Chapitre Vingt-cinq : Le costume

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(T/P) : oh, mais pourquoi il vient pas ?

Dis-je en tournant en rond dans ma chambre

(T/P) : en plus on a la chambre pour nous tous seuls puisque les filles dorment avec les garçons en ce moment...

Tant pis, je dors sans lui...

Cette nuit fut longue car je n'ai pas passé un moment sans penser à lui ou à sa possible venue.

Le jour d'après, la nuit.

Cette fois il est avec moi et il risque pas de s'enfuir hehe, j'ai tout prévu pour qu'il dorme avec moi et il va pas se défiler.

(T/P) : tu as pas sommeil ? Ça fait trois heures qu'on travaille

Armin : si un peu...

Je l'ai tiré par la main doucement vers le lit et l'ai glissé sous les draps près de moi. Il semblait tout à fait normal, je ne m'attendais pas à ce qu'il me fasse un coup pareil...

Une fois endormi, mon sommeil était paisible quand soudain je ressenti une grande vague de froid, tellement grande que cela me réveilla.

Il... Il n'était plus là...

(T/P) : Armin, tu es ou ?

J'avais beau l'appeler je savais qu'il était retourné dans son lit.

(T/P) : le salaud, il le fait exprès...

Je me suis endormie énervée, au petit matin le réveil fis brutal, j'avais toujours les nerfs, cela me donnait la boule au ventre.

Il a intérêt à avoir une bonne raison pour être parti cette nuit.

Une fois en bas, je me mise à une table seule en espérant qu'il vienne et ils l'avaient tous compris.

Bingo ! Il vient vers moi.

Armin : Coucou dit-il doucement en rougissant

Il s'est rapproché et a voulu me faire un bisous sur la joue, bisous que j'ai esquivé.

(T/P) : non non, pas de dodo avec moi, pas de bisous.

Armin : Désolé pour cette nuit... j'ai eu un petit soucis et je voulais pas t'embêter...

(T/P) : mais encore ?

Armin : je vais pas rentrer dans les détails disait il gêné mais, j'ai bien fait de partir sinon j'aurais laissé des beaux petit tapis de vomis sur le sol...

Je me suis peut être mise en colère pour pas grand chose...

(T/P) : ah, mais t'aurais du me réveiller.

Armin : Non... j'allais pas entraver ton sommeil pour si peu. Je peux avoir un bisous maintenant s'il te plait dit-il tout doucement en regardant ses pieds.

(T/P) : c'est qu'il s'impatiente le monsieur.

Armin : Non mais si tu veux pas y'a pas de soucis hein ! Enfin ça parait logique mais bon...

(T/P) : laisse moi finir de manger au moins.

Armin : D'accord répondit-il légèrement contrarié

(T/P) : En plus, je te connais et je sais que dans les trois secondes qui vont suivre ton "petit bisous" tu vas fourrer ta langue dans ma bouche.

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant