Sombre Amour

Chapitre 46 : vacances

Christophe

Je suis vraiment un idiot de première classe, je mérite les félicitation. Même plus. "La plus grosse connerie que j'ai faite c'est de t'avoir épousé " cette phrase me trotte dans la tête, le pensait-elle vraiment ? Je ne sais vraiment pas mais dans les deux cas je les méritais. Je ne lui ai posé que des problème et elle s'en crée d'autre en promettant à mon père qu'il fera partit de la vie de notre enfant. C'est de ma faute elle à raison je n'aurai pas frapper mon père. J'enfouis ma tête dans mes mains, si ça ce trouve elle à perdu cet enfant, et si c'est le cas elle ne me le pardonnera jamais comme elle ne me pardonnera pas de l'avoir traité ainsi.
-Monsieur Williams ?
Je lève la tête, une jeune femme rousse en blouse blanche se tient devant moi avec les lèvres pincées.
Je me lève aussitôt.
-Votre femme va mieux et son bébé aussi.
Je pousse un soupire de soulagement un poids s'enlève de mes épaules.
-pourquoi a-t-elle eu mal au ventre ?
-trop de stress, Monsieur Williams, me répond-elle en insistant sur le "trop". Lisa a du lui raconter ce qu'il c'est passer.
-il ne faut plus qu'elle soit si angoissée ça pourrait porté atteinte à sa grossesse.
Je hoche la tête,
-je peux la voir ?
La jeune femme passe d'un pied à l'autre mal à l'aise.
-justement Madame Williams ne veut pas vous voir.
C'est comme un coup de poing quand elle dit cela.
-Comment ça ?! C'est ma femme j'ai le droit de la voir !
-Non Monsieur il faut qu'elle se repose, vous devriez rentrer chez vous.
Pour qui se prend-t-elle ?! Elle ne peut pas m'interdire de voir Lisa. "Madame Williams ne veut pas vois voir" elle ne fait que la messagère.
-je reste ici.
Je me rassois sous les yeux soucieux du médecin mais elle ne dit rien et disparait dans le couloir. Je sors mon téléphone pour appeler mon assistante.
-Monsieur Williams ?
-Lauré bonjour dite à George de me remplacer aux réunions de demain je ne serai pas la de la semaine et faite livrer 1001 rose de toute les couleurs la ou j'ai réservé s'il vous plait.
-bien monsieur.
Il ne discute pas et cela me plait assez, je n'aime pas qu'on se pose des questions sur mes ordres.
Je sais que des roses ne seront pas suffisante à me faire pardonner mais c'est déjà un bon début.

Lisa

Je me sens mieux en faite des qu'ils m'ont emmenés loin de Christophe je me suis senti mieux. D'après le médecin le bébé a ressentis mon anxiété et ça ne devait plus de reproduire. Mais je ne sais pas si je pourrais arriver à me détendre surtout en ce moment. Je me lève du lit et me rhabille, j'ai insisté pour partir, je me suis assez cachée ici. J'enfile ma robe et mes ballerines, après avoir récupéré mon sac je sors de la chambre et je me dirige vers le comptoir pour signer la décharge.
Comme je m'y attendais Christophe est assis sur l'un des sièges d'attentes, les yeux fermé. Il s'est endormi en m'attendant. La culpabilité m'envahit je n'ai pas voulu le voir alors qu'il était la et il est resté quand même mal grès son autre nuit en prison. Je m'approche de lui après avoir signé les papiers et lui caresse la joue doucement. Il paraît si paisible quand il dort si calme. Il ne ressemble pas du tout à l'homme qui m'a traité de gamine quelques heures plutôt.
Il ouvre un œil puis l'autre et me regarde sonné il comprend en suite ou il se trouve et le soulagement se lit sur ses trait fins.
-Lisa...je suis tellement désolé.
-Christophe on en reparle chez nous, viens on rentre.
Il veut ajouter quelques choses mais il se retiens et se lève. Le silence pendant le trajet est affreusement gênant surtout que d'habitude on n'arrive pas à ne pas se parler. Je remarque alors que nous ne sommes pas sur le chemin du retour.
-On va où ? Je demande.
Il ne répond pas et entre dans l'aéroport. Il se gare à sa place privé et enfin se tourne vers moi.
-Nous partons en voyage, tu as besoin de repos et moi j'ai besoin de savoir que tout ira bien entre nous.
Je secoue la tête en levant les yeux au ciel.
-Christophe nous avons eu une dispute et les mots sont parti voilà ça arrive je regrette j'espère que toi aussi, maintenant rentrons à la maison s'il te plaît. L'inspecteur Chelmey voit ton père tout à l'heure et j'ai cours demain.
Il fronce les sourcils,
-nous prenons des vacances Élisabeth pour ton bien et celui de ce bébé et ce n'est pas négociable Chelmey n'a pas besoin de nous pour arrêter cette personne et tu ne vas pas en cours.
Il sort de la voiture et ouvre le coffre je lui suis à contre cœur après tous quitter L.A ne pourra nous faire que du bien. Il sort deux valise du coffre et nous nous dirigeons vers son jet privé en silence. Génial comme début de mariage.
Une hôtesse de l'air prend les valises à Christophe et il m'aide à monter dans le jet. Je grimace quand le pilote annonce le décollage.
-ça va aller ? Me demande Christophe en me serrant la main notre premier contacte depuis hier soir.
-j'ai peur c'est tout, je dis en accrochant mon siège. Il sourit sûrement en se rappelant notre premier voyages. L'avion à enfin décollé, et je me détend juste un peu.
-Ou est ce qu'on va ?
Il sourit et me montre notre itinéraire sur nos billet d'avion.
-les Bahamas ! C'est super ! Je m'exclame en frappant dans mes mains comme une enfant a qui on promet une sucrerie.
-viens le voyage va être long, tu as besoin de dormir. Il me conduit dans une cabine ou il y'a un lit deux place luxueux.
-whoa ! Mais on peut dormir ?
Il rit et s'allonge sur le lit,
-oui, je te réveillerai à l'atterrissage promis.
Je m'allonge à côté de lui et me blottis contre son torse, il passe un bras autour de ma taille et l'autre sous sa tête.
-je n'aime pas quand on se dispute de la sorte, ça me fait peur.
Sa voix est mélancolique il doit penser a ce que j'ai dis. Je me soulève pour le regarder dans les yeux.
-je ne pensai pas ce que j'ai dis, j'étais tellement énervée...
-je suis désolé, je suis content que tu mets fait sortir de prison mais c'est mon père qui m'inquiète.
Je hoche la tête et me blottis a nouveau contre lui, je comprend qu'il soit anxieux a propos du fait que son père fasse parti a nouveau de sa vie mais c'était la seule solution.
-profitons de nos vacances et ne pensons plus a rien, d'accord ? Je dis.
Il m'embrasse le dessus de la tête,
-d'accord et je te promet que je serai un meilleur mari pour toi.
Je souris et l'embrasse sur la joue.
-tu l'es déjà.