Chapitre Quarante-huit : Les diplomes

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On se tenait la main dans les escaliers et je l'ai plaqué contre le mur du premier étage. Il me tenait par les hanches alors que je l'embrassais. Mes baisers sont descendu sur son cou et sa clavicule. Il lâchait de petits gémissement et j'ai sentis ses mains se relâcher légèrement.

Armin : on peux monter ... ?

J'ai légèrement ris avant de lui reprendre la main en direction de ma chambre.

...

Une fois la porte fermée, je voyais dans ses yeux qu'il rêvait de prendre le contrôle mais pour une fois ce n'est pas comme ça que nous avions convenus.

Mais il m'a tout de même plaquée contre le mur à côté de la porte.

(T/P) : Armin... ? Tu te souviens de ce qu'on avait dis ?

Il a acquiescé d'un mouvement de tête.

J'ai alors commencé à le déshabiller sans le quitter des yeux, en commençant par sa cravate. Je prenais bien soin de faire courir mes doigts froids sur sa peau brulante et je le voyais devenir de plus en plus rouge. Son regard aussi changeait, il semblait déjà ne plus en pouvoir. J'ai pris soin d'enlever sa chemise en frôlant sa chair du bout des doigts.

(T/P) : à genoux...

Il m'a écouté et s'est mit à genoux devant moi avant de passer ses mains sous le bas de ma robe pour en attraper mon sous-vêtement. Sous vêtement qu'il a baissé et enlevé tout en caressant mes jambes. Sa tête était relevée vers la mienne et ses yeux brillaient de désir.

Armin : je peux... ?

Je ne lui ai rien répondu voulant le faire languir. Il à doucement grogné en guise de mécontentement avant de me tenir tête et il a tiré sur ma fermeture éclair avant de regarder ma jupe tomber.

(T/P) : Armin ? Ai-je dis pour le rappeler à l'ordre

Armin : sil te plait... j'ai vraiment envie de te faire plaisir...

A voir sa tête rouge presque entre mes jambes me supplier de la sorte... Pouvais-je vraiment refuser ?

J'ai soupiré en riant avant d'acquiescer.

Sans broncher il a collé sa bouche contre moi et s'est mit à me lécher. Ses mains se sont  agrippés au haut de mes cuisses et je pouvais sentir ses doigts s'enfoncer dans ma peau. Et entre deux coups, je sens sa respiration chaude et haletante contre moi. Je me cambrai contre le mur et mes poings se fermaient fermement contre la paroi. La sensation de sa langue étant tellement intense que j'en perdais presque la raison. Il s'est arrêté quand j'ai jouis et s'est relevé face à moi toujours très rouge.

Armin : tu... tu es satisfaite ... ? Demande-il timidement en regardant le sol

(T/P) : non.

Il m'a regardé légèrement surpris avant de sortir un petit "hein".

Je l'ai poussé vers le lit puis sur le matelas en souriant narquoisement.

Armin : oh... (T/P)...

Son regard a de nouveau changé, il avait repris cette envie. Je me suis mise au bout du lit et ai avancé doucement vers lui avant m'assoir à califourchon sur sa bosse évidente. Je l'ai embrassé et quand je me suis assise il a gémit dans ma bouche.

Armin : ça... chatouille... a-t-il réussit à dire entre deux baisers

Le blondinet a détaché mon haut et l'a posé sur le côté tout en continuant de m'embrasser. Quand il à reculé sa tête de ma bouche, c'était pour la plonger dans mes seins qu'il a gentiment sucé et mordillé. Quand il s'est redressé, j'ai poussé son torse sur le lit et me suis mise à lui faire ses suçons dans le cou.

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant