42. Pauvre petite lumineuse.

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Irina : 

- Qui êtes-vous ? demanda la petite duchesse toute tremblante.

- Oh ? Moi ! Juste quelqu'un qui vous veux du mal !

Je sentais la créature se réveillé. Elle avait faim, et ne voulais que sang, cris, larme et douleurs. Et j'avais devant moi l'idiote parfaite pour accomplir tous mes fantasmes meurtriers. Elle recula sans doute pour chercher de quoi appeler à l'aide. Je pourrais en finir avec maintenant. Mais je n'en avais pas la moindre envie.

- Voyons petite duchesse que cherche tu dans le noir ?

Je connaissais la réponse bien sûr de quoi appeler Nagisa. Mais bon cette tête de belette avait ma faveur alors il ne se pointerait pas. Mais ça elle ne le savait pas. Cette pensé me fit sourire. Elle était abandonnée. Parce qu'on a beau s'entourer de gens dans notre vie on meure toujours seule. A cette instant Angelina Di Bianchi venait de prendre conscience de sa condition de mortelle.

- Je vous donnerais tout ce que vous voulez, j'ai de l'argent vous savez ?

- Je n'ai que faire de l'argent, j'en est bien assez.

- Je vous donne le triple de ce qu'on vous a promis pour m'assassiner !

Elle poussa un petit cri tandis que je m'approchais d'elle. Une fois qu'elle fu bloquer contre le mur je pris son visage entre mes doigts enfonçant mes ongles dans sa peau.

- Oh mais on ne m'a rien promis du tous je fais ça pour le plaisir, lui susurrais je à l'oreille.

Son corps était si tremblant que si je ne la tenais pas elle s'effondrerait. J'avais sur elle le pouvoir ultime. Elle était devenue en quelque seconde une marionnette de chair et d'os manipulable à ma guise.

- J-je veux pas mourir, sanglotât-elle.

- Tu es vraiment une criminelle du dimanche, petite idiote. Ou une lumineuse déguisé happé dans ce monde par le pouvoir et l'argent.

Je lui fis un sourire tout en glissant la main vers son cou pour l'entouré de ma main. Je reculais un peu pour l'observé. Elle avait les yeux fermés et les larmes coulaient comme un torrent inarrêtable sur ses joues. Elle me suppliait de la laisser en vie faisant des vaines menaces à propos de renfort qui viendrait si elle criait.

- Pauvre petite lumineuse. Vas-y cris si tu veux. Je pourrais toujours tuer les renforts avant de m'occuper de toi. Mais il semblerait que beaucoup d'entre eux est une famille. Tu ne voudrais pas rendre des enfants orphelins. Tu en ferais des proies si faciles pour qu'il devienne des personnes capables de tuer des gens comme toi. Oh oui cris finalement !

Elle garda les lèvres fermées et je la poussais sur le lit. Elle se recroquevilla en boule après que je les menacer un peu. Je pris les draps et lui attachais les mains et les jambes. Je vérifiais que la porte était fermée à clé et qu'on ne pourrais pas me déranger. Je sortis de ma poche une fiole d'eau de rose, détachais mon couteau et un pistolet et son silencieux de ma ceinture. Je mis mes gants en cuir pour ne pas laisser de traces. J'attachais aussi rapidement mes cheveux histoire d'en avoir moins à ramasser après.

- Bon dis-moi a qu'elle sauce veux-tu être manger ma jolie ?

- Pitié...

- Bordel de cul en nouille. Vous êtes vraiment tous pareil ! Vous voulez tous sans exception avoir une vie de rêve, le paradis sur terre en somme. Mais pour atteindre le paradis, il faut mourir. Il semble qu'aucun de vous ne sois près à faire ce sacrifice. Enfin pour toi je comprends. L'enfer n'est pas un sors enviable.

Je rigolais en sortant le couteau. Elle se tortillait, tiens son instinct de survie avait-il enfin décidé de s'activer. Je la pris par le cou pour qu'elle arrête de bouger et commençais alors mon travail. En plutôt ce qui venais juste avant le meurtre. J'entaillais profondément sa joue jusqu'à la transpercer. Je continuais la taillade pour arriver jusqu'à sa bouche. Ses cris furent étouffée par le sang dans sa gorge. Je la laissais le recracher avant de m'attaquer à l'autre côté de son visage.

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant