8. Frère de Cœur

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Irina :

Il hocha la tête et on avança dans vers le maître d'accueil. La salle était bondé d'assassin. Je crois que certain voulait aussi ma tête. Car dans notre profession c'est tué ou être tué. Trompé ou être tromper. Voilà les règle du côté obscure.

- Bonjour que puis je pour vous joli demoiselle.

Je sortis le médaillon de ma poche le lança à l'homme. Il l'examinas et son teins blêmis. Je lui fit mon plus beau sourire avant de reprendre mon médaillon. Je vis Karasuma me jeter un regard interrogateur. Je lui montrais le médaillon avec les armorie du Oyabun.

- Vous avez été une Yakuzas, dit il surprit.

- Si vous voulez une liste courte demandez moi ce que je n'ai pas été.

Il sourit puis l'homme nous accompagna vers une salle privé. Hayashi ne faisais jamais rien à moitié. Le serveur nous laissa devant la salle ou je rentrais sans frapper. Puis sans me tourner je mit deux  coup de poing derrière moi. C'est avec satisfactions que j'entends deux bruit de heurt.

- Shiba, Onoki c'est un plaisir de vous voir à chaque fois. Le plus drôle c'est que j'arrive encore à vous mettre K.O après toute ses années. Vous avez enfin été promu ? Ah au faites Onoki tu sais que j'ai battue ton record. J'en suis à ma 324 ème balle.

L'homme au cheveux blanc qui se tenais la mâchoire écarquilla les yeux. Son collègue Shiba me fit un sourire en me soufflant que je ne pourrais pas battre son record en tir de sniper. Je lui susurrais avoir abattue un taliban qui voulais ma peau, pour changer, à 2 km. Lui aussi ouvris la bouche et ils se remirent tout deux à leur place sous le regard interrogateur d'Hayashi et de Karasuma. 

La salle était grande et lumineuse. Au centre se dressais une table ou un homme au cheveux bleu était assis. Hayashi, je ne l'avais pas revu depuis deux ans et pourtant il n'avait pas changer. Il avait toujours se regard de glaces, qui ne s'attendrissais qu'en d'exceptionnelle occasion.  Je nous revoyais tous les quatre rigolant autour d'une table et moi tapant Hayashi parce qu'il trichais aux Poker. Cette fois là ses yeux avaient eu un éclat que je n'ai plus jamais revu. Il était entouré par deux homme que je connaissais de vu pour les avoir vu plusieurs fois au service de l'ancien Oyabun. Ils pointaient sur moi deux pistolet. Eux par contre ils ne blaguaient pas.

- Messieurs, voyons ne reconnaissez vous pas une veille amie ? Questionnais-je en leurs montrant mon médaillons ce qui leurs fit baisser leurs arme. Je vois que le nouvel Oyabun ne se refuse rien, dis je blagueuse. 

Il fallait que je reste calme malgré la grande envie que j'avais de m'enfuir à toute jambe. Heureusement les cours de Lovro et d'Olga me revinrent en mémoire et je pu garder, enfin je l'espérais, une contenance normal. 

- Irina ! Voyons messieurs détendez vous ! Dis moi sœurette qui est l'homme muet qui t'accompagne. Et comment va tu ma petite sœur chérie ? Cela faisait trop longtemps. Ou été tu passé pendant ces deux ans ? 

- Je me baladais à droite à gauche suivant mes envie. En faites frérot, je ne suis plus aussi manipulable que quand j'avais treize ans. Tu sais très bien qui sais et pourquoi je suis ici. Je vais parfaitement bien mais dis moi comment va ta mère et ma belle-sœur ?

- Tu me connais trop bien, ma petite blonde, je sais très bien que tu n'as plus treize ans et tu est devenue une des plus grande manipulatrice du monde. Mais tu sais très bien que cela ne marche pas avec moi. Bien assez parlez du passé.  Agent Karasuma vous pouvez approchez. Enfin vu le prix qu'as mis le gouvernement sur votre tête je doute qu'agent vous convienne encore, explique t'il se servant un nouveaux verre de vin.

- Bien, merci de m'accueillir. Oui appelez moi Karasuma tout simplement. Je suis ravi de vous rencontré Oyabun, répondit le concerné en se baissant respectueusement devant Hayashi.

Hayashi aimais avoir le monde à ses pied depuis que nous étions gosse. Voir un agents avec le palmarès de Karasuma être à sa merci était jouissif pour lui. Malgré l'impassibilité de son visage je pouvais décrypté et affirmé ce sentiment de puissance et de domination absolue.  La dernière fois que j'avais vu ce sentiment habitez son être cela avait très mal fini. Je voyais dansé das ces yeux le pouvoir et l'exaltation de ce moment. Mais il repris le contrôle de son corps remettant ses pupille de glace. Mais je savais qu'il transpirait de tout son être d'orgueil et de vanité. Je le connaissais trop bien pour ne pas le savoir. Hayashi me fit un clin d'œil qui n'augurait rien de bon.

Puis Karasuma se releva et viens se postez près de moi. Je sentais la tension qui s'était installé dans la pièce. Les garde semblais près a déganer leur arme et à nous tiré dessus J'avais un mauvais pré-sentiment se matin et je ne saurais vous dire pourquoi il étais  plus fort que jamais.

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant