16. Briser les règles

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Irina :

- Règle n°23 : Les règles son faites pour être enfreinte.

- Règle n°5 : Ne jamais au grand jamais provoquez la colère d'Irina sous peine de représailles.

- Règles n°33 : Ne torturez que si nécessaire.

- Règle n°99 ( que seule Irina comprend nous assurant que c'est mieux que l'on ne sache rien ) : Ne jamais libérer la créature.

Les cris de l'imposteur derrière moi ravissaient mes oreilles. Voilà dans quels environnement j'avais passé ma vie : les cris, le sang, la douleur et la mort. Je forçais la porte du bâtiment sans aucune difficulté et fit entré ma futur victime. Nous étions dans un entrepôt remplie de matériel de chantier et de peinture de toile et de tableau. Je mis ma victime au centre d'un espace dégager un peu près assise sur une caisse. Puis ayant hâte de commencé malgré l'extase que me procurais ses gémissement je lui dit me plaçant devant lui :

- Ferme là ! Maintenant que mon amis n'est plus là je vais pouvoir m'amuser. Que je t'explique l'homme avec moi est un homme bon qui même s'il n'hésite pas dans les cas d'urgence à recourir à la manière forte préfèrent toujours la manière pacifique. Moi en revanche ... Je suis pourri jusqu'à la moelle. J'ai commis mon premier meurtre à 7 ans et aujourd'hui la mort est mon travail. Nous avons donc deux solutions à présent soit tu coopèrent et je te laisse ici, soit tu ne coopèrent pas et tu auras une mort longue et douloureuse même après m'avoir dit ce que je veux savoir. Ton destin est entre tes mains. Je te laisse réfléchir...

Je partis chercher deux autre caisse une pour posé le matériel l'autre pour m'asseoir. Je mis en place le matériel puis m'assis pour regarder son être tremblez et la douleurs dans sa jambe crisper les traits de son hideux visage. Je ne torturais pas souvent mes proies mais j'aimais cela. Sentir la peur s'infiltrer au plus profond de leurs être. C'était presque plus jouissif que de leurs ôter la vie. En général je laissais ces personnes en vie. Je m'amusais du traumatisme indélébile que je laissais sur leur âmes corrompu.

Cela faisait sans doute de moi un monstre. Même mon maître ne connaissais pas cette partie de moi. Le père d'Hayashi le savait et m'avait pendant les deux ans que j'avais passé chez eux aidé à contrôlé cette pars de moi qui pouvais devenir dangereux autant pour mes proches que pour moi. Je ne savais pas si Hayashi était au courant. C'était la principale raison qui m'avait poussé à mettre Karasuma à l'écart de cet interrogatoire. Cette part de moi qui aimais la sensation de faire souffrir les gens j'arrivais à la contrôlez la plupart du temps grâce à l'adrénaline que me procurais mes contras. Je n'étais ni plus ni moins qu'une drogué quand ma soif de torture et de sang se réveillais. Comme maintenant.

- Vous avez réfléchis ? Susurrais je me levant pour commencé à tourné atours de la caisse.

Mes talons claquais sur le sols de l'entrepôt. Il cherchais des yeux une échappatoire. Cette lueur d'espoir que je vis dans ses yeux et toute les façon de l'anéantir m'arrachèrent un sourire. Ce sourire. La seuls chose qui trahissait ma part d'ombre en tant normal. Mon sourire d'assassin.

- Ne rêvez pas. Il n'y a pas d'échappatoire. Vous pouvez y croire. Mais pour vous il n'y plus d'espoir. Alors allez vous coopérez ?, susurrais-je doucereuse

- Va en enfer salle succube ! s'exclamât-il comme pris d'un élan de courage.

- Je suppose que cela veux dire non. Parfais c'est la réponse que je voulais vous entendre dire. Je vais pouvoir m'amuser. Même si c'est ce que je voulais vous entendre dire je trouve cela bizarre que vous changiez d'avis aussi vite. Vous devez avoir vos raison. Mais trêves de plaisanterie commençons. Dites moi qui êtes vous ?

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant