Karasuma :
Le reste du voyage et le retour à Tokyo s'était passé sans embûche mais cela avait mis la russe dans une colère noir sans que je sache pourquoi. J'avais préféré rester amicale et simplement allez dans son sens. Mettre son ennemis naturelle à dos, alors qu'elle était déjà en furie n'était certainement pas une grande idée. En tout nous avions mis 2 jours en content le trajet en voiture plus l'avion pour rejoindre ma terre natale. Et plus notre destination approchais, plus ma... "coéquipière" semblais sur le point d'exploser.
Une fois poser sur le tarmac, une voiture noir nous attendais. Irina et moi savions, et ceux sans aucun doute possible, à qui elle appartenais : Hayashi Tsunashi.- Alors lui ! Frère de cœur ou pas il va m'entendre, grommela l'assassin pensant sans doute que je n'avais pas entendu.
- Pourquoi ? Ne pus je m'empêcher de demandé curieux de connaître la raison de cette fureur grandissante chez elle depuis qu'elle avait reçu un message peu après m'avoir offert mon cadeau.
- Vous verrez Karasuma, je ne vais pas vous gâcher le spectacle, répondis t'elle avec un sourire malicieux.
J'aurais pourtant juré que la réponse lui aurais coûter et qu'elle aurait préféré que je n'ai pas l'oreille aussi fine. Alors était ce un de ses énième rôle qui la caractérisais ? Ou alors peur être que sa fureur avait une raison futile. Cependant j'en doutais beaucoup, personnes ne se mettais pas dans un état pareille pour quelques broutilles. Quoi que l'exagération était bien le genre de la russe. Même si je ne pouvais plus affirmé avec précision qu'elle était son comportement type. Elle m'avais montré nombre de ces facette, qui me faisait bien comprendre que je n'avais jamais vraiment connue "La Rose". Je ne savais à son sujet que ce qu'elle voulait que je sache. Enfin ça c'était avant notre collaboration forcé.C'est ainsi que nous étions arrivé devant de grand mur et une grande porte gardé derrière laquelle se cachais la résidence Tsunashi. A peine la voiture arrêter les armes était déjà pointer sur nous. Irina balança son médaillons vers les gardes en soupirant. Quand avait t'elle enlevé le médaillon de sa chaîne ? Le mystère restait entier mais grâce au médaillons les armes se baissèrent très rapidement et on nous présenta une salve d'excuse. Une fois notre identité vérifier, le protocole paraît-il, et une fouille au corps pour moi, les Yakuza nous laissèrent entré dans l'enceinte.
- Pourquoi il ne vous on pas fouillez vous ? Murmurais je à ma cible pendant qu'on nous guidais vers la maison.
- Parce que en plus d'être de la maison, aucun de ses types ne prendrais le risque de me toucher, répondit t'elle sur le même ton en haussant les épaules.
On nous emmenas jusqu'à ce qui devais être le bureaux du grand patron puis on nous laissa devant la porte après avoir frapper. La voix de Hayashi nous indiqua d'entré et la blonde poussa la lourde porte avec une force modéré. Peut être modérais t'elle sa rage ? Ou ne voulais t'elle pas que son « frère » s'en aperçoive.
Le dit frère nous attendais assit à son bureaux les yeux un dossier, il n'avait pas vraiment pris la peine de lever les yeux à notre entré. Plusieurs minute s'écoulèrent sans qu'il n'y est d'autre bruit que le vent s'engouffrant dans la fenêtre ouverte. Puis, comme si le souvenir de notre présence avait effleuré son esprit, le maître de maison leva la tête avec un sourire nous saluant.
- Agent Karasuma, Irina-chan ! Qu'elle plaisir de vous revoir !
La russe tiqua à l'entente du surnom que lui avait donné l'homme au cheveux bleu devant elle. Se ne fut que pendant une seconde mais assez violemment pour que je le remarque du coin de l'œil.
- Ravis de vous revoir aussi, saluais je respectueusement en me baissant légèrement.- Si seulement tu pouvais savoir mentir, soupira quand à elle la blonde en guise de bonjour.
- Mais sur quoi je te mentirais petite sœur ?
- Ne fait pas l'innocent tu t'en contre fou de nous revoir se qui t'intéresse ce sont tes précieux diamant, cracha t'elle froidement.Le bleu eu une mine choquée puis outrée. Et enfin son regard glacial étincela de colère.
- Comment ose tu dire ça petite sœur ! Je ne te savais pas si ingrate après tout ce que nous avons vécu et après tout ce que j'ai fait pour toi ! Je ne fin pas d'être heureux de vous voir !- Comment ça tout ce que tu a fait pour moi ! C'est justement là le problème tu n'as rien fait ! Rien du tout ! Et après tu ose me faire des reproches ! Je te signale que tu nous à laisser dans la merde pour rentré d'Argentine et que j'ai du faire jouer mes contact pour qu'on puise passé en toute discrétion ! Chose que tu était censé réglé non ? L'extradition ! Et je ne parle même pas de Amritsar ! Par contre pour nous faire affréter une voiture de l'aéroport pour la récupéré tes précieux ça, tu peux le faire !
Elle avait taper du poing sur le bureaux fixant le bleu avec un regard meurtrier. Je comprenais maintenant sa colère, même si elle m'avait caché les moyen mis en œuvre pour quitter l'Argentine sans encombre et rapidement. Dans une mission du genre on devait pourvoir compter sur l'exfiltration surtout quand nous étions poursuivit par des tueur à qui on avait volé des diamants. Et cela en général était géré par la base, autrement dit celui qui nous avait fait risquer nos vies dans notre cas.
Frère et sœur se toisait du regard, le Yakuza n'ayant toujours pas répondu aux accusation et provocation de l'Assassin. Leurs regard n'avait rien de chaleureux ou de fraternel. A cet instant leur fraternité même si ce n'était que des sentiments et non des liens de sang s'était évaporé. La tension présente me faisait sentir que la russe gardait ça pour elle depuis un moment et que ma présence l'empêchais de se défouler totalement. Mais j'avais compris une chose c'était que leurs discorde était née de ce mot Amritsar qui semblais être une ville. Je ne pouvais m'empêcher de me demander en quoi ce qui s'était passé là bas avait un rapport avec la non assistance dont le Oyabun avait fait preuve. Mais je me promis de creuser la question dès que j'aurais un peu de temps libre loins du regard de ma cible.Irina restait silencieuse attendant une réponse sûrement. Moi j'étais pris entre les deux, témoins impuissant d'une dispute, qui si je n'osais que respiré trop fort, allais sans doute me tuer. J'étais face à une violente dispute entre frère et sœur.
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La Rose Assassine
Fanfic" Ma mission était simple. Capturé un assassin. En tant qu'agent au ministère de la défense, cela était de la routine pour moi. Oui mais voilà... J'avais été victime d'un coup monté. Mon seul renfort, l'assassin que je devais capturé. Mon problèmes...