-t es bourré-

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Cela faisait environ 3jours que t as vie avait repris son tournant , monotone et triste ..tu avais comme l impression que Suna était parti ton cœur dans sa main , cela te faisait comme un grand vide dans ta poitrine , mais maintenant tu le detestait du plus profond de ton âme .

On etait vendredi fin de semaine éprouvante , tu alternais entre les cours et ton petit boulot tard le soir , tu n vais donc pas un sommeil de princesse .

Tu etait sur l îlot central de ta cuisine rêvassant , la tête plongée dans ton chocolat chaud ...

Kita : t/p.... Écoute je sais que ça peut paraître difficile mais montre lui que tu es forte te laisses pas détruire s'il te plaît..

Mon frère était très maladroit pour réconforter les gens mais il faisait de son mieux je le savais , malgré qu il sois DEBILE je l aime beaucoup mon frère .

Kita : tu as quoi comme cours aujourd'hui ?

Toi : ...hum....histoire philo sciences maths et français ..j crois ?

Kita : tu veux que je passe te récupérer ?

Toi : volontiers .

Tu détourna le visage , et regarde l horizon qui apparaît derrière l immense fenêtre de la cuisine , il était encore tot , tout était si calme dehors , si tranquille et reposant ...

Tu n avais plus faim donc tu te lève difficilement de la chaise qui avait pris la marque de ton fessier et vide le reste de ton chocolat dans l évier ,

Il était l heure pour toi d y aller , tu attrapa ton sac en le déposant sur une de tes deux épaules , tu ne prit même pas le temps de prendre une veste , tu était en col roule noir et jogging noir avec quelques bijoux , tu ne faisais plus trop attention à ton apparence enfaite tu t en fichais complètement , tes yeux ne cherchaient plus ceux de Suna , lors des entraînements tu ne le regardais même pas , il n appartiens plus à ta vie .

Il était l heure pour toi d y aller , tu attrapa ton sac en le déposant sur une de tes deux épaules , tu ne prit même pas le temps de prendre une veste , tu était en col roule noir et jogging noir avec quelques bijoux , tu ne faisais plus trop att...

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Tu ouvres la porte d entrée de chez toi , et un froid glacial viens chatouiller tes narines , tu descends les petites marches du perron et te retrouve dans la rue ou tu fis ton chemin habituel jusqu'à ton train .

Une fois arrivée au lycée , tu te posa sur un banc à côté du portail d entrée des élèves pour attendre Aoi

Aoi : hey ! T/p je suis là !

Toi : ah , salut Aoi .

Aoi : putain on a un bilan de philo l horreur , sinon ça va ?

Toi : comme on peut .

Aoi : arrêtes de jouer la dépressive pour un garçon .

Toi : je sais pas , je n arrive pas a m en sortir j ai beau le déteste je pense inexorablement à lui.

« L irrésistible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant