Chapitre Onze : La jalousie

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C'était Jean, finalement Armin voulait l'esquiver eh bah c'est raté.

Jean : (T/P), tu as pas oublié ce que je t'ai dit hein !

Quand il vit le regard de Armin il continua de chuchoter de mon oreille.

Jean : vous vous êtes réconciliez ?

(T/P) : oui, donc tu peux me lâcher maintenant.

Jean : nan mais jusque au bout je vais lui montrer ce qu'il rate.

(T/P) : Jean ça suffit j'ai dit !

Jean : ok, ok je te lâche !

Soudain, Armin attrapa Jean par la capuche de son sweat et le traina dans la cage d'escalier.

PDV ARMIN

Jean : ohh lâche moi mimin !

Une fois que j'avais finis de le traîner ici, je l'ai lâché et lance contre le mur.

Armin : on avait dit stop avec ce surnom débile.

Jean : eh mais faut pas me pousser comme ca, c'est parce que je touche a ta petite (T/P) que tu fait des crises ?

Armin : justement, c'est quoi ton problème la ? Retourner gérer tes secondes et emmerde pas (T/P).

Jean : jusqu'à preuve du contraire je l'emmerde pas autant que tu penses.

Armin : J'en ai rien à foutre, la touche plus.

Jean : sache que, tu n'a aucun droit de me dire ce que je dois faire ou non, en plus t'es même pas avec elle et t'oses me dire ça .

Armin : c'est quoi ton but en fait ?

Jean : juste je te montre ce que tu rates tous les jours de ta vie, tant qu'elle seras pas totalement à toi et dans tous les sens du terme, alors je me permettrai d'agir ainsi.

Armin : t'es vraiment un connard.

Jean : je veux pas niquer votre relation, mais je veux que vous vous bougiez le cul.

Armin : j'avais compris merci.

Jean : fait pas comme moi avant, loupe pas une merveille pareille.

Armin : en plus tu continues, tu veux mourir ?

Jean : ok j'arrête j'arrête, calmes toi.

Armin : bref.

Une fois calmé, je suis retourné voir tout le monde, ils semblaient un peu surpris mais n'ont rien dit de particulier.

Eren : Armin, tu viens je dois allez au sous-sol pour redémarrer la chaudière.

Armin : euh, je comptais faire autre chose mais si tu veux.

Eren : tu la verra après (T/P) tu sais...

Armin : va y avec Livaï plutôt.

Eren : Il est en ville pour acheter du thé...

Armin : bon on va y aller sinon je sens que tu vas jamais laisser tomber, à tout à l'heure tout le monde.

Jean : à plus mimin.

En plus il continuais de me provoquer, je vais vraiment le tuer un jour ce mec.
Je suivais donc à contrecœur Eren dans les escalier, une fois en bas nous avons commencé à réparer la chaudière, le froid était insupportable.

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant