Chapitre Dix-neuf : La premiere fois

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PDV (T/P)

Le lendemain, dès mon réveil je me suis préparé physiquement à la semaine qui approchait...
Je savais depuis un moment que j'allais devoir rester seule avec Armin quand les autres iraient s'occuper de ses cadeaux et cette idée me plaisais particulièrement.
Le vrai problème c'est que je vois dans ses yeux à chacun de ses regards que c'est de plus en plus dur pour lui de se retenir de littéralement me baiser.

Enfin je ne vais pas me plaindre j'attend que ça...

Ma journée de cours passe lentement, les minutes paraissaient des heures, je finissais à 16h30 ce qui laissait à Armin 1h de marge avant de venir me chercher car lui avait fini 2 heures plus tôt.

Une fois sortie de la salle il m'attendais devant, je lui sauta dans les bras tellement fort qu'il fut poussé contre le mur.

Armin : eh, doucement je sais que je t'ai manqué depuis hier mais tu es pas obligée de me violenter non plus dit-il en rigolant.

(T/P) : mohhh pauvre petit susucre.

Armin : te moques pas de moi.

(T/P) : sinon quoi ?

Armin : sinon conséquence. Me répondait-il tout rouge.

Je mis mes mains sur sa nuque et l'embrassa rapidement avant de le prendre par la main et de lui faire monter les escalier avec moi en direction de ma chambre.

Une fois dedans j'ai ferme la porte à clé et lui ai sauté dessus alors qu'il était assis sur le rebord de mon lit sauf que...

Armin : attend... je-

(T/P) : quoi ? Tu veux pas ?

Armin : non c'est pas ça c'est juste que...

(T/P) : oh non, tu maimes plus ? Ou alors je te donne pas envie ? Ou alors tu veux plus être avec moi ?

Il me fit me taire en mettant son doigt sur mes lèvres.

Armin : mais non, rien de tout ça, j'ai appris une pas super bonne nouvelle tout à l'heure et j'ai pas envie de ça... mais je veux pas te vexer ou te blesser vraiment.

(T/P) : ahh, tu m'a fait peur.

Je m'assayais à califourchon sur lui et pris ses deux mains.

(T/P) : qui à t'il ? Tu peux tout me dire tu sais, après je comprendrais aussi si tu ne veux pas en parler y'a aucun soucis.

Armin : mon papi est malade... et il va pas s'en sortir.

(T/P) : oh non... je, si j'avais su je ne t'aurais pas demandé je suis débile.

Je le serrais contre moi fort et ne le lachais plus, je pouvais sentir son cœur battre contre le mien et ses battement s'accélérer.

Armin : mais non fallait bien que je t'en parle... bon ça me fait de la peine mais je savais que ça allait arriver enfin je veux dire, ca fait 15 ans qu'il tombe tout le temps malade il fallait bien qu'un jour cela arrive.

(T/P) : je sais pas trop quoi te dire... Je suis vraiment pas douée pour réconforter les gens, désolée...

Armin : aucun problème, tant que tu es avec moi le ciel peux me tomber sur la tête je m'en fous.

(T/P) : arrête, je vais rougir.

J'essayais tant bien que mal de le faire rire pour lui faire oublier son malheur.

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant