La Rose Assassine

10. Happy Frist Birthday

Karasuma :

 Le soleil de l'après-midi tapais fort sur les vitres des immeuble du centre ville. Les gens se pressais pour allé manger et les terrasses étaient bondé en cette belle journée d'été. Nous nous arrêtâmes devant une résidence de luxe. Je l'a suivit à l'intérieur du bâtiment, comme je le présentais tous reflétais le luxe et la vanité avec des moulures au plafond et toute autre sorte de chose inutiles qui devais valoir une fortune. Depuis que nous avions quitter les Yakuzas ma cible était étrangement muette. Elle se dirigea vers l'ascenseur non sans un sourire au gardien. Une fois les portes fermé elle s'appuya contre les parois de l'assesseur et souffla un bon coup. Elle tremblais serrant les poings toute en essayant de se calmer. Arrivé au treizième étage elle sortis de l'ascenseur longea le couloir et s'arrêta devant un appartement. Son corps tremblais encore quand elle parvins à ouvrir la porte après avoir sortit difficilement une clé de sa poche.

- Allez s'y entré dis elle se dirigeant directement vers le bars. Décidément cette femme ne jurais que par l'alcool. Après quelques gorgé ses tremblement cessèrent peu à peu.

Je rentrais dans un grand séjour lumineux et immaculé, on voyais par les baie vitré une belle terrasse avec une magnifique vu sur la ville. La cuisine reflétais la modernité contrairement à celle ou nous nous trouvions hier. J'étais dans l'appartement ou jusqu'à hier je pensais être l'endroit type d'Irina.

- Bienvenue dans mon appartement officiel Karasuma. Avoué que vous pensiez hier que j'allais vous menez dans un endroit comme celui ci. Hayashi ne sait pas que j'ai un autre logement au Japon. Les documents arriverons donc ici. La seule chose que j'aime dans cette appartement c'est la vu qu'elle offre sur Kyoto.

- C'est vrai que la vu est magnifique. Pourquoi ne pas m'avoir emmener ici directement.

- Je déteste cette endroit. Tout le monde me pense vénale donc il vont toujours chercher dans les grand hôtel mais en vérité je préfères la simplicité des choses, mais ça personnes ne le remarque, finit elle en chuchotant pensant que je ne l'avait pas entendus.

Comme hier elle jeta ces botte, puis partit dans une pièce me laissant seule quelques minutes. Elle revient habillé d'un jean simple et d'une tunique qui n'était ni moulante ni trop décolleté. Elle me demanda si je voulais boire quelque chose. Quand je lui dit de l'eau elle rigolât avant de me tendre une verre. Puis elle s'éclipsa encore me laissant le loisir d'admiré la vue. Comme pour l'autre appartement je fouillait. Mais dans cette appartement tout était parfaitement normal. Irina revient quelques minutes plus tard avec une pille de dossier. Elle les posa sur la grande table en verre et me fait signe d'approché.

- En attendant que mon grand frère nous envois les infos, on pourrais commencé par déblayez le terrain.

Elle déplia une grande carte de l'Amérique du sud, faisant tenir les bords avec divers objet. Puis enleva les différent papier épingle et autre accroché à la carte. Ces dernier étant sûrement là à cause d'un contrat récents.

- Il faudrait déjà trouvé un moyen pour me faire sortir du pays. Comme vous l'avez remarqué vous même, je ne suis peut être pas recherché officiellement mais je doute pouvoir franchir les frontière comme cela me chante.

- Mais quelle idiote ! J'avais totalement oublié ce détails. Enfin si on peut appelé cela un détail ! Comment faire pour vous faire sortir du pays !!!!! Les aéroport c'est tous simplement impossible. Le bateaux on en aurais pour des semaine et si on y va par la route, mais qu'est ce que je raconte moi c'est tout bonnement impossible. A moins que ...

Elle se tournas lentement vers moi, des éclair dans les yeux mais je ne serais trop dire si c'était des éclair de génie ou de folie. Je reculais un peu. Ce que cette femme pouvais me troublé elle pouvais changé de visage et d'expression en une fraction de seconde, ce qui en faisais une excellente actrice.