Chapitre Seize : La mauvaise nouvelle

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Armin : je- je vais partir...

Je devais sûrement être devenue blanche comme une cachet d'aspirine.

(T/P) : comment ça partir ?

Armin : pas définitivement hein, mais environ un mois ou même deux, je ne sais pas...

(T/P) : mais comment ça ? Ou ? Pour faire quoi ? Avec qui ? Je peux venir ? Et si je viens pas je fait quoi dans tout ça ?

Armin : olala, trop de questions mon cerveau fume. Je rentre chez moi aider ma sœur, elle est malade et ma maman doit s'occuper de son fils, comme elle s'en occupe elle à pas le temps de s'occuper de ma sœur, donc je dois rentrer...

(T/P) : mais...

Armin : je sais, je ne veux pas t'abandonner mais je ne peux rien y faire, je dois vraiment rentrer...

(T/P) : je comprend... c'est pas très grave en vrai tant que tu ne pars pas demain... attend, tu pars quand ?

Armin : eh bien justement... demain matin...

(T/P) : ok, je rectifie c'est très grave.

Armin : je suis désolé de te l'apprendre que maintenant mais je ne l'ai su que hier soir et je ne savais pas comment m'y prendre pour te le dire.

(T/P) : c'est pas grave... je suis juste un peu déçue que tu ne puisse pas rester plus longtemps avec moi alors qu'on est fraichement ensembles, mais bon je vais m'adapter.

Armin : j'ai une idée ! Dors avec moi !

(T/P) : euh - je oui.

J'étais un peu surprise par la spontanéité de son idée, lui qui était timide il y encore quelques minutes.

Armin : oublie, c'est sûrement trop soudain... je m'excuse, je m'efforce d'avoir de l'assurance parce que sinon tu t'ennuierais avec un mec trop timide...

(T/P) : mais nann, même rongée par la timidité je t'aime. En plus tu mens on s'amuse quand on est que tous les deux.

Armin : t...-u veux bien du coup ?

(T/P) : non mais même si tu me l'avais pas demandée, je me serais incrustée dans ton lit en scred...

Armin : vicieuse...

(T/P) : chut !

Armin : je veux pas te lâcher, j'aimerais bien que le temps s'arrête.

(T/P) : moi aussi j'aimerais bien... mais attend tu dois le dire aux autres !

Armin : alors en fait... ils le savent tous déjà... sauf Mikasa mais elle a du être mise au courant depuis que nous sommes partis.

(T/P) : ah, tu leur en a parler ce midi je suppose ?

Armin : oui d'ailleurs ils ont tous priés pour qu'on se mette ensemble ce soir, Ymir a même parié cinquante balles à jean que tu me dirais que tu me dirais les choses.

(T/P) : J'en connais un qui dois avoir perdu sa dignité et ses cinquante balles...

Nous avons ris et nous sommes taquinés pendant quelques minutes.

(T/P) : Je ne t'ai même pas demandé mais ta sœur, c'est très grave ?

Armin : je sais pas trop...

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant