La Rose Assassine

20. Au milieux des souvenirs

Karasuma :

A 19 h comme convenu j'attendais Irina dans le hall du petit hôtel que nous avions trouvé. J'avais passé ces dernière heure à me plonger dans les document du Oyabun et récupéré de mes heures de conduite. La belle assassin arriva quelque minute plus tard, mais pas part les escalier menant au chambre comme je m'y attendais mais par la porte d'entrée. Elle me fit signe de la suivre en silence et m'emmena dans le petit restaurant devant lequel nous étions passé quelques heures plus tôt. Nous passâmes commende dans un espagnols parfait, ce qui me valut un regard approbateurs de la Russe. Nos plats servis une discutions plutôt tendu nous tendais les bras. Devant le silence ambiant je décidait de mettre les pied dans le plat mais à ma grande surprise avant même que j'ai pu ouvrir la bouche elle commença :

- Arrêtons de tourner autour du pot si vous le voulez bien. D'après Hayashi notre cible se trouve dans un entrepôt désaffecté dans une zone industrielle au sud de la ville. J'ai fait un petit tour et interrogé quelque habitant avant de venir et il me confirme les dire de mon frère et tous précise que des asiatique dans la régions sont plutôt rare.

- J'imagine donc que ce soir c'est repérage, avais je fait avec un sourire.

- Non c'est repos. Nous ferrons du repérage demain soir. Nous devons nous remettre du décalage horaire cette nuit il est à peine 20 h et je suis déjà épuisé. Et je suis certaine que vous aussi. Nous ne sommes que le 10 août. Nous avons encore cinq jours pour trouver un plan d'attaque. Profitons en.

J'étais très surpris par cette annonce même s'il était vrai que j'étais épuisé également et que mes temps de réactions face au danger en étaient augmenté. Heureusement que l'année passé à courir après Irina m'avait permis de mieux digéré les décalages horaire. Je n'avais pas fait de nuit complètes depuis deux jours et je commençais à voir ces effets néfaste sur mon corps. J' acquiesçais puis fini mon assiette. Une fois les dessert commandé, enfin plus exactement son dessert et mon café l'assassin repris la parole l'air de rien :

- Dites-moi Karasuma... Quel est votre traques préférer ? Sur les centaines que nous avons eu il doit bien en avoir une ou deux qui vous ont marqué.

- C'est quoi cette question. Je n'ai pas vraiment de traques préférer puisque a chaque fois vous m'échappiez, répondis je avec désinvolture.

- Je plaide coupable. Alors dites moi laquelle vous a le plus marqué ?

Le serveurs revint nous apportant notre commande et je réfléchissais à cette questions surprenante. C'est vrai que nous course poursuite n'était pas banale. Ce n'était pas comme dans tout c'est cliché qu'on peu voir à la télé. J'ai parfois dû me mettre dans ses tenus plus ridicules le unes que les autres et avec tout les moyen de transport inventé à se jour. Voiture, vélo, bateaux, avion, trottinette, cheval... et même sur un dromadaire. Mais la chose qui m'avait le plus marqué était ...

- Fin août de l'année passé lors de ma troisième tentative dans les landes anglaise quand vous avez tuez une riche héritière. Je vous avait poursuivis dans la forêt. Vous étiez infiltré là bas en temps que serveuse. Cette fois là quand nous sommes arrivé au bout de la forêt sur de grande falaise. Vous étiez à ma merci enfin c'était ce que je pensais. Mais je me rappellerais toujours de votre sourire quand...

- Je m'en souviens très bien, me coupa t'elle. D'ailleurs saviez vous que la rose utilisé se soir là était celle accroché à votre boutonnière une bonne partie de la soirée.

Je la regardais incrédule. Tout cela était impossible puisque je l'aurait sentis sinon. Mais contre toute attente la blonde réussis à me prouvez, que c'était bien ma rose. La Russe n'était pas seulement qu'une assassin exceptionnelle c'était également une voleuse et une manipulatrice or pair. Elle me racontas comment elle avait réussis à volé son poids en objet et bijoux de valeurs se soir là. Puis nous avions reparlé de la traques en forêt ce racontant le point de vu de l'autre. Ce qui rendais la situation assez comique.