4. Proposition

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Irina :

Je savais qu'il m'avait observé. J'avais sentis son regard sur moi. Que dirais mon maître s'il me voyais comme ça montré mes faiblesse. Je savais que j'en avais bien plus que je ne le voudrais ou que je ne le montrais. Je n'avais aucune raison de craqué mais les événement de ses dernières heures avait mis mes nerfs à rude épreuve. Si bien qu'un rien aurait pu me faire lâcher mes nerfs, comme maintenant. Mais ce qui m'avais le plus blessé notamment dans mon ego avait été quand il avait détourné le regard confirmant ce que je savais déjà. On me prenais pour une pouffe vénale et cupide. C'était stupide que cela me vexe puisque c'était le rôles que je jouais. Mais ce rôles n'était pas se que j'étais ... J'étais tellement plus que sa. Il n'y avais que dans cette planque que j'arrivais à me détaché de cette image de pouffe. Il vient près de moi et commença à essuyé la vaisselle.

- Karasuma... commençais je d'une ne voix que j'espérais assurez mais qui tremblais un peu. Je sais que nous ne serons jamais amis. Je suis votre cible et vous le traqueur. Je sais très bien que vous vous méfier de moi et je ne peux vous donnez tord. Après tout je suis une assassin. Vous aussi, mais nous ne somme pas du même coté de la frontière. A vrai dire, je sais que je vous ai un peu forcer à venir avec moi et que vous n'aviez pas vraiment le choix. Je ne sais pas non plus ou cette collaboration nous emmènera mais j'ai quelques chose à vous proposez, faisons une équipe et arrêtons celui qui vous à piéger. Je récupère mon contrat et vous, vous vous innocentez et vous redevenez un toutou du gouvernement. Après tout redeviens comme avant, je ferrais des contrat en vous échappant et essayez de me coincer. Nous verrons qui arriveras à attraper l'autre en premier. Comme au bond vieux temps.

- Très bien. Collaborons. Coinçons ce connard et reprenons nos affaire là ou nous les avions laisser.

J'étais étonnée qu'il me donne un réponse si rapide. Je crois que cette soirée ne pourrais être plus bizarre. Je pensais que Karasuma était du genre méfiant mais finalement au pied du mur il prenais des décisions totalement illogique. Comme celle de suivre son ennemi naturelle. Un peu comme  d'invité le dit ennemi cité plus tôt chez soit.  

- Ne vous attendez pas à ce que je vous héberge gratuitement par contre ! Je ne roule pas sur l'or, raillais je n'oubliant pas la situation délicate dans laquelle je m'était mise.

- Pourtant le métier d'assassin paye plutôt bien c'est dernier temps.

- Ce que je fais de mon argent ne vous regarde pas Karasuma, et je ne veux pas de votre argent. Je veux que vous m'aidiez à remplir des contrats. Vous aurez bien sûr, votre part dans les contrats.

- Donc vous me logez en échange d'aide ? Et vous proposé de partagé les primes ?

- Oui, c'est ça. Pourquoi cela vous étonnes tant que soit sa !

- Irina comprenez mon scepticisme. Enfin ! La situation est assez étrange et vous...

- Moi quoi je ne suis qu'une garce sans cœur ?! Oui c'est ça ! Bien sûr que c'est ça ! Vous pensez que je ne peux pas être gentille ! Que je ne suis qu'une garce cupide et vénal ! Après tous pensez ce que vous voulez j'en ai rein à faire ! Vous pouvez rester pour la nuit ou vous barrez faites comme vous voulez, mais n'oubliez pas d'aller vous faire voir surtout !

Je m'en allais furibonde et en colère contre moi d'avoir encore révélé une de mes faiblesse à cet hommes. Mes nerfs avait lâcher là d'un coup. Plus violemment. Il n'avais plus lâcher comme ça depuis des années. Mes sept ans plus exactement mais j'en avais râle bol ! Il me faisait me sentir vulnérable, me faisais pensez à cette époque. Quand je n'était encore qu'une faible et fragile petite fille.

 Je me jetais sur mon lit et hurlais dans mon oreiller. Pourquoi était ce si difficile à croire que je n'était pas qu'une jolie fille ! Je sais qu'il devait m'entendre de sa chambre ou même du salon. Mais là je m'en fichais pas mal, après tout il connaissais déjà une de mes faiblesses. Mon manque de confiance en moi quand je ne jouais pas un rôles. Quelqu'un se rendait il compte seulement des effort que je faisais pour rentré dans se rôles. Malgré mon jeunes âge j'avais connue plus d'hommes que je n'aurais jamais voulu connaître. Je regrettais même parfois d'être jolie. Mes formes généreuse n'étaient pour moi que fardeaux. Mais sa personnes ne le comprendrais, ou ne pourrais comprendre. Mes paupière se firent lourde et sans m'en rendre compte je sombrais un profond sommeil.

La Rose AssassineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant