voulais rester en vie. Mais comme la mienne était déjà bouleverser, qui ne tente rien n'a rien. Enfin c'était ce que disait le proverbe. La seule solutions était de souffler un bon coup et advienne que pourra...   

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant