Mon 🇵 🇪 🇷 🇻 🇪 🇷 🇸 à 🇲 🇴 🇮 [Terminé✓]

Frayeur

Que pensez-vous de la réécriture de cette histoire ?

ᑭᗪᐯ ᗩᗪᖇIᗴᑎ

Nous sommes en décembre maintenant, et oui vous ne rêvez pas déjà décembre.

J'ai passé mon premier trimestre a évité mon colocataire collant et énervant, et croyez moi, ça n'a pas été facile. Déjà, il essayait constamment d'attirer mon attention, de savoir où je vais, comment je vais et de me parler de lu- enfin vous savez qui. Un vrai boulet ce gars.

Je me suis rapproché des mes camarades mais sans plus, ils ne sont pas aussi passionnants que mes amis du collège, en parlant d'eux j'ai prévu de les revoir à une fête organisée par Marinette à Noël

Avec mon père Jusqu'ici tout va bien, il m'envoi des photos de la Thaïlande, on a prévu de fêter Noël ensemble au manoir, je me demande si il serait d'accord pour que j'organise aussi une fête ? Après tout il travaille beaucoup lui aussi, ça pourrait le détendre.

&

Je fini de ranger mes affaires. J'espère que je n'ai rien oublié, je fais l'inventaire dans ma tête avant de sentir une présence près de moi, j'y crois pas il est pas encore parti lui ?

Thomas : j'peux savoir ce que je t'ai fait ?

Je l'ignore et boucle ma valise.

Thomas : oi, Adrien, j'te cose là.

Je cesse tout mouvement surpris par son langage, je tourne la tête, nos regards se croisent, il est en colère.

Il se rapproche de moi, et je recule, c'est la première fois que je le vois comme ça.

Thomas :  Adrien ! Tu m'ecoutes ?

Je ne réponds pas, il grogne se rapproche de moi à grandes enjambées avant de m'attraper par le col, et de me jetter contre le mur avec force, mon souffle se coupe lorsque mon dos rencontre le mur.

Mes jambes me lachent mais il  me soulève par le col et se rapproche de mon oreille

Thomas : sérieusement qu'est ce qu'il te trouve ?

- de qui tu parles ?

Le son de ma voix paraît minuscule comparée à la peur qui me tord l'intestin en ce moment.

Thomas : ben de Luka, c'est ton chéri non ?

-....

Thomas : c'est bon t'as fini de jouer avec lui, n'est ce pas.

-...

Thomas : décidément, vous les riches j'peux pas vous saquer.

Il me jette sur le sol cette fois ci avec un peu moins de force, mon cœur bat la chamade, j'ai tellement peur.

Je ferme les yeux, et je l'entends sortir de la chambre, j'ai l'impression que mon souffle est revenu, je me redresse malgré la douleur et je termine de ranger mes dernières affaires avant de fuir la chambre comme un voleur.

A plush 🕢🕢🕢🕢

Bon ben chapitre court, désolé ma dépression a repris du coup voilà ce qu'est j'ai pu écrire.