Chapitre Vingt-huit : Le kidnapping

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(T/P) : pfiouu, tu as envie en ce moment dis donc...

Armin : eu-h... un peu oui...

(T/P) : par contre la prochaine fois on prend vraiment une douche normale hein...

Armin : ok ! La prochaine fois ce sera contre le mur. me répond-il avec le plus d'assurance possible.

(T/P) : exactement... Attend quoi ?!

Puis il sortit de la pièce presque en courant et en sifflant timidement.

(T/P) : nan mais...

...

Hange : JE SUIS DE RETOUR LES ENFANTS, ON MANGE ! EN PLUS C'EST DE LA FONDUE.

Sasha : J'ARRIVE !!

c'est marrant quand il s'agit de communiquer elle s'entendent parfaitement ces deux la...

On se dirigeais tous vers la salle à manger et une fois installés, on a commencés a se servir.

Jean : putain Mimin tu rigoles pas hein, les gros coups de hanches que tu donne tu crois on entend pas que ça résonne dans les murs ?

Mikasa : la délicatesse, la marque de fabrique de Kirschtein.

Armin devenait de plus en plus rouge, on lisais clairement le malaise sur son visage.

Bon on peux pas lui en vouloir à l'autre abruti ça faisait longtemps qu'il avait pas parlé de cul...

Eren : Roh t'abuses t'aurais du m'appeler j'aurais voulu entendre ça.

Sasha : oula moi je vais rester dans ma fondue si vous le permettez.

Hange : j'espère que vous vous protéger bien, c'est très important par les temps qui cours... d'ailleurs une petite démonstration pour vous apprendre comment on met un doigt dans-

NON avons nous tous crié.

Hange : dommage, j'avais testé sur un sujet d'expérience l'autre jour... c'était étrange mais ça faisais avancer la science.

Jean : si vous saviez on ressentais les vibrations à travers le mur d'une puissance, je serais presque jaloux de pas y aller aussi fort.

Conny : Jean je crois que c'est bon...

Ça y est le Jean NO LIMITS comme il le dit si bien, est en marche pour la soirée...

Jean : je suis pas sûre qu'elle aimait j'ai pas entendu crier !

Livaï : C'est vraiment immonde.

Eren : comment ça répugnant ?! Et moi quand tu me-

(T/P) : MERCI EREN, passes nous les détaillés s'il te plaît. Peux ton manger en paix Jean ?

Jean : ohh, vous êtes pas drôles... je me faisais une joie de vous contez cette histoire.

Je mourrais d'envie de lui rétorquer qu'il avait tort et que le blondinet me comblait bien plus que ce que je n'avais jamais espérée mais je ne voulais pas le mettre encore plus mal à l'aise.

Finalement c'est le premier concerné qui brisa le malaise.

Armin : y'a une bonne insonorisation alors...

Il était toujours rouge mais faisait face et tenait tête à jean.

Jean : hmm, continues Arlert ça m'intéresse. Dit-il en buvant le verre de vin de Hange.

"Une histoire sans fin" / Armin x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant